Cælius

septembris : De nombreuses représentations théâtrales seront données Veneris dies V septembris : Tacite, Suétone et d'autres écrivains de renom liront leurs livres publiquement Saturni dies VI septembris : Un marché aux jeux se tiendra sur le mont Caelius Solis dies VII septembris : L'empereur clôturera les Jeux Parthiques Lunae dies XV septembris : Ouverture des jeux Olympiques Martis dies XVI septembris : Épreuves des jeunes athlètes et des courses de chars Mercurii dies XVII septembris

monuments. Rome est située dans la région du Latium, au centre de l'Italie. Elle est traversée par le Tibre, à 22 km de la mer Tyrrhénienne. Le site de Rome comprend sept collines : le Capitole, le Palatin, le Viminal, le Quirinal, l'Esquilin, le Caelius et l'Aventin. L'Empire romain correspond à la période de l'histoire de Rome où un seul homme détenait le pouvoir (tout comme lors de la monarchie auparavant) : l'empereur. Cette période s'étend du ie siècle au ve siècle apr. J.-C. Mais le déclin

rythme des activités de César s'accélère. Point d'année sans une nouvelle idée, entreprise quelconque. Lui, qui jusqu'alors avait dû chercher des appuis, voyait maintenant les autres venir à lui et proposer leur soutien : ralliement en 64 de Marcus Caelius Rufus. 10. L'année du consulat de Cicéron Année 63 : année du consulat pour Cicéron. Ses dépenses de son édilité lui avaient coûté cher, et il se trouvait endetté. Il tentait à montrer chaque jour davantage son engagement aux côtés des populaires

que l'amaigrissement progressif, la langueur, la toux et la présence de sang dans les crachats. Il décrit aussi les autres formes de tuberculose, comme la forme osseuse et la forme ganglionnaire45. Par la suite, Galien (iie siècle apr. J.-C.) et Caelius Aurelianus (ve siècle) distinguent également plusieurs des aspects cliniques de la maladie. Les lignes qu'Arétée de Cappadoce (fin du iie siècle) consacre à la pathologie pleuropulmonaire le font considérer comme le premier des pneumo-phtisiologues

Chron. Egypte, 42. Rochette, Bruno 1996, « pistoi. e`rmhnei/j. La traduction orale en Grèce », pp. 325 et ss., in Revue des Etudes Grecques, 109, juillet-décembre 1996. Vàsquez Bujan, Manuel 1991, « Compréhension, traduction, adaptation. De Caelius Aurelianus aux traductions littérales du VIe siècle », pp.11-26, in Le Latin médical. La constitution d’un langage scientifique. Mémoires du centre Jean-Palerne, 10, Publ. de l’Univ. de Saint-Etienne. 

de la Rome antique : • Pendant la première phase, l'Âge du Bronze Final (11-10ème s. av. J.-C.), on trouve plusieurs petits villages sur les sept collines de Rome qui bordent le Tibre (notamment le Capitole, le Quirinal, le Viminal, l'Esquilin, le Caelius, l’Aventin, le Palatin). La fouilles des nécropoles témoigne du rite d’incinération. Les cendres étaient déposées dans des urnes généralement en forme de cabane ovale imitant de véritables huttes en bois et en torchis. Cette forme est très répandue

sur ce qui fait sa force. C'est ainsi que notre chef se laisse mener, et nous sommes les soldats de ces femmes. LE SOLDAT.—Vous gardez à terre les légions et toute la cavalerie, n'est-ce pas? CANIDIUS.—Marcus Octavius, Marcus Justéius, Publicola et Caelius sont pour la mer; mais nous restons tranquilles à terre.—Cette diligence de César passe toute croyance. LE SOLDAT.—Pendant qu'il était encore à Rome, son armée marchait par légers détachements, qui ont trompé tous les espions. CANIDIUS.—Quel est son

apparentée au bapiru mésopotamien et aux modernes trahanas (cf. supra). Les lagana n’ont pas de destinée plus précise. Le médecin romain du 1er siècle, Celse, les classe parmi les mets “visqueux” avec les bouillies. Au 5e siècle, un autre médecin romain, Caelius Aurelianus, compare les lagana à du pain. En revanche, chez Athénée (cf. supra), le laganon se confond avec l’itrion qui, dans la littérature médicale, désigne une feuille de pâte étirée, à l’instar donc des tractae de Pline. Apicius donne aux lagana

propriétés, ou terres d’exploitation. Le souvenir de cet état de choses est inscrit en caractères lisibles sur le sol même de la ville de Rome et de ses environs. Il y avait différents quartiers de la ville qui portaient des noms de gentes, le Cælius, l’Oppius, le Cispius, le mont Tarpeius, la colline Mucialis ; les prata (prés) Mucia, Quinctia, Flaminia. Tous ces noms représentent une propriété non pas individuelle, mais collective, gentilice. Les tribus qui se constituèrent dans le voisinage

paisiblement, sur son peuple, une séduction réelle. Un roi guerrier et sacrilège, Tullus Hostilius, ou Tullius, succède à Numa (672). Ce Latin, distribue des terres aux pauvres, s’assure leur concours, s’installe avec eux, et les Albains vaincus, sur le mont Cælius, prétend à la domination des Latins, conçoit l’agrandissement de la cité par la guerre. Albe-la-Longue, prise et détruite, la lutte est dans Rome même. Les Albains sont sur le mont Cœlius, et les Sabins au Capitolin. Rome l’emporte. Les Horaces s’immortalisent