Café de la Gare

chez elle. Tout ce qu'elle dit elle le dit doucement. Charles : Ami de Gabriel il conduit un taxi. Parait parfois blasé par la vie. Lorsqu'il ne conduit pas son taxi il boit un verre au café-restaurant La Cave. Il demandera en mariage Mado P'tits Pieds la serveuse du café. Turandot : Propriétaire du café-restaurant La Cave et de l'appartement de Gabriel qui vit juste au-dessus. Il possède un perroquet Laverdure qui ne fait que de répéter "tu causes tu causes c'est tout ce que tu sais faire

Seul l’horaire avait changé: le début de l’aurore au lieu du crépuscule mais voilà que des gens mal intentionnés s’avisent à prendre la TSF et alors une rumeur court les rues: l’Allemagne attaque à la fois Hollande, Belgique et Luxembourg. La gare de Jemelle vient d’être bombardée. Cette fois c’est sérieux. Les visages encore insouciants la veille se couvrent d’inquiétude. Cette fameuse évacuation dont depuis septembre on menace les Ardennes va-t-elle enfin avoir lieu? Oui bien sur, la pointe

secteur d'activité du commerce ou de la grande distribution (hôtesse de caisse, gestion des stocks, mise en rayon, entretien etc.) Une fonction d'accompagnement spécialisé grâce à des ateliers de mise en œuvre (cuisine, fabrication de produits ménagers, café des langues, etc.)Une fonction d’aide alimentaire qui vous permet d’acheter des denrées alimentaires, des produits d’hygiène et d’entretien, en complément de vos achats extérieurs.9MatinPermanence, accueil des bénéficiaires, prises des RDV, et différents

Mer Noire , ne traversait pas la ville mais coulait dans la vallée et n’arrosait que les pieds de la cité « étagée en crinoline verte » sur la colline. La ligne de chemin de fer qui longeait le fleuve empruntait les bas quartiers où se trouvait la gare. A la périphérie et dans les bas quartiers vivaient dans des conditions presque médiévales les déshérités, juifs en majorité. Escaladant la pente, le premier tramway électrifié reliait depuis 1897 la ville basse à la ville haute. La pente s’adoucissant

|Obtus | | |hammams, | | | |café turc | | |Français |pain |Râleur | |

ayant un langage vulgarisé. Sa mère Jeanne Lalochère l’amène rendre visite à son oncle Gabriel pour trois jours. Il l’attendait à la gare d’Austerlitz. Zazie n’avait qu’une seule passion : connaître le métro de Paris. Elle ne put toutefois faire ce qu’elle souhaitait car le métro était en grève. Zazie se rend ensuite en taxi chez son oncle qui vivait au-dessus du café Turandot. Zazie insistait vraiment à découvrir le métro et s’enfuit de la maison. Durant sa fuite, elle rencontre un étranger nommé

transferts se déroulent sur une journée type comme suit : Les 400 vendeurs arriveront le veille avant 20h par les moyens de transports désirés par leurs concessions respectives. Le rendez-vous aura lieu dans les différentes gares de Paris ( gare du Nord, gare Montparnasse notamment). Les vendeurs seront ensuite répartis dans les différents cars en fonction de leur heure d'arrivée. Ces cars les mèneront directement à l'hôtel où les attendront un cocktail dinatoire. Ainsi, de part cette organisation

multinationaux, etc. Zazie visite d’abord le marché aux puces, monte ensuite sur la tour Effel, apprécie le numéro de Gabriel au Mont-de-Piété, etc. Son aventure, courte mais extravagante, se déroule ainsi jusqu’à ce qu’elle participe à une bagarre dans un café-restaurant, très tôt dans la matinée. Cette étude observe en premier lieu la modalité conflictuelle du monde romanesque : Queneau construit son univers fictif en même temps qu’il en signale volontairement la facticité pour rendre impossible l’existence

l’express de Paris. Une seul idée me venait a la tête trouver un moyen de tuer le temps, puis je ressortie de la gare en ayant l’esprit à trouver quelque chose à faire. La ville était une petite ville je ne voyais que des petite maisons, la rue était presque vide il n’y avait aucun homme juste un petit chat qui passait de temps en temps, je ne savais que faire j’entrais dans le petit café du chemin de fer devant un bock imbuvable et l’illisible journal du lieu, quand j’aperçus un convoi funèbre qui

les futiles, les méthodiques, Ies débordés, les traditionnels» (p.121). Mais tous les espoirs de fuite de R. sont peu à peu anéantis et sa vie ressemble alors à celle de tous les Oranais désorientés : «Il errait alors de café en café, passant aussi de longs moments dans la gare» (p.123, 124) imaginant, à la vue d'affiches vantant des séjours à l'étranger, ce que peut être une liberté sans mélange, en compagnie de l'être aimé. • Pages 126 à 137 (106-115) 1) Quelle atmosphère règne à Oran à l'arrivée