Caillebotte

« cendre », les peintres impressionnistes ont pourtant su montrer l’implacable segmentation de l’espace industriel : chez Monet comme chez Caillebotte, les voies d’acier saignent le paysage de leurs tranchées profondes, et des barrières infranchissables isolent le spectateur d’un paysage qui se dérobe dans un écran de fumée. Comme les personnages de Caillebotte, Séverine se heurte ainsi à l’immense « étoile de fer » du pont de l’Europe et Jacques bute sur les tranchées profondes, « creus[ant]des abîmes

et Alfred Sisley, qu'accompagnent d'autres artistes dont les personnalités respectives évolueront de façon nettement distincte : Auguste Renoir, Paul Cézanne, Edgar Degas, Berthe Morisot, Armand Guillaumin, Édouard Manet, Mary Cassatt, Gustave Caillebotte, etc. ainsi que Frédéric Bazille qui mourut avant la reconnaissance du public. Alors que Camille Corot prétendait rester étranger au mouvement, il est souvent considéré comme le premier impressionniste : « Il y a un seul maître, Corot Nous ne

plusieurs années à peindre la campagne, il s'intéresse aux paysages urbains. - Au moment où l’on encourage les artistes à peindre leur temps, Monet cherche à diversifier son inspiration : il veut être un peintre de la vie moderne comme Manet, Degas, Caillebotte. - il réalise une série de 12 tableaux de la gare Saint-Lazare à PARIS dans des conditions atmosphériques variées et avec des points de vue différents.  Claude Monet présente à la 3e exposition impressionniste, en avril 1877, sept versions de

et Alfred Sisley, qu'accompagnent d'autres artistes dont les personnalités respectives évolueront de façon nettement distincte : Auguste Renoir, Paul Cézanne, Edgar Degas, Berthe Morisot, Armand Guillaumin, Édouard Manet, Mary Cassatt, Gustave Caillebotte, etc. ainsi que Frédéric Bazille qui mourut avant la reconnaissance du publicAlors que Camille Corot prétendait rester étranger au mouvement, il est souvent considéré comme le premier impressionniste : « Il y a un seul maître, Corot Nous ne sommes

esquissées. -Le tableau, lui, gagne en profusion, en vie mais il perd en netteté. Interprétation de l'oeuvre : Dans ses oeuvres tardives, Pissarro va accorder aux vues métropolitaines un intérêt jusqu'alors manifesté seulement par Monet et Caillebotte. Il loue des chambres à Paris, Rouen, Dieppe et au Havre, à partir desquelles il peint des perspectives dynamiques de boulevards, places, fleuves et ponts. Comme Monet, il peint des variantes et répétitions pour fixer les différences de lumière

personnages =>scène festive. Premier plan : table : nappe blanche (avec verres, bouteilles, fruits...) + les 5personnages en gros plan. à gauche, Aline Charigot avec laquelle Renoir vit et qu’il n’a pas encore épousée. A droite, c’est le peintre Caillebotte. Derrière Aline se tient le père Fournaise, propriétaire du restaurant. La jeune femme accoudée à la rambarde est la belle Alphonsine, la fille de l’aubergiste. Tous les autres personnages sont des amis du peintre. es 5personnages en gros plan

peinture. Plutôt que de chercher à représenter la réalité le plus fidèlement possible, il s’attacha à essayer de capter les effets de la lumière naturelle. Cette voie, nommée impressionnisme, sera soutenue et développée par Renoir, Cézanne, Degas, Caillebotte et Bazille

Il se réfugie à Londres lorsque la guerre éclate. 1871 Monet rencontre Durand-Ruel à Londres avec Pissaro et Daubigny. Mort de son père. Monet s'installe à Argenteuil après un voyage en Hollande. 1874 par Manet 1873 Monet rencontre Caillebotte. 1874 Monet participe à la première exposition impressionniste chez Nadar. 1876 Monet rencontre Ernest et Alice Hoschedé. 1877 Faillite d'Ernest Hoschedé. 1880 1878 Naissance de Michel Monet, son second fils. La famille Monet

Les raboteurs de parquet de Gustave Caillebotte (peintre réaliste dans ses sujets tirés du monde contemporain) a été réalisé en 1875. C’est une huile sur toile exposée au musée d’Orsay à Paris qui représente une scène de la vie quotidienne. Cette scène se passe dans un appartement ; trois hommes rabotent le parquet comme nous le dit le titre. Ces hommes sont torses nus et agenouillés. Leur position fait que l’on devine à peine leurs visages. Il y a deux hommes à droite côtes à côtes qui semblent

description satirique de cette ville où à chaque coin de rue, on risque de se faire renverser. Il fait un blâme de la vie parisienne tout en observant de façon précise les éléments qui font de Paris un lieu vivant. Parallèle avec la peinture de Caillebotte qui semble être le contraire de cette agitation du 17ème siècle. [pic]