Calcul Du Pib Réel Du Pib Nominal Et Du Pnb

statistique Hypothèses Modifications récentes Données et conventions Classification des pays Caractéristiques générales et composition des différents groupes de pays Tableau A. Classification par sous-groupes types et parts des divers sous-groupes dans le PIB global, le total des exportations de biens et de services et la population mondiale en 2011 Tableau B. Pays avancés classés par sous-groupes Tableau C. Union européenne Tableau D. Pays émergents et en développement classés par région et par principale

positionne comme la Banque de l'entreprise - Les banques étrangères allouent une plus grande partie de leurs dépôts aux crédits - Une activité monétique dominée par BMCE Bank et la BCP - Une forte concurrence entre Attijari Wafa et la BCP au niveau du PNB - La qualité du portefeuille engagements reste problématique - BMCE Bank enregistre de bonnes performances sur le segment des MRE et des crédits immobiliers 22 23 25 26 26 27 28 29 ANNEXES 30 REFERENCES BIBILIOGRAPHIQUE 33 1 SECTEUR BANCAIRE

est le rapport entre les dépenses publiques et le PIB ou le PNB Dépenses publiques : dépenses financées sur des fonds publics → effectuées par l'état central (budgétaires) par les collectivités locales et les dépenses de sécurité sociale transferts sociaux, subventions, services de la dette, etc. On voit la montée des dépenses publiques sur la richesse nationale dans les documents 1 à 3. Doc 1+3 : poids des dépenses de l'état sur le PNB en France et en OCDE Depuis 19ème : part des

* La valeur d’ajoutée : mesurer la création de richesses. Processus de création de richesses par les entreprises. VA qui correspond à la production. VA = Q – consommations intermédiaires ( V des différents composants nécessaire à la création) PIB : somme des VA des toutes les entreprises emplantées sur le territoire français. VA est à la base de conflits, le rapport salarial : façon dont on répartit les richesses, la VA. Valeur Ajoutée Salaire + salarié actionnarial profit

croissance à l’horizon 2025  VII Résumé analytique Le Maroc a connu une croissance rapide pendant la première décennie de ce siècle. Entre les périodes 1990-1999, 2000-2009 puis 2010-2013, le taux de croissance annuel du produit intérieur brut (PIB) réel est passé en moyenne, respectivement, de 3,2 % à 4,7 % et 3,9 %. Dans un contexte où la stabilité macroéconomique a été préservée, et l’environnement des affaires amélioré, le pays a poursuivi une stratégie basée fondamentalement sur l’expansion

humain quel que soit l’indicateur utilisé (taux d’inscription scolaire, ratios élèves/enseignants, taux d’alphabétisation). Le « World Development Report » (1990) de la Banque Mondiale rapporte une relation statistique similaire entre le niveau du PIB réel et la moyenne des années d’éducation. Selon N.G. Mankiw et al. (1992), l’introduction du capital humain permettrait de confirmer la prévision d’une convergence (conditionnelle)3. La contribution positive du capital technologique à la croissance est

et les concours. 1 1 Le produit intérieur brut Point clef Le produit intérieur brut (PIB) représente une mesure de la production et une approximation de la richesse créée. Il constitue un agrégat essentiel pour apprécier les performances d’une économie. Deux indicateurs doivent plus particulièrement retenir l’attention : le produit global (et sa croissance) ainsi que le produit par tête (PIB rapporté au nombre d’habitants). 1. DÉFINITIONS Le produit intérieur brut constitue une approximation

humain quel que soit l’indicateur utilisé (taux d’inscription scolaire, ratios élèves/enseignants, taux d’alphabétisation). Le « World Development Report » (1990) de la Banque Mondiale rapporte une relation statistique similaire entre le niveau du PIB réel et la moyenne des années d’éducation. Selon N.G. Mankiw et al. (1992), l’introduction du capital humain permettrait de confirmer la prévision d’une convergence (conditionnelle)3. La contribution positive du capital technologique à la croissance

ménages reste et restera en 2014E le principal driver de la croissance économique nationale soutenue en 2014E par l’intensification escomptée de l’investissement 6 - Une réduction du déficit public en 2013E (5,9% du PIB) et qui devrait être plus significative en 2014E (4,4% du PIB) 8 - Une atténuation du déficit commercial en 2013E et 2014E même si celui-ci reste à un niveau très élevé 10 - L’atténuation escomptée du déficit commercial combinée à une quasi-stagnation en 2013E et une

1- Peut-on “mesurer” le développement ? (cf. [1], Sylvie Brunel). Laurie Le Rapport sur le développement humain de 1990 a remis en question l’idée selon laquelle le produit intérieur brut (PIB) était un moyen adéquat et suffisant pour mesurer la croissance économique, et a introduit un nouvel Indice de Développement Humain (IDH) permettant de mesurer les progrès réalisés par les pays du monde entier en termes de développement humain. Cet IDH met l’accent sur trois indicateurs que le Rapport