Calcul Du Pib Réel Du Pib Nominal Et Du Pnb

Pour Ferrara, « le crédit est l’échange d’une valeur actuelle avec la promesse d’une valeur future ».[2] Les définitions qui adoptent ce sens présentent entre elles des nuances non négligeables.  Keynes parle en effet d’échange de bien au sens «  réel » mais Ferra «  de valeur ». En général, ce qui permet de reconnaître que les opérations de crédit peuvent avoir également pour objet, outres les services, des crédits préexistants. b- le crédit échange entre deux personnes. A l’aide d’autres définitions

marqué par le ralentissement de l’activité au niveau international sous l’effet de l’intensification et la propagation de la crise financière et économique à travers le monde. En dépit de ce contexte, plusieurs indicateurs font état d’un dynamisme réel de notre économie, soutenue par des moyens de financement favorables et un système financier équilibré. Cette situation s’est traduite par un taux de croissance nationale qui a atteint les 5,6% pour 2008. Le Directoire 1- Le secteur primaire L’activité

solvabilité et sa liquidité. Ainsi, selon le Comité de Bale du contrôle bancaire (CBCB), l’autorité d’origine doit recevoir régulièrement, sur une base consolidée, des données quantitatives relatives aux implantations à l’étranger, permettant de calculer par exemple les ratios de fonds propres, les grands risques ou les limites légales de prêt, les concentrations de financement et de dépôts. La maison mère devrait disposer de ces renseignements et les transmettre sans réserve à l’autorité d’origine

Casablanca-Rabat. 3. Hinterland économique La région du Grand Casablanca est la plus grande agglomération du Maghreb, la 5ème du continent africain et la plus ouverte du monde arabe. En outre, la région de Casablanca représente 50% du PNB, 25% du PIB national, 45% du PIB industriel marocain, 45% des exportations industrielles, 46% de l’emploi industriel. Elle possède 42% des unités de production du Maroc et compte 30% du réseau bancaire. La capitale économique jouit d’infrastructures portuaires, aéroportuaires

choses sont complexes  recours aux mathématiques.  A partir des hypothèses on peut accéder à des résultats auxquels on n’accède pas directement. Confrontation des conséquences avec les données de l’observation : Il faut les confronter au monde réel, à la réalité des faits économique. Stades 1 et 2 : analyse théorique Stade 3 : analyse empirique = confrontation de la théorie avec la réalité des faits  les résultats théoriques sont ils valables ? expliquent-ils ce qu’on observe dans la réalité 

cette composante du système de financement ; * LOCAFRIQUE seule reste active sur le segment de financement de la PME ; * SOCRES est plutôt tournée vers le crédit à l’équipement des ménages. Les sociétés de capital investissement constituent un réel instrument de financement du haut de bilan des entreprises. Mais elles sont peu nombreuses et méconnues. Quelles sont les actions entreprises pour améliorer l’accès au crédit ? Face aux difficultés d’accès des populations aux banques, le Gouvernement

l’indépendance le 06 juillet 1975, les Comores n’ont pas connu de véritable stabilité politique encore moins socio-économique. De graves situations de crise économique ont fortement marqué la vie sociale et économique des Comores. Le taux des croissances du PIB restant en dessous du taux de croissance de la population. Ce n’est qu’au début des années 90, c'est-à-dire 15 ans après l’indépendance que le pays adopte une politique de développement économique favorisant la création des PME – PMI. Ce qui permet

pays d’origine ou ailleurs. Ce départ s’élève à environ 300 milles. Au total, le trou démographique de la guerre s’élève à 1 millions 450 milles personnes, ce qui équivaut à 3,5% de la population recensé en 1936 (41 millions 600 milles). En 1946, on calcul 40 millions. Ce traumatisme démographique s’accompagne inévitablement de déséquilibre dans la répartition de la population, on a un déséquilibre homme femme mais moins important que lors de la 1ère GM. L’exode rural, depuis le 19 ème siècle

définition donnée par G.Petit-Ditaillis cité par Farouk BOUYAKOUB, dans son ouvrage intitulé « l’entreprise et le financement bancaire »: « Faire crédit c'est faire confiance ; c'est donner librement la disposition effective et immédiate d'un bien réel, ou d'un pouvoir d'achat, contre la promesse que le même bien, ou un bien équivalent, vous sera restitué dans un certain délai, le plus souvent avec rémunération du service rendu et du danger encouru, danger de perte partielle ou totale que comporte

10,14% 1 770 535 1 398 269 1 164 634 2 198 161 1 661 814 1 594 868 24,15% 18,85% 36,94% 2010 Evolution 09/10 8 Rapport Annuel 2010 Structure du Capital STRUCTURE DU CAPITAL capitaL sociaL au 31.12.2010 - nombre d’actions : - valeur nominale : 75 759 030 dinars 15.151.806 5 dinars STRUCTURE DES PARTICIPATIONS - Groupe bnp paribas - b.d.d.i. participation - actionnaires privés tunisiens 50 % 50 % Rapport Annuel 2010 9 Membres du Conseil d’Administration 2010 Président