Calderon De Pasolini

de Michel De Ghelderode (1898-1962), depuis La Mort du docteur Faust et Barabbas jusqu'à Magie rouge, Mademoiselle Jaïre ou Fastes d'enfer. Il y a un peu de tout dans le foisonnement du délire ghelderodien : du Shakespeare, du Maeterlinck, du Jarry, du Calderón, de l'expressionnisme allemand, du romantisme à la Pétrus Borel... Et tout cela est entraîné dans un carnaval macabre où fuse la facétie, dans une cruauté où se défoulent la peur de la mort et la folie ardente de la vie. Poésie donc ! Nous la retrouverons

] "Le bonheur qu'on veut avoir gâte celui qu'on a déjà." [ Jacques Deval ] "Mourir pour une cause ne fait pas que cette cause soit juste." [ Henry de Montherlant ] "La vérité n'est pas dans un seul rêve, mais dans beaucoup de rêves." [ Pier Paolo Pasolini ] "Le grand talent accepte les critiques." [ Marin Karmitz ] "Il est des sentiments si intraduisibles qu'il faut la musique pour les suggérer." [ André Esparcieux ] "Le lendemain s'instruit aux leçons de la veille." [ Publius Syrus ] "Le monde appartient

] "Le bonheur qu'on veut avoir gâte celui qu'on a déjà." [ Jacques Deval ] "Mourir pour une cause ne fait pas que cette cause soit juste." [ Henry de Montherlant ] "La vérité n'est pas dans un seul rêve, mais dans beaucoup de rêves." [ Pier Paolo Pasolini ] "Le grand talent accepte les critiques." [ Marin Karmitz ] "Il est des sentiments si intraduisibles qu'il faut la musique pour les suggérer." [ André Esparcieux ] "Le lendemain s'instruit aux leçons de la veille." [ Publius Syrus ] "Le monde appartient

La 41 CAZAUX, Laurence, « Parcours d’écriture », préface de Fin d’été à Baccarat, éditions théâtrales, Paris, 1997, (première édition en 1984), p. 8. Ecrire les années 80, « un entretien avec Philippe Minyana », Propos recueillis par Désiré Calderon, in L’Avant-scène Théâtre, Paris, n° 748, 1984, p. 30. 42 36 forme monologique exprime la liberté de l’auteur de se trouver un itinéraire et un travail particulier sur la langue où il y a une urgence de la parole prioritaire43. La dramaturgie

violente, un chaos de lave heurté par la mer, où on trouve dans les fractures du sol des tessons de poterie d'une autre ère, où on sent la présence maléfique du passé, peut-être quelque Minotaure dévoreur de jeunes filles.» - ’’Accattone’’ [1961], de Pasolini, tableau d’une Italie pauvre, ruinée, délabrée, qu’il compare au décor de son enfance pendant la guerre avec ses ruelles, ses immigrés, ses vieilles femmes en noir, ses jeunes gens sales, ses vieux murs dans une lumière dure : «Mais ce qui éclaire

(Marguerite Duras). Depuis les années soixante: Comment les grandes aventures de ces années-là traversent-elles l’écriture de leur temps? Observons Vilar. À Chaillot, outre le répertoire, il s’attache aux nombreuses pièces abandonnées aux bibliothèques: Calderon, Carlo Goldoni, Georg Büchner. Travail salutaire. Mais le répertoire contemporain? La vaste scène de Chaillot ne s’y prête guère. Vilar se replie sur le Théâtre Récamier: Le Crapaud-Buffle, de Gatti, Les Bâtisseurs d’empire, de Vian, La Dernière

(Marguerite Duras). Depuis les années soixante: Comment les grandes aventures de ces années-là traversent-elles l’écriture de leur temps? Observons Vilar. À Chaillot, outre le répertoire, il s’attache aux nombreuses pièces abandonnées aux bibliothèques: Calderon, Carlo Goldoni, Georg Büchner. Travail salutaire. Mais le répertoire contemporain? La vaste scène de Chaillot ne s’y prête guère. Vilar se replie sur le Théâtre Récamier: Le Crapaud-Buffle, de Gatti, Les Bâtisseurs d’empire, de Vian, La Dernière