Caleçon

Nom: Date : Prénom : Le champ lexical 1) Donne un champ lexical aux listes de mots. marguerite - crocus - jonquille - œillet   chemise - short - jupe - caleçon   violon - trompette - cymbales - flûte   la France - la Chine - l'Australie - le Brésil  2) Trouve quatre mots appartenant à chaque champ lexical. Légume   Métier   Sport  

les rôlistes... Paroles et musique : Pen of Chaos Interprètes : le Naheulband et ses invités Ils achètent des boîtes de jeux Dont on comprend pas le titre Ils collectionnent des bonshommes en plastique On les voit sur Internet Dans les GN en caleçon Ils parlent les langues des elfes Et lisent des dictionnaires klingons Tu peux sauver les rôlistes Avant qu'ils ne disparaissent Tu dois lancer un D10 Et tu multiplies par 13 Dans la table des bonus Tu viens faire ta sélection Et tu sauras combien

cesse de rire et s’assied, épuisé. Mais il se relève aussitôt, horrifié. La main sur l’arrière-train, il tourne le dos au public. Le siège était plein de confiture, son pantalon aussi. Il l’enlève et pique une crise de larmes. LE PRESENTATEUR (en caleçon). –Mon pantalon du dimanche… Maman… euh… Papa…euh… Tonton…euh… Tata…euh… Pitié, aidez-moi ! Mais le noir se fait et on entend de nouveau le générique. Voix off.-C’était le premier et aussi le dernier journal présenté par Albert Duglu. Le directeur

qu'il répète les phrase constamment .J'ai du faire preuve de beaucoup de patience pour réaliser cette action.Je prend dans le chariot tout le matériel qu'il faut avoir pour cette action: 1 gant de lavage, 1 serviette,une paire de gant en plastique,un caleçon ,et une protection pour réaliser le change.Je procédé tout d 'abord par aller le cherché au salon commun ou il est couché sur son canapé habituelle .Je lui explique ensuite que nous allons aller faire la toilette,il me suit sans problème en me répétant

Même ton calme et didactique pour expliquer les causes de son état : présent de généralité pour énoncer les raisons qui l’ont réduit à « l’état horrible où (le) voi(t) » Candide et parallélisme des subordonnées temporelles : « On nous donne un caleçon […] Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe ». Noter que l’on pourrait remplacer les temporelles par des subordonnées causales, ce

monsieur... c’est l’usage » l.30»). Dans son discours l’esclave montre qu’il est même logique qu’on le traite ainsi. Pas de revendications, de plaintes ou de protestations. Il conte ses conditions de vie tout à fait normalement (« On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois dans l’année l.32 » « je me suis trouvé dans les deux cas l.36». Nous constatons tout de même à la fin du discours une petite contestation de la part de l’esclave (« Hélas !l.43 »). Cette différence entre la

suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ont été atteints. Par cette citation : ^^On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l’année^^, l’auteur met l’accent sur l’absence de vêtements minimalement nécessaires du nègre en utilisant un ton réaliste. Ce ton représente la réalité dans les aspects les plus laids de la situation par de

serais trop de dépenses inutiles de se nourrir, de plus cela reviendrait à faire fonctionner le frigo, qui alors augmenterait la facture d’électricité. Le bourreau de travail a seulement deux pantalons, deux chemises, deux paires de chaussettes, deux caleçons. D'après lui c'est suffisant. Bien-sûr Thibault n'utilise ni savon, ni lessives, ni liquide vaisselles puisque l'on salis ce que l'on rend propre. Thibault, horripilé à chaque instant, n'a pas de télévision. Il faut déjà payer les factures, l'eau

argent. Et puis : « Va-t'en! qu'il lui a dit comme ça. C'est ton compte !... » Tous les petits amis blancs s'en tordaient de rigolade, tellement il avait bien mené son business. Le nègre restait planté penaud devant le comptoir avec son petit caleçon orange autour du sexe. « Toi, y a pas savoir argent? Sauvage alors? que l'interpelle pour le réveiller l'un de nos commis, débrouillard, habitué et bien dressé sans doute à ces transactions péremptoires (8). Toi y en a pas parler « francé » dis

| | |En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de | | |toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. | | |« Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans