Caleçon

la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh ! mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? - Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

malhabile. Comme lorsqu’il revient de Libye sans les otages. Dans cette affaire, heureusement il n’a pas vendu la Suisse mais l’a toutefois ridiculisée car il a dû présenter ses excuses devant Kadhafi. Cet homme est parti en costard et est revenu en caleçons et a laissé à Tripoli son haleine de Ricola. De plus, la Suisse a été ensuite humiliée par les Etats-Unis : ils ont menacé UBS d’une amende de 800 millions d’euros car la banque refusait de dévoiler les noms d'une dizaine de milliers de riches

rencontrées par les esclaves. Vision du noir : Citation péjorative, vision réductrice. (l.2) « moitié de son habit » (l.2) « pauvre homme » (l.2-6) « caleçon de toile » (l.4) « état horrible » Nègre dénigré ? emploi d'adjectifs péjoratifs. Litote Ton implicite (l.1) « n'ayant plus » (l .9) « ma mère me vendit dix écus patagons" (l.2-6) «un caleçon de toile» Traite des noirs En ce temps-là, la toile était faite pour envelopper la marchandise. Enumération Litote (l.13) «les chiens, les singes

la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? -- J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. -- Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? -- Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

jusqu’a <<de l’esclavage>> <<L’esclavage est contre nature, quoi que dans certains pays, il soit fonde sur une raison naturelle>>, d’apres Montesquieu <<De l’esprit des lois>> livre 15, chapitre 8 Sofia jusqu’a <<aux esclaves>> <<On nous donne un calecon de toile pour tout vetement deux fois l’annee. Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe. Je me suis retrouve dans les deux cas. C’est

sort, que tu vois dans la cuvette mais pas sur le papier… LE CACA ETERNEL : Tu t'essuies, tu t'essuies, tu t'essuies… Mais il en reste toujours sur le papier. Tu décides alors de remonter ton pantalon et de mettre une feuille de papier dans le caleçon pour éviter les traces de freinage… LE CACA 2, le retour de la revanche de la suite qui contre-attaque : Tu as fini mais quand tu remontes ton pantalon tu t'aperçois qu'il faut que tu chies encore un peu… LE CACA QUI TE FAIT POUSSER UNE VEINE

surprenante car elle énonce sur un même plan le fait que l'esclave n'ait qu'une moitié d'habit et qu'il soit amputé d'une jambe et d'un bras « ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite », (l.1-2). La priorité qui mise sur l'absence d'une moitié de vêtement est aberrante. Il y a là une distorsion ironique. Le narrateur donne l'impression de ne pas faire

des lignes 1 a 5, voltaire décrit le personnages du nègre. Il est étendue par terre, il lui manque la moitier de son habit. Il est en calecon et est en tres maucais état physiquement. En effet, il lui manque la jambe gauche et la main droite. Voltaire emplois de nombreux adjectif péjoratif pour décrit sa situation. l.2)"moitié habit" (l.4)"pauvre Homme" (l.3-11)"caleçon de toile" (l.6)"état horrible". Tout est mis sur la même plan. b) le récit de lesclave. Dans une seconde petite partie

Voltaire use de plusieurs procédés pour nous rendre triste, nous émouvoir, nous persuader que l'esclavage est chose inhumaine. Comme ces enchainements de détails réalistes: « On nous coupe la main » , « On nous coupe la jambe », « On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année ».Tous ces petits détails sucite en nous de la pitié, de la culpabilité et de la tristesse. ART DE CONVAINCRE Dans son texte « de la traite des nègres » extrait de sa thèse De l'esprit des lois

perçue comme inhumaine et dégradante à plusieurs niveaux. Elle l'est tout d'abord physiquement puisque la nègre est doublement amputé « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite », et il est uniquement vêtu d'un caleçon de toile « on nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement ». Elle l'est ensuite socialement car le nègre n'a pas de nom : répétition expressive de « nègre », il est la propriété d'un autre homme «  j'attends mon maître » (le verbe attendre sous entend un état