Caleçon

inégalité 2.L’esclave explique en toute neutralité sa condition Il raconte sans sentiment, d’une façon purement didactique ses conditions de vie, ce qui doit horrifier le lecteur face à cette telle absence d’humanité. Ex : « On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois dans l’année. Quand nous travaillons aux sucreries et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe, je me suis trouvé dans les deux cas »

connaissance du patient que je connais peu auprès de son dossier ou des professionnels. Je m'assure juste qu'il a bien recu son traitement. J'entre dans sa chambre avec le fauteuil après avoir frappé à sa porte, et je l'apercois encore en t-shirt et calecon, ses vetements étant encore posés à proximité de son lit. Je ferme donc la porte et Mr J me demande de l'aider à s'habiller car il me dit ne pas y arriver, le connaissant hémiplégique et ayant déjà réalisé des aides pour vetir ou dévetir d'autres

plusieurs cibles. La condamnation de l’esclavage. Les conditions des esclaves déplorables. « c’est l’usage »(l.8) : une tradition, le nègre normalise la chose. « on »(l.8) montre la généralisation du propos. Misère physique : vêtements pauvres « caleçon de toile »(l.3), traitement cruel « on nous coupe la jambe »(l.11) Misère morale : «tu as l’honneur d’être esclave »(l.16)trahison par sa mère, et par les esclavagistes. La cruauté humaine. Voltaire passe par la banalisation de l’esclavage, avec

Voltaire. Dès le début de l’extrait, la situation de l’esclavage est mit en exergue car Candide est debout et le nègre est allongé : « un nègre étendu par terre ». Il est mal-vêtu : « n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleue ». La formule « c’est-à-dire » est une précision pour insister davantage sur la soumission du nègre à l’état d’animal, d’objet. Le tutoiement de Candide à ce dernier (« que fais-tu là ? », « je te vois » , « t’as traité ainsi ») et

inégalité   2.L’esclave explique en toute neutralité sa condition Il raconte sans sentiment, d’une façon purement didactique ses conditions de vie, ce qui doit horrifier le lecteur face à cette telle absence d’humanité. Ex : « On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois dans l’année. Quand nous travaillons aux sucreries et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe, je me suis trouvé dans les deux cas »

coucougnettes » de ce fait elle se vole la face. De plus, les riches s’entretiennent un réputation de personnes parfaitement propre ainsi il y a un décalage quand Manuela après avoir fait le ménage rapporte a Renée qu’ils laissent « traîner [leurs] caleçons sales sous le lit » (p183). Ils se veulent aristocrates mais «  s’il est bien une chose que les riches...ce qui les empuantit »(p30). Aussi, Paloma commente les comportements de ces camarades « là où il y a de l’argent, il y a de la drogue [...]

étendu par terre », comme condamné à végéter à même le sol. Puis son état physique est énoncé avec neutralité comme un constat : « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite ». Mais aussi, les habits de l’esclave son décrit « un caleçon de toile bleue » 2 : En outre, La relation Maître / Esclave est pleinement affirmée : le rapport de soumission est fortement marqué dans « j'attends mon maître ». De plus, le nom « Vanderdendur » = « vendeur-dent-dure » accentue l'effet d'une autorité

d’autodérision «  je ne sais pas si je fais leur fortune mais ils n’ont pas fait la mienne» * Le Nègre trouve tout à fait normal sa situation, il accepte son sort. IPP2 : Les réelles conditions de vie du Nègre nous sont partagées * Une litote à partir de «  caleçon de toile » montre le statut méprisable du Nègre *L’absence de l’autre moitié de son habit insiste sur le fait que l’esclave est vraiment mutilé * Le Nègre est sous la domination totale de son maître, le noir est soumis au blanc IPP3 : L’art

Candide est un conte philosophique paru en 1759, écrit par Voltaire qui était un philosophe du siècle des lumière. À travers de ce conte satirique, il essaie de critiquer la philosophie de Leibniz, l’Optimisme dans laquelle il conclut que notre monde est le meilleur du monde possible que Dieu ait pu crée et que tous ce qui se passe, se passe pour le mieux. Cependant Voltaire dénonce cette idéologie et nous pousse à penser un peu rationnellement à l’aide de

aquilin et elle toute ridée et moche et dit : “ VOUS NE PENSIEZ PAS QUE J’ALLAIS ME TRAMPER DANS LA MEME AU QUE C’EST BOLCHEVIK ”.L’homme lui aussi a fait sa mise en plis et est moche, il porte des monocles, il a un gros nez, il est maniéré et porte un caleçon, il tient dans sa main droite un fume cigarette. Le dessinateur lui a rajouter des poils un peu partout sur le corps et lui a dessiner des pieds en forme de palme. A coter des pieds de cet homme il y’a un vase qui servait surement à mettre de l’eau