Caligula Personnage Scipion

du destin : il détruit et tue tout autour de lui. Il espère qu'ainsi les hommes prendront conscience de l'horreur de leur condition et se révolteront, en se révoltant contre lui. Ce geste de libération, il l'attend d'Hélicon, son ami d'enfance. Caligula, l'empereur, le tyran, est il fou de douleur, ou sa douleur est elle révélatrice de notre folie ? Les deux à la fois ? Sa douleur.... celle de n'être qu'un homme, cette douleur née de son incapacité à s'inscrire dans le possible de sa nature. « Posséder

TEXTE 3 : IV 27-29 Commentaire Ce texte est un exemple de présentation exacerbée des turpitudes auxquelles se livre Caligula. Il peut être intéressant de confronter cette présentation faite par Suétone à d'autres regards pour cerner ce personnage : vous pouvez ainsi lire ce que nous disent Sénèque, Tacite ou Dion Cassius : Sénèque De Brevitate Vitae , à propos de Caligula Modo modo intra paucos illos dies quibus C. Caesar periit (si quis inferis sensus est) hoc grauissime ferens quod decedebat

1. Justice et bonnes intentions présentes chez Caligula 2.1 Empereur apprécié par les autres 2.2.1 Caligula est un homme avec de belles qualités «scrupuleux» (page 19) «artiste» (page 21) «idéaliste» (page 29) «Avec son bon petit cœur» (page 29) «Il voulait être un homme juste.» (page 30) 2.2.2 Caligula est aimé par son entourage «Cet empereur était parfait.» (page 18) «Oui, ton absence a duré longtemps.» (page 24) «Je l’aime. Il était bon pour moi. Il m’encourageait»

efficace un large public, comme l'exigeaient les impératifs de la littérature engagée. Acteur ou directeur de troupe dans les années 1936-1938, metteur en scène ou adaptateur scrupuleux des pièces les plus diverses, dramaturge original enfin, avec Caligula, Le Malentendu, L’Etat de Siège, et Les Justes, Camus a eu avec le théâtre tous les rapports possibles, du plus concret au plus intellectuel. Le théâtre lui est apparu comme une forme d'expression privilégiée, à plus d'un titre: il est « un art de

portrait. Le réalisme de BALZAC consiste ici à aborder les personnages de l’extérieur, à nous en faire d’abord un portrait physique détaillé. Leurs vêtements, leur visage, leur comportement révèlent leur caractère, leurs vices ou leurs passions. Vulgaires ou distingués, leurs noms mêmes sont significatifs. Il n’est guère de personnages ou le trait de caractère que BALZAC ne présente comme des résultantes d’une loi générale. Ses personnages représentent des types sociaux, qui son formés par les milieux

de la mort de son chat et le roi s’égare de nouveau dans une sorte de délire, d’état second comme le montre l’expression « stupeur rêveuse ». Il part dans son imaginaire et l’histoire du chat n’est plus dans le domaine du réel. Alors, les autres personnages ne le contredisent pas et le laissent dans son délire éveillé. Ils se regroupent ensuite pour parler de lui alors qu’il est sur scène. Cet échange se fait au passé comme si le roi était déjà mort. Nous pouvons découper notre extrait en quatre mouvements :

impôts. On demandait à certaines personnes de percevoir les impôts. Chaque année, certains riches romains avançaient à l’état les impôts que l’état romain attendait d’une province. Ensuite ces riches romains prélevaient chez les provinciaux. Ces personnages passaient donc des contrats publics avec l’état. C’est pour cela qu’on les nomme les publicains. L’impôt pouvait représenter des sommes très importantes et dépasser les capacités financières d’un seul individu. C’est pourquoi ces publicains pouvaient

permet-elle de s’interroger sur le rapport de l’homme au monde ? Etude d’un groupement de textes (huit lectures)  Pensée profonde n° 1, L’Elégance du hérisson de Muriel Barbery  L’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle (3 extraits)  Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d’Albert Camus  LE VENT A DJÉMILA, Noces de Albert Camus  Le monde de Sophie de Jostein Gaarder, 1995  L’absurde et le suicide ,Un raisonnement absurde, Le mythe de Sisyphe, d’Albert Camus, Folio essais, 2010  La quête

Rhéa Siluia Vénus : mère d’Enée (Vénus : celle qui apporte la victoire aux romains, déesse guerrière) Une des qualités primordiales d’Enée : la Pietas -> le respect qu’on a envers les Dieux et envers ses parents. Enée est l’incarnation même du personnage avec le respect des ancêtres . Rome : pas considérée comme une cité barbare -> origine la rattache aux grecs. Elle est considérée comme une Polis hellenis, une cité de culture grecque depuis au moins le IVème siècle av JC. Les grecs sont très nombreux

s’interroger sur le rapport de l’homme au monde ? Etude d’un groupement de textes (huit lectures) ( Pensée profonde n° 1, L’Elégance du hérisson de Muriel Barbery ( L’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle (3 extraits) ( Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d’Albert Camus ( LE VENT A DJÉMILA, Noces de Albert Camus ( Le monde de Sophie de Jostein Gaarder, 1995 ( L’absurde et le suicide ,Un raisonnement absurde, Le mythe de Sisyphe, d’Albert Camus, Folio essais, 2010