Calligrammes Lyrisme

nous fait sentir qu’il se sent perdu. Dans Poésies aussi la peur est présente avec « hante », « fantôme », « horreur » ainsi que la poème de Victor Hugo puisqu’il voudrait « fuir ». Chacun de ces poètes s’exprime par le « je » ce qui participe au lyrisme de ces poèmes et leur permette d’évoquer leur exil. Dans les Quatre vents de l’esprit, Victor Hugo se sent exilé, comme en témoigne le titre de l’œuvre, par rapport à sa famille qu’il voudrait rejoindre. Celui est impossible puisqu’il déclare « Si

esthétique et artistique en jouant sur le jeu de présentation du vers, comme le fait S.Mallarmé dans « COMME SI », appartenant au recueil Un coup de dés jamais n’abolira le hasard (1897). Le genre du calligramme est aussi artistique, ainsi Apollinaire en a constitué un recueil entier nommé Calligrammes (1880-1918). Pour conclure, on peut donc dire que la poésie n’a pas pour seule fonction de dénoncer les injustices et les atrocités de notre monde moderne. Nous avons vu qu’un certain nombre de poètes

poésie a de multiples possibilités de sens. Chacun n’a pas la même sensibilité face à un poème. Un poème peut toucher une personne et laisser indifférente une autre. Certains poètes puisaient la matière de leurs poèmes dans l’effusion lyrique.  Le « lyrisme» vient de la lyre, nom de l'instrument de musique dont Orphée accompagnait, d'après la tradition, ses chants. On utilise ce terme pour définir l’expression des émois du cœur. La poésie lyrique se nourrit  des sentiments et des émotions que ressentent

Lyrisme et engagement en poésie 1) Qu’est-ce que le lyrisme ? Le mot lyrisme vient du nom d’un instrument de musique, la lyre. Il s’agit d’un genre poétique inspiré de la poésie lyrique grecque, où s’expriment avec une certaine passion les sentiments personnels de l’auteur. On appelle donc poésie lyrique toute poésie qui rappelle l’expression personnelle et la musicalité. 2) Petite histoire du lyrisme. Au Moyen Age, les troubadours et les trouvères, qui sont des poètes

LAC DE LAMARTINE-COMMENTAIRE Pour l’introduction Les Méditations poétiques est un recueil poétique publié en 1820 , premier manifeste du romantisme français. Lamartine y transcrit ses états d’âme, ses impressions. Le recueil a des aspects classiques : Lamartine se souvient de la femme aimée, Julie Charles (ou Elvire). Le poète se trouve dans un lieu qui lui est cher, près d’un lac, qui a été le témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la

Ode a Cassandre. Pierre de Ronsard est un humaniste du 16ème siècle. C’est le gand poete de la Renaissance, avec Du Bellay. Ils font tous les deux partie de la Pléiade. C’est une fois atteind de surdité, qu’il se consacre tout entier à la poésie. Son œuvre developpe les grands thèmes liriques, comme l’amour, la fuite du temps ou encore la mort. Idée générale : Ode à Cassandre est un poème composé de 3 sizains d’octosyllabes. En se référent a la rose et au destin de celle-ci, le poète entend

de l’hiver. Nous étudierons comment la nature, ici en particulier L’automne, permet à un écrivain romantique d’exprimer ce qu’il ressent. Nous verrons dans une première partie l’automne comme « saison mentale » puis, dans une seconde partie, Le lyrisme de la Nature et le romantisme. Développement : 1. L'automne constitue une saison mentale pour le poète. Le poète nous peint un véritable tableau de la nature en pleine saison automnale. Le titre lui-même, L'Automne, annonce

d'exprimer ce qu'il ressent. La poésie permet au poète d'exprimer ce qu'il ressent en faisant une sorte d'exutoire, cela provoque donc l'évasion chez le poète. La poésie permet également l'évasion, grâce au lyrisme. En effet la poésie lyrique permet l'évasion par la beauté des sons, des rythmes... le lyrisme est la recherche de la musicalité, le poète tend à métamorphoser, voire à sublimer, le contenu de son expérience et de sa vie affective dans une parole mélodieuse et rythmée ayant la musique pour modèle

| |romantique de la nature, ne peut idéaliser ce qu’elle connaît | | | |fort bien : la campagne, aussi reportera-t-elle son lyrisme sur| | | |des paysages inconnus : la mer tempétueuse ou les ruines. Ainsi| | | |Flaubert veut-il montrer le déterminisme

L’investissement personnel dans un monologue adressé à l’être aimé : - La réflexion générale de départ (« l’on », « celui qui ») passe à une réflexion personnelle (« je », « me », « mes »). - Registre élégiaque (exprimant une plainte, souffrance), nuance du lyrisme. Il souffre. - Pierre de Marbeuf s’adresse à une personne, non caractérisée, mais tutoyé « ton ». 3/2. La thématique de la passion malheureuse qui utilise des clichés : - Amour passionné : métaphore. Hyperbole : « si fort » - Un