Calliope

les Muses = 9 déesses, filles de Zeus et Mnémosyne, qui présidaient aux arts : Clio = Histoire ; Euterpe : musique ; Thalie : comédie ; Melpomène : tragédie ;Terpsichore : danse ; Erato : élégie ; Polymnie : poésie lyrique ; Uranie : astronomie ; Calliope : éloquence. Leur séjour = le Parnasse). Par métonymie la Muse = les belles lettres, la poésie, l'invention poétique. Les apostrophes « Statuaire » et « peintre » v13 et 29, désignent finalement le poète (qui se fait statuaire et peintre) Les injonctions :

Les muses sont 9 et ont chacune un art ou un genre littéraire associé. Ce sont les filles de Zeus et de Mnémosynè (déesse de la mémoire). Hésiode invoque toutes les muses (l.5). Elles sont chargées de la transmission pour que ça ne s’oublie jamais Calliope : muse de la poésie épique que pratique Hésiode. Les muses lui ont demandé de raconter les mythes, histoires qu’elles connaissent, et lui ont donné un rameau, le bâton du poète, qui s’appelle le Skeptron. Elles lui ordonnent de raconter les mythes

au bord du rivage entourées par les « amas d’ossements et les chairs desséchées des hommes qu’elles ont fait périr »2. L’origine des sirènes n’est pas vraiment claire. Selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Achéloos et de la Muse Calliope (ou de Terpsichore, la Muse de la Danse). Les Romains racontent d’ailleurs que les sirènes étaient à l’origine des femmes normales, elles auraient été les compagnes de Coré, devenue par la suite « Perséphone », et auraient laissé Hadès l’emmener

Chant XII vers 166 En grec ancien :Σειρήν / Seirến. Selon la mythologie il s'agit d'une créature hybride : mi femme mi oiseau. L'origine des sirènes n’est pas claire. Selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Acheloos et de la nymphe Calliope (ou de Terpsichore, la Muse de la danse). Ces divinités, fluviales à l'origine, étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne. Les Muses remportèrent le défi et exigèrent une couronne faite des plumes des

[modifier] Les grecs de l'Antiquité n'ont pas eu ni le concept ni le mot correspondant à « art », mais distinguaient parmi certaines activités, appelées tekhne, celles qui étaient parrainées par les Muses, dont le nombre a fini par se stabiliser à 9 : Calliope : la poésie épique ; Clio : l'histoire ; Érato : la poésie érotique et lyrique; Euterpe : la musique; Melpomène : la tragédie ; Polymnie : la pantomime, la rhétorique et les chants religieux ; Terpsichore : la danse et le chant choral ; Thalie

notamment par le biais de l’aposthrophe « Ô sante Muse »/ « Ô saintes Muses ». La figure paradigmatique du poète s’incarne à travers la Muse Calliope dont la nature est loin d’être anodine. Muse de la poésie épique, elle fait bien sûr allusion à l’œuvre de Virgile, guide artistique et spirituel du narrateur, mais aussi à Dante lui-même. L’étimologie de Calliope, « Belle/voix », renforce le caractère lyrique de l’invocation, se reflétant dans le vers suivant « seguitando il moi canto con quel suono »/ »suivant

culturelle et artistique III- A- Ronsard est un Moise mais surtout un nouvel Orphee. Identification a orphée toujours caractéristique de la tradition lyrique: on rappelle qu'il vient de Thrace et qu'il est le fils du dieu fleuve Oeadre et de Calliope muse de la poésie lyrique; il est le chanteur par excellence a la fois poète et musicien. Son pouvoir est sans limite: il enchante le monde par conséquent le poème que nous étudions se veut douce incantation, rupture avec le cycle (cf. Heure v10)

fils d'Atrée, protecteur de son peuple, et le divin Achille. » début de l'Iliade déesse invoquée = une des 9 muses, divinités inspiratrice de la littérature de la musique et de la danse entre autre, mais aussi de l'astronomie, de l'histoire (ici Calliope), de la poésie épique. Achille, fils d'un mortel Pélée, et de Tétis, divinité de l'eau. Hadès / Pluton, dieu des Enfers (enfer païen, lieu où s'en vont les âmes des morts) ne pas donner de sépultures aux corps est la pire des choses. De terribles

leurs lyres et flûtes perdaient le sens de l’orientation, fracassant leurs bateaux sur les récifs où ils étaient dévorés par ces enchanteresses. L’origine des sirènes n’est pas vraiment claire. Selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Achéloos et de la Muse Calliope. De même, Ulysse et ses compagnons parvinrent à résister à leur pouvoir de séduction. Après avoir été mis en garde par Circé, Ulysse fit en effet couler de la cire dans les oreilles de ses marins pour qu’ils ne puissent pas entendre les sirènes tandis

(ars divina), une autre théologie (altera theologia) qui témoignerait de la Vérité sur le mode poétique L'harmonie est dans le sujet de la fresque, elle émane du dieu Apollon au centre qui joue du violon entouré des neufs Muses La trompette de Calliope fait allusion à la renommée des poètes tandis que la cithare suggère par ses sept cordes l'harmonie des planètes Par le nombre parfait de dix qu'ellles forment avec Apollon, les Muses expriment aussi l'harmonie universelle telle que l'a découverte