Callistrate

ne rejoint pas l’intérêt général et se développe alors la satisfaction de la victime.La peine de mort est faite au nom du peuple et donc publique. C’est pourquoi s’est développée l’utilité de dissuasion de la peine de mort. Comme en déclarait Callistrate, un philosophe romain, dans l’une de ses œuvres intitulée Digeste « les assassins de grand chemin subiraient la peine de la croix à l'endroit même où ils ont commis leurs crimes afin que, par ce spectacle terrifiant, les autres soient dissuadés

fabula.org/revue/document3691.php DOI : 10.58282/acta.3691 WEBB, Ruth, « The Imagines as a fictional text  : ekphrasis, apatê and illusion », in  : Michel COSTANTINI, Françoise GRAZIANI et Stéphane ROLET (dir.), Le Défi de l’art. Philostrate, Callistrate et l’image sophistique, Rennes : PUR, 2006, p. 113-136. BERARDI, Francesco, « Le figure dell’evidenza : descriptio e demonstratio nella Rhetorica ad Herennium », Rivista di filología e di istruzione classica, 135 (3), 2007, p. 289-308. CUNNINGHAM

1.1 Peine de mort : historique 1.1.1 Peine de mort antique 1.1.2 Peine de mort dans la Grèce antique : Protagoras, Platon et Aristote 1.1.3 Peine de mort dans la Rome antique : droit romain et influence de Callistrate 1.1.4 Peine de mort dans l'Empire byzantin 1.1.5 Peine de mort au Moyen Âge 1.1.6 Peine de mort dans la philosophie des Lumières 1.2 Peine de mort remise en question 1.2.1 Sources du mouvement

les romains la peine de mort avait pour objectif principal de protéger la société ainsi que de satisfaire la victime ou sa famille mais en second objectif elle devait dissuader les criminels. Cet aspect de la philosophie romaine est issu du Grec Callistrate, qui écrivait dans Digeste que « les assassins de grands chemins subiraient la peine de la croix à l'endroit même où ils avaient commis leurs crimes, afin que, par ce spectacle terrifiant, les autres soient dissuadés de commettre de semblables forfaits

Antigone de Caristos qui écrivent en Grec, dont on a plus les traités. Pline l’Ancien et Pausanias.) Les rhéteurs et poètes : tradition littéraire, comparaison art oratoire et peinture. (Cicéron, Quintilien, Epigrammes, Lucien, Les Philostrate, Callistrate) Les philosophes : perspectives morales (Platon, Aristote et Plontin) Les artistes : critiques techniques (Vitruve, architecte, professionnel de l’Art de l’époque d’Auguste qui a aussi écrit un traîté d’architecture 1) La critique professionnelle

Pausenias (fin 20ème siècle): parcourt et décrit la Grèce. Les rhéteurs et les poètes Ier avant – IVème après Cicéron Quintilien Lucien Epigrammes (sur œuvres d'art) Les philostrates (trois auteurs d'époque imprécise) Callistrate: IV ème siècle. Les philosophes Platon 428 – 347 Aristote 384 – 322 Plotin III ème siècle après JC (six siècles après les premiers): néo-platonicien. A repris et complété les réflexions de Platon. Les professionnels Les artistes

inférieur il va être soumis à la torture préalable Ex : pour arracher au témoin la vérité on lui arrache les ongles Peine de mort était plutôt exceptionnelle sous la Rpb, elle devient fréquente sous l’Empire CALLISTRATE évoque la peine de mort dans le cadre du supplice de la croix Selon CALLISTRATE peine de mort a une double fonction : - fonction satisfactoire « afin que cette peine console les parents et les proches de la victime » - vertu exemplaire « afin que par ce spectacle terrible

l'évergétisme, contribution volontaire et spontanée. On continue à rechercher les honneurs, mais seule une élite restreinte de dirigeants assume les charges de bon gré. On distinguait donc les “honneurs” (honores) et les “charges” (munera): Callistrate, juriste de l'époque sévérienne, précise ainsi que “l'honneur (honos) municipal est la gestion de la communauté avec un certain degré de dignité, avec ou sans frais… On appelle charge (munus) publique ce que nous supportons de la gestion de la communauté

il est parlé plus bas, voyez le Lachès. Il ne faut pas confondre ce Thucydide avec l’historien du même nom. [18] Voyez les notes. [19] Theogn., Sentent., v. 33. [20] Theogn., Sentent., v. 432, sqq. [21] Voyez l’Euthyphron, le premier Alcibiade, Callistrat., VIII ; Euripide, Hécube, v. 838 ; et le Scholiaste. L’explication de ce conte populaire est que Dédale, dans sa première manière, avait terminé ses statues à l’égyptienne, en leur donnant des pieds joints ensemble, ou même, au rapport de Pausanias

qui sont arrêtées demeurent en place. MENON Qu’est-ce que cela fait ? SOCRATE Ce n’est pas une chose bien précieuse ; d’avoir quelqu’une de ces statues qui ne sont point arrêtées, comme d’avoir un es21 Voyez l’Euthyphron, le premier Alcibiade, Callistrat., VIII ; Euripide, Hécube, v. 838 ; et le Scholiaste. L’explication de ce conte populaire est que Dédale, dans sa première manière, avait terminé ses statues à l’égyptienne, en leur donnant des pieds joints ensemble, ou même, au rapport de Pausanias