Callistrate

celles qui sont arrêtées demeurent en place. MENON Qu’est-ce que cela fait ? SOCRATE Ce n’est pas une chose bien précieuse ; d’avoir quelqu’une de ces statues qui ne sont point arrêtées, comme d’avoir un esVoyez l’Euthyphron, le premier Alcibiade, Callistrat., VIII ; Euripide, Hécube, v. 838 ; et le Scholiaste. L’explication de ce conte populaire est que Dédale, dans sa première manière, avait terminé ses statues à l’égyptienne, en leur donnant des pieds joints ensemble, ou même, au rapport de Pausanias

de cité. Pour les Romains, la peine de mort, en plus de protéger la société, devait permettre de satisfaire la victime, ainsi que dans le cas des peines exemplaires, dissuader les criminels. Cet aspect de la philosophie romaine est issu du Grec Callistrate, qui écrivait dans Digeste que « les assassins de grand chemin subiraient la peine de la croix à l'endroit même où ils avaient commis leurs crimes, afin que, par ce spectacle terrifiant, les autres soient dissuadés de commettre de semblables forfaits

pénale du plan familiale et ces principes, sont formulés par 2 jurisconsulte dont les œuvres sont dans le digeste de Justinien : Ulpien ( un fils ne peut souffrir des fautes de son père ) mais il ne consacre pas des dvlpmts théorique à ses idées. & Callistrate : jurisconsulte de l'époque d'Ulpien don des extraits figurent au Digeste. ( Le Crime ou la peine du père ne peut imprimer aucune tache au fils car chacun est soumis au sort selon ses actions et personne n'es successeu du crime d'un autre ) III)

diversité des statuts fiscaux84. La principale question a donc trait à l’existence et à la reconnaissance des droits locaux, eux-mêmes essentiellement d’origine coutumière. En général, la chancellerie impériale et les juristes (Paul, Ulpien, Callistrate, Marcien et Modestin) se montrent favorables aux droits locaux qui prennent le rang de coutumes locales en tant que manifestation d’un consentement populaire confirmé par l’ancienneté. L’autorité des coutumes locales se fonde à la fois sur le

| |     A l'époque de l'Empereur Hadrien, au IIème siècle de notre ère, la législation pénale tient davantage compte | |de l'élément psychologique : dans les crimes, rapporte Callistrate, on doit regarder la volonté de l'auteur et non| |le résultat de son acte (Digeste, 48, 8, 14 ; Jean-Marie Carbasse, Introduction historique au droit pénal, Puf, | |1990, pp. 35-37). Hadrien n'hésite pas à affirmer, dans un rescrit, que l'auteur

législation, la coutume, la doctrine. J. Carbonnier définissait la jurisprudence comme « l’autorité de ce qui a été jugé constamment dans le même sens ». Il traduisait librement une formule d’un jurisconsulte romain du IIIème s., Callistrate, qui écrivait : « En effet, notre empereur Sévère a décidé par un rescrit que, dans les affaires ambigues qui sont provoquées par les termes des lois, la coutume ou l’autorité des choses jugées perpétuellement de manière