Camarade

sort une situation et la prépare. Un élève évalué lit le carton correspondant et doit agir en conséquence... Texte du scenario a preparer par un groupe d’eleves Texte de la situation lu par l’eleve avant de decouvrir la mise en scene de ses camarades Scenario n°1 : Tu t’es fait renverser par une voiture en sortant de l’école. Ta tête a heurté le capot. Tu as très mal à la tête et tu ne te sens pas bien. Situation N°1 : Avec ton voisin tu quittes l’école et tu entends un choc… Scenario

de_ loutre_ », Déduction sur le personnage Le personnage apparaît comme décalé vis à vis de ses camarades de classe. L'utilisation du terme « casque » ( L-18 ), pour qualifier sa casquette traduit de la part du professeur, une sorte d'ironie. Le « casque » apparaît comme un objet surdimensionné, avec une fonction peut être protectrices pour échapper au regard de ses camarades. (Le paradoxe est que, par sa laideur, elle attire tous les regards). L'ironie est accentuée par l'expression

2) et « fournaise » (l. 11) sont deux métaphores qui désignent la bataille ou le lieu des combats ; elles appartiennent au champ lexical de la mort et du feu. 4. a. Les soldats croyaient à chaque instant qu’ils allaient mourir, voyaient leurs camarades tomber et souffraient à la pensée de ne plus revoir leurs familles. Ils ont dû vivre et dormir au milieu des cadavres qui jonchaient le champ de bataille. Ils ont aussi enduré la faim, la soif, le manque de sommeil. b. L’énonciateur emploie un

Lou se sent totalement rejetée du fait de ses deux années d'avance. Ses camarades l'appellent le cerveau et l'ignorent complètement voir la fuient comme si elle était atteinte d'une grave maladie. Naturellement Lou décide d'adopter une attitude négative en se mettant à l'écart et en culpabilisant sur ses difficultés à avoir de véritable relations sociales avec les autres élèves. Lou est secrètement amoureuse de Lucas son camarade de classe bien plus mûre qu'elle. Cependant Lou a une faculté d'observation

Chαque jour les femmes en Europe sont victimes d’une violence flagrante. Il y a des “personnes”, comme quelqu’un inconnu ou leur camarade ou quelqu’un apparenté, qui brusquent leur droit humaine, leur droit de vivre sans violence et il leur retranche le droit de se sentir bien avec leur corps. Alors ils sont la raison pour laquelle elles ont commencé à détester ce qu’elles sont, femmes. En générale, une femme sur quatre a accepté la violence et spécifiquement en Europe, le 15% des femmes vivent

(Elle pleure). Le Monde : « Comment décririez-vous votre camarade ? » Le camarade de classe de Jean : « Jean ? Le type qui était toujours tout seul ? Euh… (il hésite) on pourrait le définir comme… Un drogué en quête de sensations fortes, non ? » (Il demande a sa camarade). La camarade : (Elle rit). « C’est un type inintéressant complètement perdu ! » Le Monde :  « Pourriez vous nous dire quelques mots sur sa mort tragique ? » La camarade : (Interloquée) « Il est mort ?! Je ne savais pas ! (Silence)

[pic] Tout d’abord le sujet du TPE est un travail qu’on a réalisé en groupe de 3éléves: Nawal ,un camarade de la classe de 1el1,Raynati une camarade de ma classe 1el2 et moi .Lors des choix ,on avait du mal a ce mettre d’accord sur le sujet qu’on devrait choisir ;moi je voulait travaillé sur le sujet de l’homme et la nature et Nawal lui voulait traité le thème de l’image basé sur le sujet de l’œil quand ta Raynati elle voulait traité le thème de formes et figures de pouvoir sur le sujet de

de ses camarades, il a pu étudier, conquérir un diplôme, sortir de la pauvreté. C'est comme pour s'excuser de cette Un village de la montagne kabyle au début du siècle. C'est là que vivent les Menrad. Ils ne font pas, comme on dit, " figure de pauvres ". Ils ne se rendent pas compte qu'ils sont pauvres. Ils sont comme les autres ; voilà tout. Dans ce livre Mouloud Feraoun raconte sa propre histoire. Il était destiné à devenir berger, il a eu plus de chance que la plupart de ses camarades, il a pu

ailes. Je leur disais : « Un jour viendra où nous nous retrouverons, où nous parlerons de nos copains, des tranchées de nos misères et de nos rigolades… Et nous dirons avec un sourire : « C’était le bon temps ! » Avez-vous crié, ce soir-là, mes camarades ! J’espérais bien mentir, en vous parlant ainsi. Et cependant… C’est vrai, on oubliera. Oh ! je sais bien, c’est odieux, c’est cruel, mais pourquoi s’indigner : c’est humain… Oui, il y aura du bonheur, il y aura de la joie sans vous, car, tout

Dimanche 26 Décembre 1915 Ma chère épouse, Il m'est arrivé quelque chose d'extraordinaire il y a quelques jours. Des moments irréels qui nous ont fait oublier à mes camarades et moi l'enfer de cette guerre. Car c'est vraiment l'enfer, nous vivons et nous combattons dans de terribles conditions. Je vais bien ne t'inquiète pas, mon aimée, mais la vie est dure dans les tranchées : il y a le bruit incessant des obus qui éclatent à proximité, mêlé aux cris de douleur des soldats. Nous vivons dans