Caméra

mouvement de caméra à 59min 54 permet aussi d’obtenir une focalisation interne. *Citez 2 moments où Tom est observé du point de vue de Miao Lin : sur quoi la caméra se concentre alors ? 59min 37 : La caméra se focalise sur une vue du haut du corps de Tom afin de montrer ses expressions et émotions après son incartade avec Miao Lin. 1h 6min 31 : Ici encore la vue de Miao Lin se focalise sur le visage de Tom. *Citez 3 moments où Tom est regardé par d’autres personnages 41min 14 La caméra prend le point

TRAVELING qui suit Hamm à hauteur de sa taille qui obstrue le champ les ¾ du champ. Mise au point sur sa taille. La caméra arrête son mouvement sur lecteur vinyle. Déplacement des caméras en mouvement inverse pour rester fixe plan taille. La caméra le suit légèrement jusqu’à ce qu’elle s’appesante sur un autre personnage allant dans ma même direction. La caméra s’arrête en plan taille sur le dos du personnage. Les jeunes débarquent dans le salon, dans un état second ils ricanent bêtement

Angles de prise de vues : -Angle normal = caméra à hauteur du sujet, d’incidence nulle. -Plongée (high shot)= Axe optique de la caméra au-dessus du sujet. -Plongée verticale/totale= axe optique de la caméra penché à 90° au-dessus du sujet. -Contre plongée (low angle)= Vue au-dessous du sujet -Contre plongée verticale/totale = 90° dessous du sujet -Angle incliné (tilted shot)= Caméra inclinée par rapport à l’horizon -Angle renversé (upside down)= caméra inclinée par rapport au sujet Composition

Jeudi de 11h A 12H 30 A3514 Cours : analyse de film Du 26/03/14 Extrait : « Halloween » de John Carpenter Ecriture d’un mythe, occularisation primaire, mouvement de caméra on voit également par le masque c’est des plans séquences. Musique très aigue typique des films d’horreurs, qui crée l’angoisse, on est dans le hors champ et donc on est la menace, on est dans une focalisation externe car la fille c’est de qui il s’agit et nous non on nous cache le détail que c’est un enfant même si on a toutes

pénétrer dans la cour par la fenêtre désormais ouverte (moins de 10 secondes). • Panoramique extérieur (grue) à partir d'un chat grimpant dans l'escalier en contrebas que l'on suit ; un mouvement de caméra nous fait alors découvrir l'espace sur 360° (durée d'environ 35 secondes) ; l'œil de la caméra monte et descend, on revient à la fenêtre de départ, à l'intérieur. • Gros plan bref sur le visage en sueur du protagoniste (4 secondes) • Gros plan en écho sur un thermomètre, indiquant plus de 32° Celsius

préfet de police. B) Caméra de surveillance Il est obligatoire de demander une autorisation au préfet du lieu d'implantation de la camera pour la poser si elle est implanté sur la voie publique ou sur les lieux ouverts au public (ex: rue, hopitaux, restaurant, hotel..) Les établissement bancaire font eux la demande à la prefecture du departement concerné. La lois prévoit également que dans les lieux public, tout le monde soit informé en permanence de la présence de ses caméras, par un panneau comportant

Gros plan sur le visage du garçon submergé par les fleurs,puis retour sur un plan Moyen reprenant la scène précédente de l'entrée de l'enfant. Retour sur un plan rapproché l'homme qui fait un regard caméra subjugué lui même par le succès et l'admiration que les gens portent à la femme. La camera suit l'homme jusqu'à la sortie par un raccord dans l'axe. L'admiration de l'homme est encore marquée a son départ quand il se retourne une dernière fois pour regarder la femme. Raccord directe qui

encore réaliste, seulement de l'expressivité. On utilise moins de cartons, les dialogues sont prévisibles pour les spectateurs. Grande liberté technique grâce à la caméra qui est maniable à l'extrême. Anticipation sur les innovations techniques: chariots mobiles, caméra portée... Bourse vue du dessus qui tourne grâce à une flying caméra. Tentatives inédites au niveau de l'éclairage, ce qui rend ce film exceptionnel. Jean Dréville, Autour de l'argent en 1928 Making of où la voix a été ajoutée en

plan l'arrivé des hors-la-loi. Ce qui permet de créer une profondeur de champs. Puis commence un montage parallèle qui donne l'impression que la prise de vue est subjective aux enfants et aux cow-boys. Une fois les plan cow-boys/enfants passé, la caméra se concentre sur le combat entre les fourmis et les scorpions. Sam Peckinpah se sert d'un gros plan en plongé pour nous montrer ce carnage. On repasse sur les enfants mais cette fois si ils apparaissent dans le cadre en gros plan, contre-plongé. Jusqu'à

en pied en plan américain [cadre de la tête aux cuisses]: «petits sur son dos», avec plan rapproché, multiplié, sur les enfants au sein. Un plan d’ensemble sur les hommes, avec leurs allers et venues (donc avec des plans moyens ?) ; en mouvement de caméra, nous aurions un travelling avant, avec plan rapproché, à l’intérieur des chariots, pour terminer, après un plan général (« sur le ciel») par un gros plan, suivi d’un insert sur les yeux. Entre-temps, en contre-plongée, nous les avons vu passer en