Camille Doncieux

perçoit de manière objective.L’artiste s'attache alors à représenter ce qu'il voit et non plus des "hauts faits" ou des sujets mythologiques. Les paysans ou les gens du peuple deviennent des sujets de tableaux. Il y a trois peintres fondamentaux : Camille Corot, Gustave Courbet et Millet Gustave Courbet, personnalité majeure du réalisme, adopte ce terme en 1855 pour désigner la peinture française issue de la révolution de 1848. Ce courant qui va s'étendre sur toute l'Europe se prolongera jusqu'à

anciens ponts de la capitale. 7) Cette œuvre est figurative. Le nombre de couleurs est limité. Lépine privilégie les tons discrets. C’est une peinture très fluide, quasiment transparente. On retrouve dans cette toile des évocations poétiques de Camille Corot, mais dans un décor contemporain et urbain. 8) Cette toile montre la Seine et ses berges telles qu’elles étaient au 19ème siècle. Les couleurs monotones et grisâtres donnent au tableau un certain charme. 9) L’impressionnisme consiste à rendre

de Maintenon (allée forestière pavée) permet de rejoindre le château. * Réserve Biologique Intégrale de la Gorge aux Loups : Autre réserve biologique intégrale ancienne assez différente de celle de Franchard. * Mare aux fées : Peinte par Camille Corot, Renoir. Aspect très esthétique du site. * Bourron Marlotte : Second village célèbre pour les peintres qui y ont séjourné (Renoir dont on peut voir la maison). Visite du restaurant les « Prémices » galerie de tableaux ?

écrivant au sujet de Corot : «Il étonne lentement, je le veux bien, il enchante peu à peu ; mais il faut savoir pénétrer dans sa science, car, chez lui, il n'y a pas un papillotage, mais partout une infaillible rigueur d'harmonie».   Jean-Baptiste Camille Corot, qui deviendra la figure centrale du paysage français à partir du deuxième tiers du XIXe siècle, naît en 1796 dans une famille de négociants parisiens, qui ne facilitent pas l'épanouissement de sa vocation.   Il commence à peindre à l'âge

Jean Baptiste Corot ou Camille Corot né à Paris en 1796 est un peintre français, fils de commerçant, mais n'ayant pas l'âme marchande, à l'âge de 26 ans (1822), il se consacre à une carrière de peintre. Il eut pour professeur Achille Etna Michallon qui fut en 1817 le premier lauréat du « prix de Rome de paysage historique », Il enseigna à Corot l'attachement à la lumière, la construction de l'espace mais aussi les principes néoclassiques et l'encourage à travailler en plein air. Hélas, il meurt précocement

66 cm. Elle est exposée au musée d’Orsay à Paris. * Gustave Courbet peint son autoportrait en 1843-1845 le Désespéré. Cette huile sur toile mesure 45 cm x 54 cm et est conservée dans une collection particulière. * Jean - Batiste Camille Corot peint en 1843 Les Jardins de la villa d’Este à Tivoli. Cette huile sur toile mesure 43 cm x60 cm. Le surréalisme * Le surréalisme est un courant littéraire et artistique du XXème siècle visant la création de toute contrainte.

en allant a l'académie suisse et connaît le succes en 1866 avec sa peinture qu'il acheva en 4 jours « la femme en robe verte » qui est une représentation de Camille Doncieux qu'il épouse en 1870. Monet est influencé par l'art japonais. Il réalise d'ailleurs la Japonaise en 1875 qui n'est autre que son modele favoris, sa femme, Camille Doncieux en kimono. On peut aussi voir l'influence de l'art japonais dans sa toile Impressions soleil levant, qui est la representation d'un paysage matinal au havre

hommes deviennent amis. Il se rend à cette époque en forêt de Fontainebleau pour peindre en plein air. Ses tableaux sont refusés par le Salon officiel de Paris. Il y sera exposé pour la première fois en 1865. Dans les années 1860, sa maîtresse Camille Doncieux apparaît à de nombreuses reprises dans ses peintures comme Le Déjeuner sur l’herbe. Il l’épousera en 1870 et ils auront deux fils. Monet la peindra même sur son lit de mort en 1879. Une découverte qui le marqua à vie Lors d’un voyage à Londres

Johan Barthold Jongkind, le tout entrecoupé par le service militaire en Algérie, Monet se fait remarquer pour ses peintures de la baie d'Honfleur. En 1866, il connait le succès au Salon de la peinture grâce à La Femme en robe verte représentant Camille Doncieux qu'il épouse en 1870. Toute cette période est cependant marquée par une grande précarité. Il fuit ensuite la guerre de 1870 à Londres puis aux Pays-Bas. Dans la capitale anglaise, il fait la rencontre du marchand d'art Paul Durand-Ruel qui sera

hommage et un défi lancé à Edouard Manet, destiné au Salon de 1866. Mais il ne terminera jamais ce tableau, il le découpera en trois morceaux, dont deux survivront, le troisième ayant été détruit pour cause de moisissures. Cette même année, il expose Camille et la Forêt de Fontainebleau. Il rencontre Manet qui deviendra un de ces plus grands amis malgré le fait qu’il subit l’influence de celui-ci et celle de Courbet. Monet fait poser Bazille dans la forêt de Fontainebleau, travaillant à partir de petites