Camille Doncieux

souvent emprunter de l’argent à ses amis, et ses tableaux sont souvent saisis si bien qu’il tente de se suicider en 1868. C’est sa rencontre avec Paul Durand Ruel qui le sauve car il devient son vendeur attitré et lui verse une rente. Son modèle Camille Doncieux deviendra quelque années après son épouse, elle l’inspira pour de nombreux tableaux comme la dame à la robe verte ou encore Femmes au jardin. Sa compagne décède à Vétheuil le 5 septembre 1879. Il la peindra sur son lit de mort. C’est trois ans

rend à cette époque dans la forêt de Fontainebleau, essentiellement pour peindre en plein air. Ses tableaux sont refusés par le Salon officiel de Paris. Mais il y sera exposé pour la première fois en 1865. Dans les années 1860, sa maîtresse Camille Doncieux apparaît à de nombreuses reprises dans ses peintures comme Le Déjeuner sur l’herbe. Il l’épousera en 1870 et ils auront deux fils. Monet la peindra même sur son lit de mort en 1879. La Plage de St-Adresse (1867) Huile sur toile, 75,8x102

que "La Gare Saint-Lazare" (1877) ou Impression Soleil Levant (1874). Cependant ses toiles trouvèrent peu d'acquéreurs et il reste donc Désespérément pauvre. [pic] "La Gare Saint-Lazare" de Claude Monet En 1870, il se maria avec Camille Doncieux, avec qui il avait déjà un enfant. Elle posa dans des toiles de Monet, mais après un enfant de plus, elle tombe malade et meurt en 1879 d’un cancer de l’utérus. Il se remarie en 1892 avec Alice Hoschedé, veuve d’Ernest Hoschedé, collectionneur

Fontainebleau. 1865-1871 Pour la première fois en 1865, ses œuvres sont acceptées au Salon, mais au fil de la décennie ses relations avec l’institition sont de plus en plus complexes et ses tableaux souvent refusés. En 1867, sa compagne Camille Doncieux donne le jour à leur premier fils, Jean. Ils se marient en 1870. A l’Automne de cette même année, pour se soustraire de la guerre franco-allemande, l’artiste se réfugie à Londres. En 1871 il fait un long séjour en Hollande. De retour en France

ensemble et ont maintenu une amitié durant toute leur vie ). Un de ses modèles Camille Doncieux devint quelques années plus tard son épouse. Elle lui servit plusieurs fois de modèle, notamment pour Femmes dans le jardin, peint vers la fin des années 1860. Ils déménagèrent dans une maison à Argenteuil, près de la Seine, après que lui et son épouse eurent eu leur premier enfant. Ils vécurent ensuite à Vetheuil où Camille décéda le 5 septembre 1879 ( il l'a peinte sur son lit de mort ). Monet déménagea

Paris et pendant quelque temps il étudie dans une académie libre fondée par un ancien modèle. Delacroix et Courbet figurent parmi les plus anciens habitués de ce lieu, et autour d'eux se meut le groupe des futurs impressionnistes. Monet rencontre Camille Pissaro et ensemble, ils vont souvent dans des cafés littéraires. En 1861 il doit partir faire son service militaire en Algérie, ses parents refusant de lui payer un remplaçant. Il arrive à Alger au printemps. Les couleurs et la lumière de sud le

paysages et la nature. En 1857, Claude Monet part étudier à Paris et entre à l’Académie Suisse. Trois ans plus tard, il effectue son service militaire en Algérie. Il est réformé en 1862 et retourne à Paris. Dans les années 1860, sa maîtresse Camille Doncieux apparaît à de nombreuses reprises dans ses peintures comme Le Déjeuner sur l’herbe. Il l’épousera en 1870 et ils auront deux fils. Monet la peindra même sur son lit de mort en 1879. Monet peignit en 1872 Impression, soleil levant ; mais ce désormais

amis peintres (comme son ami Bazille) qui l'aideront. C'est seulement après le succès honorable, obtenu au Salon de 1866 avec son portrait en pied de Camille Doncieux (qui lui valu une critique enthousiaste de Zola) que ses parents décidèrent à nouveau de l'aider. Mais pas pour longtemps, car ils apprendront l'année suivante qu'il vit avec Camille. Ils l'obligent à l'abandonner à Paris, où elle donnera naissance à un garçon prénommé Jean.

des tableaux académiques de l’époque, qui représentent la femme en naïade ou en Vénus idéalisées, comme le font Cabanel ou Gérôme, par exemple. Si bien que l’on comprend que le sujet du tableau est véritablement la robe portée par le modèle, Camille Doncieux : la traîne, exagérée, structure le mouvement de plongée vers le mur et Monet s’est attaché à traduire l’effet des rayures chatoyantes, moirées, dont le vert Véronèse domine le tableau. De sorte que l’artiste met ici la mode à l’honneur, et pas

tableaux académiques de l’époque, qui représentent la femme en naïade ou en Vénus idéalisées, comme le font Cabanel ou Gérôme, par exemple. Si bien que l’on comprend que le sujet du tableau est véritablement la robe portée par le modèle, Camille Doncieux : la traîne, exagérée, structure le mouvement de plongée vers le mur et Monet s’est attaché à traduire l’effet des rayures chatoyantes, moirées, dont le vert Véronèse domine le tableau. De sorte que l’artiste met ici la mode à l’honneur