Camp David

deuxième Guerre Mondiale dans les camps de concentrations. Pour cela, je vais m'aider de différents livres tels que «Si c'est un homme» de Primo Levi, et «  les jours de notre mort » de David Rousset. Dans la suite de mon analyse d'autres livres viendront, mais je n'ai pas encore défini lesquels. Avec le livre de David Rousset, j'ai déterminé différentes catégories de résistances et qui sont surtout liées à la hiérarchie des camps. Par la suite, je vais essayer d'être plus claire avec mes catégories;

David olere PROBLEMATIQUE : Plan : -1/biographie-2/son existence-3/Ses motivations en tant qu’Artiste-4/conclusion+ ouverture vers autres sujets | -1/biographie : David Olère naît à Varsovie (Pologne) le 19 janvier 1902 dans une famille juive. Arrêté par la police française à l’âge de 41 ans, il est déporté à Auschwitz le 2 mars et, en 1945, il est envoyé à Buchenwald, puis au camp de Melk, puis à Ebensee où il est libéré par l'armée américaine. Il meurt à Paris, le 21 août 1985. -2/Son

politique antisémite, qui va en puissance qui va de l'exclusion à l'extermination, les camps de concentration au camp d'extermination. Mars 1942 le 1er camp de concentration à Dachau. 1Er Janvier 1942 c'est la conférence de Wammsee. C'est l’adoption final par les nazis il s'agit d'éliminer les nazis. Le sort des juifs, il subissent des mesures discriminatoire ( port de l'étoile de David, pas le droit d'aller dans les parc) les juifs sont rassemblé dans les ghettos. C'est le ghetto de Varsovie jusqu'à

les bassesses qu’elle engendre. Il ne parle que de ce qu’il a vu, de ce qu’il a enduré, et il en parle avec une émouvante bonne foi. » (Parisien libéré) « Ce qui ajoute à ce récit qui prendra sa place à côté de ceux de David Rousset et d’Eugen Kogon, ce sont les trois croquis du camp, un schéma de la hiérarchie, et surtout une série absolument étonnante d’articles cueillis dans les journaux de 47-48 et qui visent à démontrer, sans commentaires, que les horreurs des camps allemands ne sont pas un fait

Le tableau de David Olère nous permet de comprendre les spécificités du camp d'Auschwitz par rapport aux autres camps de la mort. Il s'agit d'un camp mixte, d'extermination et de concentration. Une partie des déportés juifs est sélectionnée pour travailler dans les usines autour du camp ou dans le camp. Ils y rejoignent des non Juifs (opposants politiques, homosexuels, prisonniers russes, droits communs, etc.).les_inaptes_au_travail.gif À l'arrivée des convois juifs, il y a donc une "sélection"

tous les juifs allaient en camp d’extermination. Chaque camp d’extermination nazi avait un fonctionnement, mais il y avait une symbolique précise qui fonctionnait dans tous les camps. Elle était utilisée pour distinguer les Juifs, des Tziganes, des opposants politiques ou des homosexuels. Deux triangles inversés formant l’étoile de David étaient destinés aux Juifs. Les camps de concentration ont commencé à se créer en 1940 quand Himmler ordonne l’établissement d’un camp de concentration à Auschwitz

«bon» prisonniers. Les déportés sont roués de coups car ils ralentissent le service de nourriture. Les prisonniers n'ont quelque fois pas le temps de s'y habituer la mort vient trop tôt . IV. L'organisation du camp. Les camps de concentration sont soigneusement organiser. Bien sur le camp est entouré par des clôtures orné de deux rangés de barbelés. Il est composé nombreuses baraques qui sont aussi nommée blocks. Dont certaines sont occupés de cuisine, de douche et de latrines, d’infirmerie et

les inaptes au travail David Olère, juif né à Varsovie (pologne)en 1902 et est mort en 1985 , il arrive en France en 1923. Il est arrêté en 1943 et déporté à Auschwitz-Birkenau. Sélectionné pour le travail, il est employé comme terrassier puis travaille au Sonderkommando du crématorium 3. En même temps, il effectue des travaux artistiques pour les SS. En 1945, à la libération du camp, il survit à la "marche de la mort" qui le mène dans d’autres camps puis est libéré par l’armée américaine

Histoire: 1) La famille Adoner est francaise par naturalisation, mais est d'origine polonaise. Elle connait des mesures d'exclusions telles que le port de l'étoile de David, le recensement, l'arrestation (rafle), et la déportation, tout d'abord dans des camps de transits puis dans des camps de concentrations et d'exterminations. 2) Les arrestations sont perpétuées par la police francaise et la Gestapo, l'internement lui est assuré par l'Etat francais. On peut parler de rafle, puisqu'ils s'agit

artistes de la première période page 5 Les artistes internés page 6, 7, 8 Quelques œuvres (le surréalisme) page 9 Hans BELLMER Max ERNST page 10 Robert LIEBKNECHT page 11 Ferdinand SPRINGER page 12 WOLS page 13 David OLERE page 14 Les jeunes générations Pascal CROCI page 15 Art SPIEGELMAN page 16 Les œuvre « in-situ » Jochen GERZ page 17 Christian BOLTANSKI page 18 Conclusion « dans l’enfer des camps » page 19 « Sous l’horreur