Camp de Gurs

Palestine. Divorcée en 1937, elle se remarie le 16 janvier 1940 avec Heinrich Blücher un réfugié allemand, ancien spartakiste. En mai 1940, en raison de l'avancée éclair de la Wehrmacht en France, elle est internée en tant qu’« indésirable » au camp de Gurs avec d'autres apatrides. Profitant de la vague de libérations qui suit la signature de l’armistice franco-allemande, elle parvient à gagner Montauban puis Marseille où elle obtient, grâce au Centre américain d'Urgence de Varian Fry, un visa pour

femme de Heidegger est une nazie, et Hanna ARENDT est juive. ARENDT quitte l’Allemagne en 1934 pour aller en France, ensuite la France déclare la guerre à l’Allemagne, la France est battue, ARENDT est arrêté et emprisonné par les français au camp de Gurs. Elle s’évade et s’enfuit aux États-unis. Elle se marie, puis elle divorce. En 1951 elle retrouve HEIDEGGER et elle le revoit jusqu’à sa mort. Aux États-unis elle enseigne dans les Universités. Elle est considérée comme le plus grand penseur

entre le gouvernement républicain espagnol et le gouvernement mexicain étaient bonnes : c’est pourquoi le président mexicain Lázaro Cárdenas a offert son pays comme refuge aux républicains espagnols si la lutte armée s’avérait être défavorable à leur camp. Au total, leur nombre au Mexique a été de 21 750 : c’est donc le pays d’Amérique latine qui a accueilli le plus important contingent d’émigration espagnole forcée. Il en a été de même au Chili, où la connivence politique avec la République espagnole

méthode prônant le mouvement et l'utilisation du couplage chars/avions. Une conception était celle des plus grands hommes de guerre du pays. 3 3) L'exode: La débâcle=> un panique des civils qui =transformation du pays en « un gigantesque camp de nomades errants » (Jean-Pierre Azéma) : Dès le début de l'offensive, des milliers de frontaliers des régions septentrionales, effrayés par l'arrivée des Allemands, dont l'occupation de 1914-1918 avait laissé un cruel souvenir, font marche vers

Paris », nous relate les événements du début du siècle. Ce texte est plutôt un texte de mémoires qu’un journal, malgré son titre, Journal d’un bourgeois de Paris. Texte subjectif, il arrive à l’auteur de taire complètement des événements favorables au camp adverse, en l’occurrence celui du roi de France, Charles VII. Il parvient ainsi à parler de l’année 1429 sans évoquer un seul instant le sacre du roi ! À la fin du XVe siècle, un autre chroniqueur, Philippe de Commynes, nous permet d’approfondir cette