Canal du Mozambique

la révolution des transports 1. Valorisation et développement des lieux de convergence des moyens de transport ð Position particulièrement stratégique des détroits qui contrôles les grandes routes maritimes (Malacca, Ormuz, Gibraltar...) et des canaux internationaux (Suez, Panama) ð Attraction particulière : § Des zones industrialo-portuaires ú Littoralisation des activités, ú Valorisation des zones portuaires, points de rupture de charge, et lieux privilégiés d’industrialisation

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révolution des transports 1. Valorisation et développement des lieux de convergence des moyens de transport   Position particulièrement stratégique des détroits qui contrôles les grandes routes maritimes (Malacca, Ormuz, Gibraltar...) et des canaux internationaux (Suez, Panama) Attraction particulière : Des zones industrialo-portuaires Littoralisation des activités, Valorisation des zones portuaires, points de rupture de charge, et lieux privilégiés d’industrialisation

par ailleurs un espace intercontinental vital pour le commerce mondial47. Passage vers le Sud, reliant l'Atlantique au Pacifique, elle est une voie alternative au canal de Panama, principalement pour les grands navires. La route du Cap de Bonne-Espérance, reliant l'Atlantique Sud à l'océan Indien, est également une alternative au canal de Suez et offre également un accès plus aisé vers l’Antarctique. Outre les liens historiques et culturels unissant le Brésil au continent africain, ou encore les

les pays participant au projet et d’augmenter leurs parts du marché international. Les pays africains participant au projet, énumérées par leur ordre d’importance en tant qu’exportateurs de noix de cajou sont : la République Unie de Tanzanie, le Mozambique, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire, le Nigeria, le Bénin, le Kenya, le Sénégal et le Madagascar. Les bénéficiaires projet seront les petits producteurs d’anacarde et les petits et moyens transformateurs et exportateurs. Le projet devrait avoir

méditerranéen grâce à la possession de certains carrefours géographiques moteurs. En effet, le littoral méditerranéen africain est un espace traditionnellement ouvert aux échanges : la route maritime essentielle, est-ouest, va du détroit de Gibraltar au canal de Suez. Quatorze mille navires l’empruntent chaque année : c’est pour l’Egypte une source primordiale de revenus. En Algérie, le port d’Arzew est considéré comme l’un des deux principaux ports de la région méditerranéenne, avec pour particularité

financer le barrage en posant leur véto sur la banque mondiale. Nasser se tourne alors vers le bloc de l’est, et obtient des armes en plus d’une coopération économique avec l’URSS. Il n’a cependant pas encore d’argent, il nationalise donc en 1956 le canal de Suez qui alors une propriété franco-britannique, il fait alors un grand discours à Alexandrie en disant « la pauvreté n’est pas une honte, c’est l’exploitation des peuples qui l’est, nous reprendrons tous nos droits ». * Les occidentaux vont

servir d’escales sur la route des Indes et de voie d’accès vers l’Empire d’Ethiopie. Exclue d'Afrique orientale, la France trouve une appréciable compensation dans l'annexion de la grande île de Madagascar, séparée de l'Afrique australe par le canal de Mozambique. Cette annexion, qui se fait en 1896, apparait comme la conclusion logique d'une longue histoire. Toutes ces conquêtes sont souvent brutales, les français compensent la faiblesse de leurs effectifs en profitant de leur supériorité technique

téléphonique directe entre New-York et Moscou (c’est un télétype, sorte de fax). En 1962 il y a une rupture en Pékin et Moscou, les Chinois sont fâchés car ils n’ont pas supportés la déstalinisation. Les Usa ont du coup toujours Cuba et surveillent le canal du Panama. Les Américains arrêtent leur blocus à Cuba et en font un embargo (pas d’achats à Cuba, plus d’approvisionnement en gaz etc.) La France est un allié turbulent et peu fiable. Les Usa se méfient mais lorsqu’ils ont besoin d’aide, la France

beaucoup de leaders qui ont participé à la conférence représentent des pays socialistes (Chine, Cuba, Egypte). Elle prône le non-alignement. - La crise de Suez en 1956 accentue la question coloniale. Le président Nasser décide de nationaliser le canal de Suez, source de revenus indispensable pour l’Egypte. Les anglais et les français organisent une expédition militaire pour renverser Nasser qui tourne court. Les Etats-Unis n’apportent aucun soutien à cette intervention et désavouent leurs alliés