Candide Allégorie

SYNTHESE DE CANDIDE Le titre Candide ou l’optimiste souligne les caractères principaux du personnage. Ce conte philosophique publié en 1759 a été écrit à la suite du tremblement de terre de Lisbonne et durant la guerre de sept ans qui sont pour Voltaire autant de représentations du mal et de la souffrance. En retrait de la guerre et des troubles religieux, assis confortablement sur sa richesse en Suisse, Voltaire pourra assez librement disserter sur le mal. Voltaire, et en particulier dans son

Candide : Chapitre 1, une scène d'exposition Introduction Dans cette scène d'exposition, on se retrouve dans l'univers d'un conte où le temps semble figé. La description des personnages se fait paragraphe par paragraphe en commençant par le personnage principal : Candide. I - Les éléments du conte traditionnel a- Le schématisme des personnages Noms portraits (prénom donnant des informations sur le personnage : - Candide = personnage naïf; -« Thunder-ten-tronckh » avec [t] = élément dur et

= enterrent les morts  Questionnement = utile progrès _ survivre  Ne pas se poser que questions  = se laisser influencer = ignorance Ex : totalitarisme Allégorie de la caverne  Animal, bébé, un certain handicap mental, dépression profonde ne se posent pas de questions Trop de questions ne nous empêche-t-il pas d’agir ? II- Questionner la vie peut empêcher de vivre  Accepter l’ordre des choses

Conclusion de Candide Voltaire De « candide, en retournant dans la métairie,… » jusqu’à la habile Préciosité S'attacher une abrégé de texte : Rubriques aidez-moi ! Forum maths originaire Biologie prédominant Les tpe Avertissement Analogie Oral du bac de français Méthode Révisions Fil de l'oral Objectif à apporter Source authentique Ecrit du bac de français Accueil

FONCTION DIDACTIQUE Il est porteur d'un enseignement moral ou social qui se révèle dans une moralité. IL INSTRUIT EN PLAISANT L'usage du récit de fiction est un moyen de proposer une réflexion sérieuse sous un dehors agréable (forme ludique, allégories). LES FORMES DE L'APOLOGUE L'apologue recouvre divers sous-genres narratifs. LA FABLE Il se confond originellement avec ce genre très ancien hérité du poète grec Esope et popularisé au XVIIe par La Fontaine. La fable est un court récit de

l’apologue qui ne sont pas destinées qu’aux enfants. L’apologue possède une forme ludique. Tout d’abord, l’apologue met en scène une histoire plaisante à la structure simplifiée. Ainsi, dans son conte philosophique Candide, Voltaire met en scène les aventures d’un jeune homme, Candide qui parcourt le monde pour de multiples raisons, et finit par se forger une philosophie propre. Cet apologue est plaisant car les péripéties sont nombreuses et le voyage est omniprésent. Aussi, le roman Le Petit Prince

vivante et rythmée. C’est le cas du conte philosophique « Candide », de Voltaire, où par exemple, dans le chapitre intitulé « L’autodafé » retrouve de courtes descriptions, mais très pittoresques afin de ne pas lasser le lecteur (« Ils marchèrent en procession ainsi vêtus, et entendirent un sermon très pathétique, suivie d’une belle musique en faux bourdon. ») On ne s’attarde pas sur les actions, elles s’enchainent à un rythme effréné. Candide sera ainsi fait prisonnier, puis défilera, verra ses compagnons

L'albatros revendique tous ces vœux. Baudelaire à formulé l'idée à partir de laquelle s'organisera toute sa poésie: -la loi de l'analogie universelle révélant la vérité absolue. Il va donc au delà du réalisme. D'autres poèmes restent de simples allégories : la chevelure, l'invitation aux voyages, la vie antérieure → symbolisme transparent. La Beauté de Baudelaire INTRO: Ce poème, La Beauté à été écrit par Charles Baudelaire, auteur symboliste du XIXème siècle. Ce texte a la forme du sonnet

va humaniser pour faire passer un message sous forme de mise en abyme. Nous nous intéresserons à l’art du récit et à la fonction du discours. Concernant l’art du récit, on remarque que l’auteur donne la parole à des personnages symboliques, des allégories, qu’il met en scène en les humanisant et en les dotant de qualités et de défauts, ce qui donne un peu plus de dramatisation. Tout d’abord, on peut faire un portrait des deux personnages : la Vérité, « nue », « s’ennuyant », « vieille

l’ait fort effrayé, il est néanmoins profondément touché par la violente aspiration à la liberté du peuple. C’est donc bien lui qui imagine et crée ce « sujet moderne » qui deviendra le symbole par excellence de la République naissante : Marianne, allégorie de la liberté. La liberté guidant le peuple est un tableau peint par Delacroix en 1830. Il fut commandé par Louis Philipe, souverain libéral et ami des artistes, et vu pour la première fois par le public pour lors du Salon officiel des artistes