Candide Chapitre 19 Rythme

ajoute des réflexions personnelles qu’il émaille d’un grand nombre de citations grecques et latines ; ces citations rendent la lecture du livre un peu fatigante. La narration n’est point suivie, l’auteur commence un chapitre sur un sujet, mais bientôt il abandonne son idée, et le chapitre se termine sur un sujet tout à fait différent. Il parle de tout à propos de lui, et de lui à propos de tout ; il se pose mille questions, les résout à sa manière, sans donner toutefois sa solution pour la meilleure

centre de cette fascination. L’autrice explore les liens entre l’art et la vie. Dans TV : • Dès le chapitre 1, avec la scène de l’écureuil, l’artiste affirme qu’il préfère la contempla- tion de l’animal à la peinture. Ce lien se retrouve dans la structure du livre en chapitres brefs sont les titres sont des couleurs de peintre. • Interrogation des liens entre le modèle et le tableau : chapitre sur Adeline Ravoux (la différence entre le réalisme et la peinture). • La peinture est créatrice de

afin de s'adresser au Créateur. [sous partie B : le thème dominant évoqué par cette quarante sixième lettre se rapporte à la diversité des religions et des pratiques cultuelles] Dans ce discours confessionnel, les péripéties s'enchaînent à un rythme endiablé. Les mésaventures de cet homme s'accumulent, tête-bêche. Le lecteur que nous sommes se perd un peu dans ce dédale de coutumes, de rituels. Le caractère très allusif et elliptique des références multiples aux pratiques religieuses permet de

taille pliée, la gorge renversée, elle tendait les bras » (l. 37). Ces femmes se montrent aussi entreprenantes car elles prennent l’initiative de la séduction. Carmen adresse la première la parole au narrateur et le taquine sur son « épinglette » (l. 19), lui lance « la fleur de cassie qu’elle avait à la bouche [...] juste entre les deux yeux » (l. 26). La prostituée attend Tressignies, « sûre qu’il viendrait » (l. 20), l’incitant à « s’enfoncer dans la rue Basse-du-Rempart » (l. 14). Même la vieille

réalité de la torture demeure. On trouve un euphémisme à la ligne 12 "ces expériences". Puis on passe dans un cadre international, mise en parallèle de la France et de l'Angleterre l.14, (Illustration historique précise, personnage réel, ville réelle l.19, vrai motif de la condamnation, on l'appellerai aujourd'hui un fait divers). Le but de ces angles d'approche permet de dénoncer la torture. II- a) Une fausse justification historique :    En effet on a une référence a l'histoire romaine, avec une

dans le quartier de la Nation (p. 20). Le lendemain, Zazie se rend aux puces, derrière la porte de Clignancourt, qui n'est pas nommée (p. 45). Après une discussion puis une course-poursuite avec Pedro-Surplus, elle revient avec lui chez Turandot (chapitres 4, 5, 6 – p. 66). Charles, Gabriel et Zazie repartent en taxi vers la tour Eiffel le long de la ligne 6. Ils rencontrent Fedor Balanovitch, guide touristique dont les touristes « guidnappent » Gabriel (p. 98). Zazie, la veuve Mouaque et Trouscaillon

(Lochard-Soulages, 1999, p.101). Parfois non-figuratives, elles sont alors évocatrices par leurs rythmes, leurs jeux de formes et de couleurs des visées, du contenu et de la tonalité du programme. c) à la musique qui est un élément tout aussi décisif de la stratégie de captation mise en oeuvre par le générique. A travers le choix du genre (musique classique, jazz, chanson, musique ethnique) , de l’interprète, du rythme, du niveau, c’est également l’univers du programme qui est mis en avant. C’est à ces différents

...................... 58 Vers le Bac ................................................................................................................................ 60 35 2. LE PERSONNAGE DE ROMAN AU X Xe SIÈCLE Introduction au chapitre Le roman, au XXe siècle, est un gigantesque laboratoire dans lequel ont lieu des expérimentations extrêmement variées. Ce genre connaît un succès énorme, tout en étant contesté et remis en cause de l’intérieur, au sein même des entreprises romanesques

partie « des cannibales » de ses Essais va prendre le parti de la connaissance et rechercher à analyser ces nouveaux peuples sans préjugés. - Présentation de l’extrait  : Au chapitre 31, après s’être interrogé sur la notion de barbarie, il compare les mœurs des Indiens à celles des Européens. De manière didactique, il présente les coutumes guerrières de ce peuple. La comparaison avec celles des Portugais permet à l’auteur de

lecteur la vision d’un univers très personnel. Ses récits font néanmoins froid dans le dos, Extrait de la publication LES CLASSIQUES ET LES CONTEMPORAINS Édition de Patrice Kleff. Texte intégral / Collège 9782080721105 3,30 € • 96 pages. 19 CATHRINE (ARNAUD) LES YEUX SECS ------------------------------- BRECHT Voir SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE, p. 53 BRETON Voir DES FEMMES, LE SURRÉALISME, p. 53 p. 48, BRONTË (CHARLOTTE) Voir ON N’EST PAS SÉRIEUX QUAND ON A QUINZE ANS, p