Candide Colonisation

COLONISATION ET DECOLONISATION Question 2 : La décolonisation. C’est un phénomène historique majeur de la seconde moitié du XXème siècle, on utilise couramment deux termes. Le premier est davantage utilisé de façon générale ou du point de vue de la métropole, le second se place davantage du point de vue du colonisé. Décolonisation : retrait forcé ou négocié des puissances impériales de leurs colonies. Emancipation : Processus par lequel un peuple dominé se libère de la tutelle coloniale

et la sensation de soumission des femmes muettes, ainsi que le droit de regard du colonisateur, montrent une colonisation inégale que subissent les indigènes. Quarante ans plus tard, l'artiste Huria Niati reprend l'idée de ce tableau, en barrant les visages des colonisés dans un décors sobre. Cette oeuvre, 'No To Torture', montre le point de vue des générations indigènes post-colonisation, pour dévoiler la voilence et l'indifference des blancs envers les indigenes. La consience des societés a donc

LA COLONISATION EUROPEENNE ET LE SYSTEME COLONIAL   A partir de la seconde moitié du 19éme, les grandes puissances européennes étendent leur domination sur l'ensemble du monde. Sûr de la supériorité de sa culture, l'Europe se lance avec bonne conscience dans les conquêtes coloniales, persuadée d'apporter la civilisation aux races qu'elle estime inférieures. A partir des années 1880, s'engage une course aux colonies en direction de l'Afrique et de l'Asie.   I Les conquêtes coloniales : A) Les

En Europe, la situation est là encore très différente. En effet, les communautés immigrées ont dans l’immense majorité des cas gardé un lien très fort avec leurs pays d’origine. Ainsi, malgré des contacts anciens avec la métropole (liés à la colonisation), noirs et maghrébins de France et d’Europe sont en connexion permanente avec leurs pays d’origine (comme les autres communautés récemment arrivées d'ailleurs). Cette connexion est bien évidemment facilitée par les moyens modernes (transports

contexte favorable à la décolonisation. L’analyse des grandes étapes de l’émancipation des peuples d’Asie et d’Afrique sous forme de décolonisations arrachées et négociées fera l’objet d’une deuxième partie. Les difficiles indépendances sous la néo colonisation, puis les tentatives d’organisations de ces Etats nouvellement indépendants pour s’affirmer sur la scène internationale seront étudiées en dernière partie. Au lendemain de la Seconde Guerre mondial, le contexte international encourage les mouvements

l’exploitation des matières premières chinoises : les européens contrôlent 80% de l’exploitation du fer et du charbon chinois. Les économistes ont montré qu’un démarrage économique a commencé dans certains pays grâce aux investissements des européens. La colonisation ne se résume pas au pillage. C’est la cas de l’Égypte, de l’inde ou de la chine, grâce au développement et l’amélioration des infrastructures, l’installation d’une agriculture spéculative (travaux d’irrigation) et modernisation de l’appareil industriel

prise de possession de la Nouvelle-Zélande par l’Angleterre, 2 000 Européens seulement vivent dans le pays. Mais au même moment des navires affrétés par la New Zealand Company d’Edward Wakefield et chargés de colons font voile vers l’archipel. La colonisation de peuplement est en marche et la spoliation des terres maories commence, provoquant les guerres de Nouvelle-Zélande à l’issue desquelles les colons récupèrent les meilleures terres sur les Maoris, vaincus. Nous traiterons alors de l’évolution

Biographie de l’auteur Ahmed Sefrioui Ahmed Sefrioui, écrivain marocain, est né en 1915 à Fès. C’est l’un des premiers fondateurs de la littérature marocaine d’expression française. Passionné de patrimoine, il a occupé des postes administratifs aux Arts et Métiers de Fès, puis à la direction du tourisme à Rabat. Il sera à l’origine de la création de nombreux musées comme Batha, Oudaya et Bab Rouah. Il est mort en mars 2004. I. Ses œuvres Le Chapelet d’ambre (Le Seuil, 1949) : son premier roman

contact » restant imprécise) caractérisent les diverses colonisations. Ceci nous conduit à formuler une seconde critique : une telle oeuvre manque du sens relativiste et n'accorde pas une suffisante attention aux différentes situations qui ont suscité la colonisation au cours de l'histoire ; elle s'en tient à un niveau de généralité, ne différenciant pas clairement les caractères communs et les caractères spécifiques des diverses colonisations, qui réduit sa portée. Surtout, la manière même dont l'étude

La colonisation européenne et le système colonial, du milieu du XIXe au milieu du XXe siècle 1. La constitution des Empires coloniaux (origines économiques, idéologiques, militaires, en insistant sur la conférence de Berlin et sur l’incident de Fachoda). 2. Les relations entre colonisateurs et colonisés (le système colonial ressources/cultures vivrières et produits bruts/produits transformés revendus dans les Empires ; assimilation/association ; le poids de la Grande Guerre dans la déconstruction