Candidose

indépendamment de toute infection opportuniste (wasting syndrome). La sérologie VIH doit être proposée de façon systématique, surtout en cas de facteur de risque ou de pathologie opportuniste (mycobactériose, pneumocystose, syndrome de Kaposi, candidose œsophagienne). Dans la tuberculose, l’amaigrissement est classiquement accompagné d’une fébricule vespérale et de sueurs nocturnes, d’anorexie et conservation d’une langue rose, par opposition à d’autres pathologies où elle est saburrale. Avec perte

ou pharyngées importantes. - Traitement des candisoses digestives à l’exclusion de la candisose oesophagienne de l’immunodéprimé. - Traitement complémentaire des candisoses vaginales et cutanées, dans le but d’obtenir la stérélisation d’une candidose intestinale déjà associée. - Prévention des candisoses chez les sujets à très haut risque : prématurés, immunodéprimés, malades soumis à une chimiothérapie antinéoplasiques. Conditions particulières de conservation : Poudre pour suspension buvable :

incriminée selon certains auteurs La muqueuse laryngée peut devenir granuleuse et couverte de fausses membranes, faisant évoquer une diphtérie. L’association avec une trachéite est fréquente. c) Les formes mycosiques: Subaiguës en général: Candidoses: en présence de facteurs favorisants (CTC, ATB à large spectre, diabète, alcool, intubation prolongée, irritation laryngée, caustiques, immunodépression). L’infection peut s’étendre aux régions anatomiques proches comme l’œsophage ou le reste des

trichocéphalose, trichinose) ; — Taeniases et bothriocéphalose ; — Echinococcose, cysticercose et sparagonose ; — Filarioses ; — Schistosomoses ; — Distomatoses. Mycoses superficielles : — Dermatophyties ; — Pityriasis versicolor. Mycoses profondes : — Candidoses ; — Aspergillose ; — Blastomycose ; — Cryptococcose ; — Histoplasmoses ; — Mycétomes ; — Autres mycoses Rhinosporidose). (Coccidioïdomycose, Chromoblastomycose, Sporotrichose, Phycomycose, 4 81-11-12 Création du CES de maladies

l’humidification des voies respiratoires supérieurs avec des résultats cliniques souvent immédiats. ATROVENT 0,50 mg : anticholinergique Effets secondaires : Troubles : digestifs, cutanés, endocriniens, neuropsychiques… Par voie inhalée : Candidose oropharyngée, modification de la voix, risque de bronchospasme VENTOLINE 5 MG (pendant 15 min bronchodilatateurs = beta-mimitique à action rapide et de courte durée) Effets secondaires : Tachycardie, avec risque du trouble du rythme

provoquent des maladies comme la peste, la tuberculose et le charbon, les protozoaires responsables de maladies comme le paludisme, la maladie du sommeil et la toxoplasmose et enfin les champignons qui provoquent des maladies telles que la teigne, la candidose ou histoplasmose. D'autres maladies comme la grippe, la fièvre jaune ou le SIDA sont causés par des virus pathogènes qui ne sont généralement pas classés comme des organismes vivants et ne sont donc pas des micro-organismes au sens strict du terme

l’activité de son système immunitaire pour qu’il tolère l’organe greffé. Les patients deviennent alors plus vulnérables à certaines infections quelle soit : - virales : oreillons, varicelles…… -bactériennes : staphylocoques,…. -mycosiques : candidose,aspergillose,…. Ils ont également un risque plus élevé de cancer (cancer de la peau en particulier), de diabète, d’hypertension, d’insuffisance rénale…. Ne pas oublier que la possibilité d’un rejet n’est jamais éradiqué Il existe plusieurs

anorexie  hospitalisée en Pneumologie Examen GCS = 14/15, somnolente Patiente asthénique, cachectique Pas de déficit sensitif ou moteur ni syndrome méningé FR=24 cpm , SpO2 = 95% Auscultation cardiaque et pulmonaire sans anomalies Candidose buccale Le reste de l’examen: sans particularités Biologie NFS ◦ GB = 3430 élmts/mm3 (PNN=3050 , lymphocytes=310) ◦ Hb=8,6 g/dl ◦ Plq = 139.000 élmts/mm3 Na+ = 134 / K+ = 3,8 Pas de cytolyse ni cholestase hépatique Fonction rénale

Education du patient sur l'utilisation de l'aérosol : on ne sent pas tjrs le médicament passer, mauvaise technique = le patient croit prendre son ttt ≠ réalité. Lors de l'administration de corticoïdes : rincer la bouche du patient → risque de candidose oropharyngée Utilisation de médicaments pour voie IV en inhalation → absence de sulfites Utilisation de chambre d'inhalation (en pédiatrie) : on met la dose et on laisse l'enfant inhaler Attention aux mélanges dans les aérosols nébulisés → incompatibilité

arthralgies, myalgie… et atteintes cutanées (éruption), pharyngite +/- ulcérations, ulcérations génitales,… Phase asymptomatique (10 ans en moyenne) = stade A et parfois symptômes non classés au stade SIDA (=stade B) : signes « mineurs » : zona, candidose buccale, thrombopénie liée au VIH Si CD4100)  bilan fièvre prolongée, sueurs nocturnes avec anorexie, amaigrissement. Vaccination par le BCG vaccin à bacilles vivants atténués. Efficacité partielle mais qui permet de réduire la fréquence des formes