Cannabis indica

joints, chez l’homme, contribue à une baisse de la fertilité[58],[59]. Pendant la grossesse, la consommation de cannabis risque d'entraver l'activité cérébrale du fœtus, retardant le développement du cerveau in utero[60],[61]. La tératogénicité de la consommation de cannabis durant la grossesse semble cliniquement non significative. Cependant, après une exposition in utero au cannabis, des atteintes cognitives pendant les années d'enfance ont été observées, avant tout sur l'attention et les tests

cellules nerveuses du cerveau - les neurones - communiquent les unes avec les autres en libérant des composés chimiques - les neurotransmetteurs - à partir de leurs terminaisons nerveuses. Cependant nous pouvons constater que la consommation de cannabis peut influencer l’apparition de cette pathologie. Il existe aussi des facteurs biologiques : Environ 50% des cas sont du a l’hérédité et joue un rôle important mais pas décisif dans l’apparition de la schizophrénie. Des études ont était mis

Peyrot et moi-même. Nous nous sommes donc intéressées sur l’influence des facteurs extérieurs dans la consommation de cannabis et de tabac. Nous voulions comprendre pourquoi leurs consommations se banalisent. Pourquoi, « se droguer est un phénomène qui se développe », surtout chez les jeunes. Au bout de plusieurs séances, nous avons trouvé une problématique générale : « Le cannabis et la cigarette sont-ils des modes de vie ? ». Selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes)

Il serait plus que temps que cette hypocrisie finisse. Il serait plus que temps que cette hypocrisie finisse. Non le cannabis n’est pas plus dangereux que l’alcool. Dans certains pays, c’est un produit de consommation courante comme l’est l’alcool sur notre continent.Je fume depuis 19 ans. J’ai une situation appréciable, mes enfants sont étudiant, et n’ont pas plus de problème scolaire qu’on les autres enfants. Je ne suis ni un délinquant, ni un antisocial . Je suis moi même. Je ne bois quasiment

un même composé chimique peut être appelé médicament ou drogue, selon son usage.1 L’usage de la drogue aujourd’hui et chiffres La consommation de stupéfiants en France s'est considérablement aggravée ces dix dernières années. En effet, le cannabis est, avec plus des trois quarts de l’ensemble des stupéfiants, le produit le plus consommé avec 3,9 millions de consommateurs, dont 1,2 millions de consommateurs réguliers. La moitié de ces consommateurs font un usage épisodique, un tiers en ont

L'addiction au cannabis Les drogues sont généralement classées en fonction de la possibilité à générer une addiction qu'elle soit physique ou psychique et sont considérées comme particulièrement dangereuses si elles répondent aux deux critères. Le cannabis fait partie de ces drogues, à vrai dire ces effets d'addiction sont loin de produire une addiction comparable à celle de l'héroïne, l'alccol ou le tabac. Le cannabis est la seule drogue qui fait à la fois partie des stimulants,des neuroleptiques

positif avec cette décriminalisation. Également, il croit que cette légalisation dirigera les trafiquants de drogue douce vers des drogues dures. Pour le citer : « Les criminels ne sont pas fixés sur un produit mais sur l’argent. Si on légalise le cannabis, ils se reporteront vers des drogues dures (cocaïne et autres drogues de synthèse). ». La gestion de la marijuana par un gouvernement amènerait donc les vendeurs de drogues à changer leurs produits de ventes par des substances beaucoup plus nocives

chuté. Le nombre de personnes qui ont rejoint des programmes de substitution a augmenté de manière importante (24.000 en 2008 contre 6000 en 1999). La consommation d’héroïne concerne moins de Portugais et ces derniers consomment beaucoup moins de cannabis que dans d’autres pays européens. En conséquence, la proportion de personnes séropositives ayant contracté le VIH par le biais de drogues a lui aussi baissé – mais c’est une tendance générale dans la majeure partie des pays d’Europe de l’Ouest. Bref

qu'on fait partie du groupe, et c'est parfois la clé de l'acceptation sociale. Ceux qui ne prennent pas de drogues peuvent être tenus à l'écart. Il est difficile d'être différent, aussi les gens suivent le mouvement. Ils doivent parfois consommer du cannabis ou boire excessivement pour faire partie d'un groupe qui pratique ces choses sans penser aux répercussions négatives qui en découlent. 3) Les conduites à risques (annexe 3) Tous les jeunes, à l’adolescence, ont  physiologiquement besoin de  s’affronter

SOMMAIRE INTRODUCTION I-LA DROGUE 1-     Définition 2- Les différents types de drogue et leurs effets 2-1- Les drogues douces a- Le cannabis b- L’ecstasy 2-1-Les drogues dures a- La cocaïne b- L’héroïne 2-3-Les substances psychotropes II- LA JEUNESSE 1- Définition 2- Le rôle et l’importance de la jeunesse dans la société III- L’IMPACT DE LA DROGUE SUR LA JEUNESSE. 1-     Pourquoi les jeunes consomment-