Cannibalisme

STRATEGIE MARKETING, LE CIBLAGE LES CRITERES DE CHOIX Adéquation avec l’image de l’entreprise Compatibilité avec les objectifs de l’entreprise Taille et croissance prévisible Situation concurrentielle Risque de cannibalisme Savoir faire technologique/Capacité de production Niveau d’investissements nécessaires (publi/promo/légal) Probabilités de succès de l’entreprise 10) LA STRATEGIE MARKETING, LE POSITIONNEMENT Positionner un produit consiste

incapables de penser. Ne comprenant pas leur langue, différente de la leur, ils l'assimilait à des cris d'animaux. Leurs coutumes, leurs modes de vie étaient parfois tellement différentes qu'elles choquaient les autres civilisations, comme le cannibalisme ou le fait de se peindre le corps, qui renforçait cette idée d'hommes animaux. Cette attitude consistant à répudier toutes les manifestations culturelles et les comportements éloigné d'une culture propre à une civilisation amène celle si a avoir

pas comme eux, et n'a pas les mêmes goûts. Candide ne sait pas cela et s'attire des ennuis pour avoir tué les singes, amants des filles. Cacambo en est conscient et tient aux Oreillons un discours qu'ils comprennent, il ne s'offusque pas de leur cannibalisme. 17 Plus de critique, ici. Les enfants sont éduqués, les gens sont polis, se respectent, méprisent les richesses. 18 Les habitants d’Eldorado se sont isolés pour se protéger de la rapacité des Européens qui convoitent leur or. Ils n’ont pas besoin

travers un témoignage qu’il dit comme neutre et fidèle d’un membre de l’expédition francaise au Brésil et de discussions avec des amérindiens. Il remet en cause les stéréotypes des européens sur les amérindiens et redéfinie la notion de barbarie (cannibalisme) « chacun appelle barbare ce qui n’est pas de son usage ». Il dénonce donc en même temps la cruauté des européens avec les guerres de religions et remet en cause leur mode de vie qui est ultra matérialiste, hypocrite et inégalitaire par rapport

Indiens doivent être mis sous tutelle par les Espagnols puisque lorsqu'ils se gouvernent eux-mêmes, ils violent les règles de la morale naturelle (thèse aristotélicienne de la servitude naturelle). la nécessité d'empêcher, même par la force, le cannibalisme et d'autres conduites antinaturelles que les Indiens pratiquent. l'obligation de sauver les futures victimes des sacrifices humains. l'ordre d'évangéliser que Christ a donné aux apôtres et le Pape aux Rois Catholiques (Pape qui jouit de l'autorité

bord du navire, s'entassent sur les six cannots de sauvetage en abonnant 150 membres de l'équipage qui doivent s'entasser sur un pitoyable radeau de 20 m sur 10 m, ici représenté. Un orage éclate. Se succédent alors meurtres, suicide, folie et cannibalisme. La dérive dure 13 jours. Géricault choisi de reproduire sur toile le moment "entre salut et perdition" où les hommes encore valides se lèvent pour faire signe au navire qui vient les sauver, le brick Argus. Le peintre veut émouvoir le

scientifique » qui soit, enregistrant des coutumes sans émettre aucun jugement moral. Son approche rejoint ici celle de Montaigne, qui analyse une coutume encore plus choquante pour les européens que la nudité des indiens, qui est la pratique du cannibalisme, et la condamne au nom de la raison, et pas en vertu d’une prétendue supériorité des européens (qui font pire en terme de cruauté) ; position qui sera celle d’André Thévet (qui a été au Brésil en même temps que Jean de Léry). Mais Léry annonce

penser à la controverse de Valladolid car en effet le débat ne portait pas seulement sur l’humanité des indiens mais aussi sur la question d’acceptation de l’autre. Prenons l’exemple des Indiens d’Amérique au XVème siècle, ils étaient accusés de cannibalisme, pratique considéré comme indécente aux yeux de tous les européens, puisqu’à priori ces derniers n’avaient en aucun cas eu recourt à cette pratique. Alors, si l’on part du point de vue que l’être humain aura toujours tendance à se comparer et à

et leur innocence. Leur autre image d’eux, le “sauvage”, vient que à l'inverse des uns, les autres, voyaient cette nudité comme de la bestialité. En plus, divers voyageurs comme Christophe Colomb on dit que les amérindiens ont eu recourt à du cannibalisme, ce qu’on ne peut justifier ou pas à notre époque. Et, comme les personnes de couleur noir étaient païennes et n’avaient selon eux aucune culture et n'avaient aucunes inventions avancées, leur image qu'elle soit “bon sauvage” ou “sauvage” leur

race, ou d'une classe. En se basant sur un ensemble de normes universelles nous sommes donc susceptible de condamner certains actes ou certaines pratiques qui seraient alors qualifier à juste titre de « barbares » ou d'inappropriés. En effet le cannibalisme, les sacrifices sanglants ou encore l'excision ne sont pas condamnable en tant qu'éléments d'une culture mais en tant que pratiques sociales qui bafouent les droits de l'Homme. Nous venons de voir ici qu'il est nécessaire d'être éduquer, d'avoir