Canonnière

Jongleï. Il s’agit d’un canal à large section qui drainerait les eaux perdues dans le Sudd et le Bahr-el-Ghazal et les conduirait vers l’aval en recoupant la boucle du Nil entre Bor et Malakal. Entre autres avantages, cet ouvrage permettrait à des canonnières venues de Khartoum et du Nord islamiste, de gagner les provinces chrétiennes et insurgées du Sud tout en mettant la main sur les gisements pétroliers de ces lointaines régions. C’est pour parer à cette éventualité que les chrétiens du Sud, sans

début du XVIIème siècle, qui correspond à l’accession au pouvoir des shoguns Tokugawa. Comme la Russie, le Japon prend conscience de la nécessité de se moderniser à la suite d’un choc provoqué par une intervention étrangère, en l’occurrence d’une canonnière américaine : en 1853, les « bateaux noirs » du Commodore (amiral) Perry entrés dans la baie de Tokyo forcent le Japon à ouvrir son marché aux produits étrangers. - Cependant le Japon ne connaît pas le même sort que la Chine car la confrontation

(voir unification microbienne du monde). – Le traité de Kanagawa (1853) La marine américaine force l’ouverture au monde du Japon pour commercer avec lui. Un traité commercial est signé par les Japonais sous la contrainte ( -> politique des canonnières appliquée par les Etats-Unis). – La prise de conscience Le Japon est d’une certaine manière sauvé par le fait que les Américains ne sont pas des colonisateurs. Il prend assez vite conscience du retard pris sur les Occidentaux. – La

militaire impressionnante. Les progrès technologique ont permis de construire des navires toujours plus grands et robustes (en acier), équipés d’armements toujours plus lourds. C’est également à cette époque que ce développe la politique de la canonnière : qui consiste à bombarder les côtes des pays ne s’acquittant pas de leur dettes. Une réelle volonté politique est derrière cette force militaire navale puisqu’en 1889 le Naval Defend Act est promulgué et stipule que la flotte britannique doit

rien de nouveau, il est essentiellement une mystification. Il n’y a là de nouveau que certaines formes qui peuvent varier, ou qui ont tout simplement évolué. Considérée du point de vue américain, la guerre du Golfe a été une simple opération de canonnière typique des relations entre métropoles et colonies au XIXe siècle, mais avec des moyens considérablement plus importants, et avec comme enjeu l’hégémonie des intérêts américains sur l’ensemble des matières énergétiques et des matières premières

multiples commotions politiques, guerres civiles et répressions sanglantes, nombre de magasins ou petites entreprises sont, dans les sites urbains, la proie de mises à sac par des hordes lâchées par le pouvoir en place ou en partance. Avec l’appui des canonnières ancrées dans les diverses rades du pays, la majorité des propriétaires lésés, mais de nationalité étrangère, obtiennent, à plus ou moins longue échéance, un dédommagement pris en charge par l’État. Pourtant leur montant est généralement majoré de

lequel il condamnait les dictatures, y compris celle du Japon. L'année suivante, son discours sur l'état de l'Union propose d'augmenter les dépenses militaires. En décembre 1937, au moment du massacre de Nankin, les avions japonais coulèrent la canonnière américaine Panay sur le Yang-tse-Kiang[2]. Washington obtint des excuses mais la tension monta rapidement entre les deux pays. En 1939, le gouvernement américain mit fin au traité de commerce signé en 1911, prélude à l’embargo commercial. En 1940

cabinet (cf a curiosity cabinet) cabinet d’architectes : architecture firm cadre : (tableau) frame ; (chassis) stretcher encadrer : to frame ôter, déposer un cadre : to remove a frame la dépose d’un cadre : the removal of a frame calcaire : limestone canonnière : (naut) gunboat ; (ouverture) cannon-port carrier : quarryman carrière : (de pierre) quarry ; career carte : map ; (maritime) chart cartel : label carton : (matériau) cardboard ; (conteneur, archives…) box cassures : breaks casque : helmet catacombes

comme ailleurs, laisser des missionnaires et tenter des opérations de commerce. Côté religieux qui mettait en danger les fondements du Japon (shintoïsme). Tout étranger était mis à mort. → « splendide isolement ». Les Américains ont envoyé une canonnière qui avait pour instruction de canonner le Japon jusqu'à ce qu'il accepte de s'ouvrir. C'était en 1852 que le canonnier Berry a tiré. Et en 1854, le Japon signe les accords de Kangawa et accepte de s'ouvrir. L'empereur qui a pris cette décision semble

Roosevelt prononça un discours en faveur de la mise en quarantaine de tous les pays agresseurs qui seraient traités comme une menace pour la santé publique. En décembre 1937, au moment du massacre de Nankin en Chine, les avions japonais coulèrent la canonnière américaine Panay sur le Yang-tseu-Kiang59. Washington obtint des excuses mais la tension monta rapidement entre les États-Unis et l'Empire du Soleil Levant. En mai 1938, le Congrès vota des crédits pour le réarmement60. Le président américain fit