Canossa

laiques. Partout en europe, envoie de légat pontificaux pour faire respecter ces mesures. Celui qui s'y oppose c'est l'empereur d'allemagne, Henri IV. On va assister alors à la querelle des investitures. 1064, pardon de l'empereur lors de l'entrevue de canossa et en 1080 nouvelle destitution de l'empereur. Finalement, le conflit prends fin avec le concordat de Worms de 1122 ( traité entre saint siege et un état souverain). Le concordat est signé entre Calixte II et Henri V. Le pape affirme que les dignitaires

d'après, je me rendis compte que j'étais allée trop loin. Il suffisait de voir l'expression de monsieur Omochi pour comprendre que les bonnes relations belgo-japonaises étaient en train d'en prendre un coup. Son infarctus paraissait imminent. J'allai à Canossa : - Veuillez m'excuser. Il retrouva assez de souffle pour rugir : - Bouffe ! C'était mon châtiment. Qui eût pu croire que manger du chocolat vert constituerait un acte de politique internationale ? Je tendis la main vers le paquet en pensant que les

autre autorit que par la sienne. Son autorit serait sinon menace deffondrement. ( Aspect dramatique du conflit. Le Pape excommunie lEmpereur et le dpose, le dclare dchu de ses droits. De son ct lEmpereur lui aussi dpose le Pape. ( Evnements de Canossa. Il sagit dune ville italienne. En 1077, lEmpereur est oblig daller solliciter le pardon du Pape. Le conflit ne se terminera que sous le successeur de Grgoire VII. Lvque est dsign par le Pape, mais lEglise accepte que lEmpereur linvestisse des prrogatives

à rien. Il reste que le monastère, à travers la remarquable personnalité de certains de ses abbés, avait marqué son temps jusque dans le déroulement des affaires politiques. Lors de la querelle des Investitures(7), c’est l’abbé Hugues, présent à Canossa, qui sut fléchir le pape Grégoire VII, ancien clunisien, et l’amener à accorder son pardon au souverain pénitent, dont il était le parrain. Le rayonnement de Cluny s’était étendu plus loin encore : Hugues de Semur avait séjourné en Hongrie, en qualité

Le conflit de 1077 entre l’empereur Henri 4 et le pape où après une lutte titanesque l’empereur est excommunié. Pendant 3 jours l’empereur fait pénitence dans une simple tunique, dans la neige et il s’humilie par ce geste théâtral devant le pape à Canossa. Par ce geste de grandeur, le pape pardonne, et l’empereur garde son trône. Mais le pape montre aussi un message important : le pardon divin l’emporte sur le pouvoir temporelle. La querelle prend fin par le concordat de Worms (1122). La papauté l’emporte

de féodalisation 10 En 1075, la thèse défendue par le pape énerve l'empereur : il réunit un concile d'évêques et lui fait voter la déposition du pape, qui réagit en excommuniant l'empereur et en le déposant. Henri IV doit alors se rendre à Canossa en 1077 pour y faire amende honorable au pape. Grégoire VII lève l'excommunication, mais Henri IV reprend le combat contre lui et le chasse de Rome en 1081. Les papes suivants ont été plus modérés et ont cherché des solutions de compromis : la théorie

est alors lâché par bon nombre de princes allemands et d’évêques déliés de leur serment de fidélité. Henri iv comprend qu’il est abandonné de ses principaux soutiens, qu’il est menacé de déchéance et il est donc obligé de faire amende honorable à Canossa en janvier 1077. Dans les autres royaumes de l’occident chrétien il n’y aura pas de véritable querelle des investitures tout simplement parce que la papauté ne tient pas à se battre sur tous les fronts. Dans l’empire anglo-normand que Guillaume le

excommunication, le pape dépose l’empereur allemand. Une partie des princes, des évêques allemands vont abandonner l’empereur : ce dernier va devoir céder au pape et subit une terrible humiliation. L’empereur est condamné à se rendre à la résidence du pape à Canossa, en chemise et pieds nus. Cet épisode marque la suprématie du spirituel. 1. L’affirmation de la suprématie du pouvoir spirituel Cela va permettre de développer l’idée de théocratie pontificale : la papauté revendique pour elle seule

excommunication, le pape dépose l’empereur allemand. Une partie des princes, des évêques allemands vont abandonner l’empereur : ce dernier va devoir céder au pape et subit une terrible humiliation. L’empereur est condamné à se rendre à la résidence du pape à Canossa, en chemise et pieds nus. Cet épisode marque la suprématie du spirituel. B. L’affirmation de la suprématie du pouvoir spirituel Cela va permettre de développer l’idée de théocratie pontificale : la papauté revendique pour elle

excommunication, le pape dépose l’empereur allemand. Une partie des princes, des évêques allemands vont abandonner l’empereur : ce dernier va devoir céder au pape et subit une terrible humiliation. L’empereur est condamné à se rendre à la résidence du pape à Canossa, en chemise et pieds nus. Cet épisode marque la suprématie du spirituel. B. L’affirmation de la suprématie du pouvoir spirituel Cela va permettre de développer l’idée de théocratie pontificale : la papauté revendique pour elle seule la direction