Rue du Faubourg-Saint-Jacques

Les actes France Festivals, Fédération française des festivals internationaux de musique Hôtel de Massa 38, rue du Faubourg Saint-Jacques 75014 Paris Tél : 01 56 81 01 05 Fax : 01 56 81 05 95 www.francefestivals.com contact@francefestivals.com Philippe TOUSSAINT | Président Bénédicte DUMEIGE | Directrice Cette publication a bénéficié du soutien de la Caisse des dépôts et consignations. Actes du colloque Ami public n°1 L’audience des festivals organisé par France Festivals en partenariat

cet axe de grande circulation comme une voie diagonale reliant le premier cercle des Grands boulevards à celui du mur des Fermiers généraux. Il doit, pour cela, ordonner la destruction de la maison dans laquelle il est né, à l'angle de la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Comme son prédécesseur Rambuteau, Haussmann voit son activité récompensée dès son vivant par l'attribution de son nom à l'une des principales voies dont il a ordonné le percement. Le boulevard n'est pourtant achevé que bien après sa

service de l’insertion professionnelle 14 rue du faubourg Saint Honoré 75 008 Paris CNEP Confédération Nationale de l’Esthétique Parfumerie 1996 Régine Ferrère Présidente Représenter et défendre 14 rue du faubourg Saint Honoré 75 008 Paris UME Union des Marques de l’Esthétique Jean Claude Sirop Directeur Participe à la mise en place des réformes Valorise et défend la profession 14 rue du Faubourg St Honoré 75008 PARIS E-mail : www.cnep-France

sociales II. La pension Vauquer III. Les relations avec le monde extérieur IV. Visite guidée Conclusion Introduction : La pension Vauquer est un établissement situé sur un endroit à l’écart de Paris, dans le faubourg Saint Marceau, sur la part gauche de Paris. Elle représente un microcosme où on reconnaît facilement les inégalités. C’est une société qui abrite trois générations avec les vieillards, les hommes de quarante ans et les jeunes gens. La pension Vauquer

Galerie de la Madeleine : une architecture soignée Entrées 9, place de la Madeleine /30, rue Boissy d’Anglas. La galerie, longue de 53 mètres, fut ouverte en 1845. Les façades de l’immeuble ouvrant sur la place sont imposantes. Deux superbes cariatides, oeuvres de Jean-Baptiste Klagman, encadrent l’entrée principale du passage. Passage Puteaux : un peu à l'ouest Entrées 33, rue de l’Arcade /28, rue Pasquier Ce petit passage (29 mètres) fut ouvert par Monsieur Puteaux en 1839 sur l’emplacement

1871 L'Abbé Léon Berthé, dirigeant du pensionnat Saint-Léon à Epinay-sur-Seine, installe son écol à Paris dans le dixième arrondissement et donne le nom de Rocroy à cette école, qui ne compte alors que 70 élèves. 1877 Le curé de Saint-Vincent de Paul remarque deux immeubles et attire sur eux l'attention de l'Abbé Berthé : les 106 et 108 de la rue du Faubourg Poissonnière, ancienne maison du XVIIe siècle ayant appartenu sous la Révolution au barn de Dietrich, écrivain, musicien

et débute comme apprentie coiffeur pour aider la famille. Elle se fait immédiatement remarquée par son talent. Dans ces dures années d’apprentissage, Maria s’était jurée : « nous aurons un jour notre salon ». 1937 – A 18 ans, Maria ouvre un salon, rue de Taur à Toulouse, à la place d’un boucherie, tout était à refaire. La seule façon d’égayer cet endroit fut de le repeindre en blanc. Le blanc, c’est propre, c’est déjà un pas vers l’élégance. 1938 – Ouverture d’un nouveau salon, plus grand et mieux

apparait comme un coup de force, et utilise la technique du dévoilement progressif. Premier chapitre : « Une pension bourgeoise » A la fin de novembre 1819, au quartier Latin, plusieurs personnes vivent dans la sordide pension de Mme Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geniève, qui nous est longuement présentée. On y trouve Melle Michonneau et M. Poiret, Victorine Taillefer, jeune fille déshéritée par son père ; Eugène de Rastignac, étudiant noble, mais pauvre, venu faire son droit et chercher gloire et pouvoir

gendres du fait de son statut, il lui est impossible de voir ses filles; c'est pourquoi il se rapproche d’Eugène de Rastignac, amant de Delphine résidant aussi dans la maison Vauquer. Il le considérera comme son fils. On a ensuite le personnage de Jacques Collin, âgé de 40 ans en 1813. Après ses études il est envoyé au bagne pour un crime dont il se laisse accuser pour sauver un très beau jeune homme. Il échappe aux autorités et devient alors « Trompe-la-mort », trésorier des bagnes, il exerce son

révolutionnaire " : les Sans-Culottes envahissent les Tuileries. 10 août. Les Sans-Culottes parisiens forment une commune insurrectionnelle. 11 août. Établissement du suffrage universel. 8-9 septembre. Émeute ouvrière à Tours. 1793 5 septembre. Jacques Roux, le chef des " Enragés ", est arrêté après une manifestation des Sans-Culottes parisiens. Répression réussie du mouvement sans-culotte par la garde nationale. 29 septembre. Etablissement du maximum général pour les denrées et les salaires.