Canotier

Cette question est importante : elle concerne la partie de l’affiche que l’on découvre en premier (en haut), et présente les personnages principaux, le narrateur et sa mère. Couleur noire pour Mme Rezeau et pour son énorme chapeau (à l’opposé du canotier et de la tenue clairs de son mari), Brasse-Bouillon, le fils révolté, vêtu de la même façon… Quand on observe le jeu des regards des personnages, on se rend compte aussi qu’aucun n’est dirigé vers le même objectif : le père préoccupé par son

deux rives avec inquiétude ». On se doute qu’il va se passer quelque chose. De plus on retrouve une atmosphère calme en parallèle de celle tendue à bord de la barque : « On entendait derrière, l’une des îles, les chants adoucis d’une équipe de canotiers qui devaient remonter la scène ». « Alors » vient d’ailleurs briser le calme qui régnait jusque-là. On retrouve par la suite le champ lexical de la force physique : « bras-le-corps », « serra plus fort », « secousse », « main rude », « serrait »

accident. Ainsi ils vont les trois faire un tour en barque sur la Seine. Laurent pousse à l’eau Camille, ce dernier arrive à le mordre au cou et lui arrache un lambeau de chair. Puis Laurent fait chavirer la barque pour faire croire à un accident. Des canotiers les récupèrent et valident la thèse de l’accident, tant bien même qu’ils n’ont rien vu. 12) Les proches sont avertis de la mort de Camille. Madame Raquin est atterrée, et ne s’en remet pas. Laurent et Thérèse décident d’attendre que l’affaire

faire un tour en barque sur la Seine. Laurent pousse à l’eau Camille, ce dernier arrive à le mordre au cou et lui arrache un lambeau de chair. Puis Laurent fait chavirer la barque pour faire croire à un accident. Des canotiers les récupèrent et valident la thèse de l’accident, tant bien même qu’ils n’ont rien vu. Chapitre XII : Les proches sont avertis de la mort de Camille. Madame Raquin est atterrée, et ne s’en 3 remet pas. Laurent

serrant les lèvres. Thérèse, roide, immobile, la tête un peu renversée, attendait. La barque allait s’engager dans un petit bras, sombre et étroit, s’enfonçant entre deux îles. On entendait, derrière l’une des îles, les chants adoucis d’une équipe de canotiers qui devaient remonter la Seine. Au loin, en amont, la rivière était libre. Alors Laurent se leva et prit Camille à bras-le-corps. Le commis éclata de rire. - Ah ! non, tu me chatouilles, dit-il, pas de ces plaisanteries-là… Voyons, finis : tu vas

observer, une multitude de gens dansants, des chapeaux qui se heurtent. Les chapeaux qui se heurtent représentent en réalité les catégories sociales qui se heurtent, puisque le chapeau haut de forme représente la bourgeoisie et le chapeau de paille (canotier) évoque le monde populaire. Puis tout au fond l’orchestre qui à l’air d’être abrité par une sorte de chapiteau qui pourrait faire penser à une structure de l’architecte Victor Baltard. Le décor est aussi constitué d’arbres et de lampadaires pouvant

de chaque vers forme un mot, ici LOU). J’ai choisi ce poème en premier car c’est la lettre envoyé juste après le départ d’Apollinaire pour le front. Poème du 9 février 1915 Reconnais-toi Cette adorable personne c’est toi Sous le grand chapeau canotier Oeil Nez La Bouche Voici l’ovale de ta figure Ton cou Exquis Voici enfin l’imparfaite image de ton buste adoré Vu comme à travers un nuage Un peu plus bas c’est ton cur qui bat Guillaume Apollinaire, 9 fév. 1915, Calligramme. Ce calligramme

peint beaucoup de paysages mais ses oeuvres les plus caractérisées traitent de la vie sociale urbaine. Quel que soit le sujet, sa principale préoccupation est la jeunesse et la vitalité. Sa plus grande oeuvre de cette décennie est le Déjeuner des Canotiers. De 1883 à 1890, Renoir entre dans la période ingresque. Après un voyage en Italie, il doute de son art et veut modifier son trait de pinceau. Les contours de ses personnages deviennent plus précis. Il dessine les formes avec plus de rigueur,

thème de l’amour est très facile à repérer. Les jeunes femmes éprouvent des sentiments pour les hommes qu’elle rencontre dans leur vie. Dans *une partie de campagne*, celle victime des griffes de l’amour est la jeune fille Dufour. Elle rencontra un canotier du nom d’Henri qui l’apporta sur une petite ile ou les chants des rossignols lui fessait vivre des moments magiques.* Alors, affolée par un désir formidable, elle lui rendit son baiser en l'étreignant sur sa poitrine, et toute sa résistance tomba

premier paragraphe se consacre exclusivement à une description de photo avec un vocabulaire riche en adjectifs et imagé : « laqués de blanc », « jeune dame en robes longues », « chapeaux empanachés de plumes d’autruche », « des messieurs coiffés de canotiers et de panamas ». En outre c’est à partir du paragraphe deux que l’on voit que Simone de Beauvoir commence réellement à se remémorer ses souvenirs, par l’expression « Je regardais, je palpais, j’apprenais le monde, à l’abri » à la ligne vingt quatre