Canotier

car l'échec est aussi financier. Par nécessité, il est contraint de se rapprocher du Salon officiel vers la fin des années 1870 qui accueil de mieux en mieux des œuvres. C'est en 1881 qu'il achève une des ses toiles majeures : « Le Déjeuner des Canotiers ». Il peint durant cette période beaucoup de paysages mais ses oeuvres les plus caractérisées traitent de la vie sociale urbaine. Quel que soit le sujet, sa principale préoccupation est la jeunesse et la vitalité. La période Ingresque ou sèche

rappeler l’épopée de Tristan et Iseult ou celle de Roméo et Juliette de Shakespeare. L’environnement dans lequel évoluent les personnages est empreint de références à l’impressionnisme, qui se traduisent par de nombreux « tableaux » tels « Les canotiers à Chatou » de Renoir, qui marquent une rupture avec l’académisme qui faisait loi à l’époque. En effet le réalisme est une innovation certaine pour ce genre de film, qui bien qu’étant un film à costumes, montre les choses telles qu’elles sont au quotidien

s'inspirer à leurs débuts. -Les peintres les plus importants de ce mouvement débute avec Manet en 1863 avec Olympia, Sisley en 1872: Pont de Villeneuve-la-Garenne, Degas et La classe de danse en 1874. Il y'a aussi Renoir en 1880-81 avec Le déjeuner des canotiers, Cezanne et sa Montage Sainte Victoire et le viaduc sur la vallée de l'Arc, en 1882-85, puis L'avenue de L'opéra, en 1898 par Pissarro et enfin Les célèbres nymphéas de Monet entre 1920-26.-Les peintre impressionniste cherche à représenter les choses

du XIXème siècle. Ce couvre-chef a tendance à s’élever considérablement durant le siècle. Toutefois, par souci pratique, le chapeau « claque » est inventé : il se déplie et se replie d’un coup sec selon les besoins. Le chapeau estival, appelé canotier, va rompre cette apparence hautaine en donnant, en fin de siècle, une allure plus décontractée aux hommes de l’époque de Toulouse Lautrec et de Renoir. L’apparition de la redingote en est le point central. Ces longues redingotes carrées, signe

serrant les lèvres. Thérèse, roide, immobile, la tête un peu renversée, attendait. La barque allait s’engager dans un petit bras, sombre et étroit, s’enfonçant entre deux îles. On entendait, derrière l’une des îles, les chants adoucis d’une équipe de canotiers qui devaient remonter la Seine. Au loin, en amont, la rivière était libre. Alors Laurent se leva et prit Camille à bras-le-corps. Le commis éclata de rire. « Ah ! non, tu me chatouilles, dit-il, pas de ces plaisanteries-là… Voyons, finis : tu

arrivent au milieu de la Seine et que personne ne peut les voir, Laurent étrangle Camille ; celui-ci se débat, mordant Laurent au cou, avant de succomber ; le meurtrier le jette alors par-dessus bord, fait chavirer la barque et appelle à l'aide. Des canotiers viennent à leur secours. Tout le monde croit à l'accident. Madame Raquin est extrêmement choquée par la disparition de Camille. Laurent, travaillé par l'inquiétude, hante la morgue jusqu'au moment où la vue du corps boursouflé de Camille le convainc

produira plus tard Laurel et Hardy), il se cherche un personnage mais ses premiers avatars -Willie Work, Lonesome Luke- sont trop semblables à Charlot. En 1917, il devient « The boy » en chaussant ses lunettes à monture d’écaille et se coiffant d’un canotier assorti à son costume. Ils ne le quitteront plus. Harold Lloyd n’est pas crédité comme réalisateur de ses films (ses réalisateurs habituels sont Hal Roach dans ses courts-métrages, puis Fred C. Newmayer et Sam Taylor). Il est cependant à l’origine

facile pour le lecteur de se dessiner la scène comme un lieu humide froid et sombre ce qui accentue l’atmosphère peu rassurante et inquiétante. Mais l’auteur installe également une atmosphère chaleureuse avec “les chants adoucis d’une équipe de canotiers “ (vers 48-49) cela crée une antithèse qui s’oppose à l’atmosphère inquiétante qui est doublement renforcée. On comprend bien ici qu’ils sont seul et que le silence se fait peu à peu entendre “ les bruits des quais s’adoucissaient “ (vers 5). Au

ronron de plaisir. 79 « Tiens! cria tout à coup le jeune homme aux cheveux jaunes qui furetait dans le terrain, en voilà des 80 bateaux qui sont chouet! » On alla voir. Sous un petit hangar en bois étaient suspendues deux 81 43 superbes yoles de canotiers, fines et travaillées comme des meubles de luxe. Elles reposaient côte à 82 côte, pareilles à deux grandes filles minces, en leur longueur étroite et reluisante, et donnaient envie 83 de filer sur l’eau par les belles soirées douces ou les claires

les lèvres. Thérèse, roide, immobile, la tête un peu renversée, attendait. La barque allait s’engageait dans un petit bras, sombre et étroit, s’enfonçant entre deux îles. On entendait, derrière l’une des îles, les chants adoucis d’une équipe de canotiers qui devaient remonter la Seine. Au loin, en amont, la rivière était libre. Alors Laurent se leva et prit Camille à bras-le-corps. Le commis éclata de rire Laurent serra plus fort, donna une secousse, Camille se tourna et vit la figure