Canton des Grisons

INTRODUCTION 23 Le présent rapport est le fruit de deux constats : Â il n’y a eu à ce jour aucune approche fiable des retombées économiques de l’action des comités d’entreprise en matière de tourisme. Souvent associés à une image de tourisme de masse, cantonnés dans le rôle de gestionnaires d’équipements, les comités d’entreprise ont réorienté, depuis plus de vingt ans, leur action pour l’adapter à la demande de leurs mandants. Ils sont pourtant l’un des éléments moteurs de l’accès aux voyages et ont de

que je ne savais pas même assez de latin pour être prêtre. Madame de Warens imagina de me faire instruire au séminaire pendant quelque temps. Elle en parla au supérieur. C'était un lazariste appelé M. Gros, bon petit homme, à moitié borgne, maigre, grison, le plus spirituel et le moins pédant lazariste que j'aie connu ; ce qui n'est pas beaucoup dire à la vérité. Il venait quelquefois chez maman, qui l'accueillait, le caressait, l'agaçait même, et se faisait quelquefois lacer par lui, emploi dont

l’on s’éloigne du quartier où la présence de nos soldats entretient un peu de vie, l’horreur augmente, avec la solitude et le silence. D’abord, la rue des marchands de porcelaine, les grands entrepôts où s’emmagasinaient les produits des fabriques de Canton. Ce devait être une belle rue, à en juger par les débris de devantures sculptées et dorées qui subsistent encore. Aujourd’hui, les magasins béants, crevés de toutes parts, semblent vomir sur la chaussée leurs monceaux de cassons. On marche sur l’émail

DE L’EXPERT « Apprendre à faire des choses simples » « Quand on est célib, le réflexe est de se faire télé-cacahuètes. Pour éviter ça, on peut penser aux surgelés, apprendre à faire des choses simples, des pâtes au gorgonzola avec viande des grisons, des noix d’agneau au miel », poursuit le célib qui liste trente recettes rapides à faire avec ou sans les enfants. Pour les amis, Antoine Isambert prévoit des plats qui « cuisent tout seuls » et qui s’amènent directement à table, du pot-au-feu au

et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il n’allait jamais chercher bien loin ses raisonnements et ses modèles. Aux habitants d’un pays il citait – 19 – l’exemple du pays voisin. Dans les cantons où l’on était dur pour les nécessiteux, il disait : – Voyez les gens de Briançon. Ils ont donné aux indigents, aux veuves et aux orphelins le droit de faire faucher leurs prairies trois jours avant tous les autres. Ils leur rebâtissent gratuitement

prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il n’allait jamais chercher bien loin ses raisonnements et ses modèles. Aux habitants d’un pays il citait – 19 – l’exemple du pays voisin. Dans les cantons où l’on était dur pour les nécessiteux, il disait : – Voyez les gens de Briançon. Ils ont donné aux indigents, aux veuves et aux orphelins le droit de faire faucher leurs prairies trois jours avant tous les autres. Ils leur rebâtissent gratuitement

doux, et prêchait moins qu’il ne causait. Il ne mettait aucune vertu sur un plateau inaccessible. Il n’allait jamais chercher bien loin ses raisonnements et ses modèles. Aux habitants d’un pays il citait – 19 – l’exemple du pays voisin. Dans les cantons où l’on était dur pour les nécessiteux, il disait : – Voyez les gens de Briançon. Ils ont donné aux indigents, aux veuves et aux orphelins le droit de faire faucher leurs prairies trois jours avant tous les autres. Ils leur rebâtissent gratuitement

faudra créer tous les jours de nouvelles distinctions, inventer de nouvelles classifications, multiplier les rangs, rendre presque impossible de se reconnaître au milieu de subdivisions variant à l'infini, changeant de province à province, de canton à canton, de village à village  ; faire enfin ce qui a lieu dans les pays hindous. Mais il n'est guère que le brahmane qui ses ait montré autant de ténacité dans ses idées séparatrices ; les peuples civilisés par lui, en dehors de son sein, n'ont jamais

l’accusation. Les expertises des autres cantons protestants sont demandées mais avant que ceux-ci ne puissent se prononcer, le conseil de la ville constitue sa propre accusation, rédigée par un adversaire de Calvin. Les expertises des villes (protestantes) de Bâle, de Schaffhouse et de Zurich arrivent, elles sont unanimes: les réponses sont toutes en faveur de Calvin. On considérait Michel Servet comme un surexcité. En même temps, les réponses sont modérées : aucun canton ne propose la peine de mort. On

des terres. L’objectif est de souder les citoyens entre eux et d’éviter qu’un groupe ou qu’une région prenne l’ascendant sur les autres. Réponses aux questions 1. La côte, la ville et l’intérieur sont les trois ensembles créés par Clisthène. 2. Ces cantons sont séparés les uns des autres, de façon à éviter qu’ils forment un seul bloc. C’est un moyen d’unir des citoyens d’origine géographique différente. 3. Non, les grands propriétaires ne peuvent plus aisément contrôler le pouvoir, car ils sont dispersés