Cap Bon

dresse des descriptions détaillées sur des paysages et des populations comme dans cet extrait sur l’île de Tahiti et ses habitants. En décrivant cette société tahitienne guidée par la quête du plaisir, Bougainville a participé à la création du mythe du bon sauvage et de l’image de la vahine qui a longtemps marqué les esprits occidentaux et les marquent peut être toujours. Il serait intéressant de se demander en quoi ce texte donne-t-il de Tahiti l’image d’une destination paradisiaque ? Je vais montrer

politiques importantes. L’un de ses cousins germains et homonyme, Giovanni di Arrigo ou Jehan Arnoulphin dit le Jeune, sans doute pour le distinguer de son cousin, né entre 1405 et 1409, exerça également à Bruges, comme marchand, avec le duc Philippe le Bon comme client. Il lui vendit en effet des tissus de luxe pour des sommes considérables. Un document, retrouvé très récemment (en 1994) dans les archives de la cour de Bourgogne par un chercheur français, atteste les relations suivies entre ce marchand

territoire nationale. C'est donc dans cette période d'industrialisation qu'apparaissent les grands magasins et ils se forment en majorité dans la capitale, Paris et sont de magasins d' habillement . Le premier grand magasin fondé est le bon marché en 1838 mais c'est Aristide Boucicaut qui le rachète avec sa compagne en 1852 qui en fait un grand magasin. Situé dans le septième arrondissement de Paris, résultat de l'expansion de Paris au 19ème siècle, il va s'étendre au delà de son espace

la notion du « bon usage ». → d'après VAUGELAS, c'est «la façon de parler de la plus saine partie de la Cour, conformément à la façon d'écrire de la plus saine partie des auteurs du temps. » C'est encore une restriction au sein même de la Cour ! De plus, il met d'abord en avant la référence à l'oral (les discours, la conversation), puis à l'écrit. La langue s'appuie donc sur des critères esthétique (auteurs) et sociologique (la Cour). + « du temps » = pour lui, le bon usage est celui

de la description d'une société idyllique, Bernardin de Saint-Pierre expose dans ce roman sa vision pessimiste de l'existence. Ce roman est d'un registre pathétique. 3/ En quoi ce texte subit-il l'influence du mythe du bon sauvage ? Ce texte subit l'influence du mythe du bon sauvage, car dans son texte, Bernardin de Saint-Pierre décrit le lieu fréquenté par Paul et Virginie à l'état de pur nature comme étant un idéal et non une réalité. De plus, ils font la fierté de leurs parents car ils suivent

malheur, violence, jalousie... B- Travail d’écriture Sujet 2 ; la dissertation : L’argumentation par l’exemple (l’anecdote, la fiction) est-elle préférable au raisonnement ? Le mythe du bon sauvage a intéressé un grand nombre d’écrivains de toutes époques. Des auteurs s’en sont inspirés afin de démontrer que la création de besoins et que la possession de biens superflus nuisent au bonheur des Hommes. Nous nous intéresserons plus particulièrement

d'articles de mode et de maroquinerie (32,8%) : notamment les marques Louis Vuitton, Céline, Givenchy, Kenzo, Berluti, Pucci, Donna Karan et Fendi - Distribution sélective (25%) : activité assurée au travers de Sephora, DFS, Miami Cruiseline et Le Bon Marché - Vente de vins et de spiritueux (18,1%) : champagnes (Moët & Chandon, Mercier, Veuve Clicquot, etc. ; n° 1 mondial), vins (Cape Mentelle, Château D'Yquem, etc.), cognacs (notamment Hennessy ; n° 1 mondial), whisky (notamment Glenmorangie)

elles sont protégées par la liberté de conscience. Selon, l'article 31 de la loi de 1905, on ne peut soustraire quelqu’un à l'exercice de son culte. De plus, la liberté d'association n'a pour seule limite que d'avoir un objet licite (conforme aux bonnes mœurs à l'ordre public). Les sectes peuvent s'organiser en associations cultuelles pour subvenir à leurs besoins.

la nature ici nous comprenons alors que Diderot défend le mythe du bon sauvage .D'autre part le vieillard met en évidence la simplicité de la vie tahitienne, en effet le tahitien est heureux puisque ses besoins primaires sont toujours comblés (lorsque que nous avons faims nous avons de quoi manger) ,de plus la ligne 3 fait échos avec les lignes 29 a 34 :nous sommes heureux ligne 3 puisque tous ce que est nécessaire et bon nous le possédons Diderot révèle également une autre facette de cette

procédés du verre à couler. Tous les détaillants parisiens au 19e s essayent de se poser en arbitre du bon goût, raffinement dans la déco des boutiques. Cette tendance s’accentue à la fin du siècle avec la concurrence des grands magasins. Amélioration du sens du détail, on apporte un certain soin à la disposition du produit. On étend cette poursuite du raffinement au produit lui mm afin de flatter le bon gout du client. C’est ainsi que les emballages…Globalement le magasin de détail va évoluer tt au long