Cap Gris-Nez

des heures passées à rêver dans une bibliothèque qui sentait la cire d’abeille, au cœur d’un mois d’août champenois, alors oui, il faut en convenir : la littérature nous a donné une idée du bonheur. Pourquoi cantonner les grands écrivains aux années grises du collège ? Pourquoi réduire Racine à ce moment passé sur une estrade dos au tableau noir, où nous ânonnions piteusement « À peine nous sortions des portes de Trézène ». L’incandescent auteur de Phèdre vaut mieux que ça. L’heure est venue de retrouver

lieux plus étranges les uns que les autres. Ils arrivent sur une île habitée par les Hommes-Oiseaux. A l’instant où [les Princes Volants] abordèrent sur la montagne, ils virent s’élever de gros oiseaux, qui avaient des plumes, une tête d’homme, avec un nez de chat, et une espèce de bec fort court, qui se mirent en devoir de les attaquer. Mais les Princes les effrayèrent par quelques coups de pistolets. Hermantin et ses compagnons, débarrassés de ces ennemis, s’abattirent dans la plaine, et tâchèrent de

qu’il descendait le premier escalier, il entendit une série de détonations ; le navire trembla lorsqu’il vira sur tribord. Une dizaine de minutes plus tard, les haut-parleurs diffusèrent l’autorisation de remonter sur le pont. La flotte avait repris un cap stable ; quelques avions à l’étoile blanche avaient pris l’air ; Duchateau donna l’information qu’un sous-marin ennemi avait été détecté et vraisemblablement coulé. Depuis la décision de ne se déplacer qu’en convoi, les pertes avaient considérablement

pour provoquer l’adhésion des spectateurs à une création originale où des personnages déploient différentes formes de virtuosité. Référentiel national (B.O.E.N. n° 28, 21 juillet 2005) Baccalauréat général, technologique, et professionnel : 21 CAP BEP: ARTS DU CIRQUE DUES uméro qui sollicite les bases de équilibre instable et des ns le cadre d'une mise en ne émotion. engins en adoptant des agées des strictes contingences e base lors de la construction et numéro. Expérimenter des nter d’y associer

peine la douleur ; j’étais bien trop occupée à fixer l’homme qui me faisait face. Cheveux d’un noir d’encre encadrant un visage d’une beauté saisissante, dont l’ossature aurait tiré des sanglots de bonheur à un sculpteur. Bouche au dessin affirmé, nez droit, et des yeux d’un bleu… Des yeux qui s’étrécirent imperceptiblement tandis que l’expression demeurait impassible. Si sa chemise et son costume étaient noirs, sa cravate, elle, était assortie à ses iris. Son regard acéré plongea en moi comme

treillagez le ciel laiteux d'avril, et la palpitation de vos petits visages innombrables m'enivre...» --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- “Jour gris” Nouvelle Extrait «Pour la femme, comme pour le chat, le mensonge est la première parure d'une amoureuse... À fréquenter le chat, on ne risque que de s'enrichir. Serait-ce par calcul que depuis un demi-siècle, je recherche sa compagnie? Je

l’Expérience Académie : LIVRET 2 |Diplôme visé | | Type : CAP | |

avançait parmi le bruit sec de ses pas sur la route froide et le grincement régulier de la poignée de sa valise. Un peu avant la villa, la route débouchait sur une petite place garnie de bancs et de jardins. De précoces géraniums rouges parmi des aloès gris, le bleu du ciel et les murs de clôture blanchis à la chaux, tout cela était si frais et si enfantin que Mersault s'arrêta un moment avant de reprendre le [26] chemin qui de la place descendait vers la villa de Zagreus. Devant le seuil il s'arrêta

-Une amie à moi, Sacha. Répondit Damon en baissant d’un ton. -Sympa ton ami ! -Une démone quoi ! Bon et si on s’occupait ? -Tu veux faire quoi ? Encore une connerie ? Ricana Féline. Damon parti en courant et lui hurla : -Attrapes-moi si t’es cap ! Les deux enfants se coururent après toute la journée. Le temps passait comme passe une étoile filante dans le ciel. La nuit tomba rapidement, et Zeus sorti sa chambre en ordonnant à la jeune fille de se coucher dans sa chambre respectif. Féline obéit

charme pour donner à son arme une apparence inoffensive. Un coup d’œil au videur et, à la seconde où leurs regards s’étaient croisés, le tour était joué. Bien sûr, il n’avait pas besoin de se donner tant de mal, mais ça faisait partie du jeu, agir au nez et à la barbe des Terrestres, les berner, s’amuser de leurs yeux hagards et de leur air imbécile. Mais les humains avaient des usages bien à eux. Le garçon parcourut du regard la piste de danse, où des Terrestres vêtus de cuir et de soie agitaient