Capitale De La Douleur Eluard Poèmes

dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul ELUARD, Capitale de la douleur (1926). Paul ELUARD, « La courbe de tes yeux… » Lecture méthodique L’auteur : Paul ELUARD (1895-1952) s’appelle en réalité Eugène GRINDEL : Paul est son 3ème prénom, et Grindel le nom de sa grand-mère. Aidé par ses parents, il publie ses premiers poèmes à 18 ans. C’est l’année où il rencontre Héléna, une jeune russe qu’il appelle GALA et qui deviendra sa

17ème siècle : « La fille » de Jean de La Fontaine Le 18ème siècle : « Aveu d’une femme » de Marceline Desabordes-Valmore Le 19ème siècle : « Mon rêve familier » de Verlaine Le 20ème siècle : « La Courbe de tes yeux » de Paul Eluard Poème du 16ème siècle « Sonnet à Hélène » Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : "Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle

Paul Eluard, poète lyrique et poète engagé, comparaison de deux poèmes : « La courbe de tes yeux » (1926) dans Capitale de la douleur et « Courage » (1942), dans Les Armes de la douleur, recueil publié clandestinement sous l'Occupation (1944). Le premier poème est un portrait de Gala, la femme du poète. Un portrait ? Un éloge de sa féminité, de son corps. Les métaphores sont nombreuses et surprenantes. Dans la première strophe, domine l'évocation des formes du corps généreux de Gala, tout en courbes

rapidement le symbole de l’inspiration poétique. La poésie lyrique se développe au XVIIIème siècle et triomphe au XIXème., elle permet de traduire l’intimité du poète. C’est la période de l’exaltation du Moi. L’auteur nous parle de son malheur, sa douleur, ses craintes, ses doutes, ou son bonheur. Ce sont pourtant plus souvent des sentiments douloureux. Le Moi devient sujet et objet du poème. Lamartine disait a ce sujet : « Je n’imitais plus personne, je m’exprimais moi-même pour moi-même. Ce n’était

femme soit pour parler d'elle. Ces quatre textes sont des poèmes. Ils parlent tous d'une femme, en s'adressant directement à elle comme dans le poème de Paul Eluard tirait du recueil Capitale de la douleur et dans celui de Jean Tardieu Étude de pronoms. Ou alors simplement en parlant d'elle comme dans le poème de Joachim du Bellay extrait du recueil l'Olive et de l’œuvre de Victor Hugo paru dans les contemplations. Ces quatre poèmes ont des formes différentes, tout d'abord le premier (Déjà la

dadaïstes. Le mouvement Dada naît au cœur de la première guerre mondiale et son créateur, Tristan Tzara, veut montrer l’absurdité de tout. Bref, la dérision est le maître mot du dadaïsme: le mouvement crée par exemple des sketchs/pièces injouables, des poèmes à crier, etc... Grâce à cela, le Dada se répand partout et très vite. Il crée un sens de l’engagement physique et, par la suite, les manifestes dadaïstes clament haut et fort que la culture et le monde ne sont rien. Bien que le dadaïsme ait établit

Explication linéaire « Ne plus partager » d’Eluard, « Nouveaux poèmes » in Capitale de la douleur « Ne plus partager » Au soir de la folie, nu et clair, L’espace entre les choses a la forme de mes paroles, La forme des paroles d’un inconnu, D’un vagabond qui dénoue la ceinture de sa gorge Et qui prend les échos au lasso. Entre des arbres et des barrières, Entre des murs et des mâchoires, Entre ce grand oiseau tremblant Et la colline qui l’accable, L’espace a la forme de mes regards

marqué d’une manière indélébile toute la poésie et l’art contemporain en France et dans le monde. Leur devise était « l’imagination au pouvoir ! ». B) Présentation de poètes Les plus connus sont Aragon, Soupault, Breton, Péret, Vitrac, Desnos et Eluard. Aragon Louis (1897-1982) Il fut l’un des chefs de file du mouvement surréaliste. Il fit la connaissance d’André Breton en 1915 et se lia d’amitié avec lui. Mobilisé en 1917, il retrouva son ami après la guerre et créèrent avec Philippe Soupault

| |En 1555 Ronsard s'éprend d'une "fleur angevine de quinze ans" Marie Dupin. Cette jeune paysanne le fera renoncer aux tourments que lui inspirait Cassandre. Pour elle, il | |composera "des poèmes simples et clairs". Il publie « des Hymnes », « des Meslanges », et « de la Continuation des Amours ». | |

amassait… » 2) Ronsard, Second Livre des amours (1578), Sur la mort de Marie, V « Comme on voit sur la branche … » 3) Victor Hugo, Les Contemplations (1856) « Elle était déchaussée » 4) Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou (1915), « Si je mourais là-bas… » 5) Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), « La courbe de tes yeux » (manuel p.59) Textes et documents complémentaires : 1) Ronsard, Continuation des Amours (1555), « Je vous envoie un bouquet … » - Odes (1550), I, 17, « Ode à Cassandre»