Corpus de texte
Ces quatre textes sont des poèmes. Ils parlent tous d'une femme, en s'adressant directement à elle comme dans le poème de Paul Eluard tirait du recueil Capitale de la douleur et dans celui de Jean Tardieu Étude de pronoms. Ou alors simplement en parlant d'elle comme dans le poème de Joachim du Bellay extrait du recueil l'Olive et de l’œuvre de Victor Hugo paru dans les contemplations.
Ces quatre poèmes ont des formes différentes, tout d'abord le premier (Déjà la nuit...) est un sonnet.
Puis le deuxième ( Elle était déchaussait...) est composé de 4 quatrains. Le troisième (La courbe de tes yeux...) à 3 quintils. Et pour finir le dernier (Étude de pronoms) est irrégulier.
Malgré cette différence, 3 poèmes ont un point commun qui est la répétition.
En effet dans le premier, il y a la répétition de «déjà» vers 1 et 5. C'est une anaphore.
Dans le deuxième il y a la répétition de «regard» vers 5, la répétition de « elle » qui désigne la femme et la répétition de «elle était...». C'est un parallélisme. Et dans le troisième il y a la répétition de «Ô toi»
Ces poèmes ont tous le champ lexical de la nature. «Je vis sortir dessus ta verte rive, Ô fleuve mien!» dans le premier. «Assise, pieds nus, parmi les joncs penchants» dans le deuxième.
«Feuilles de jour et mousse de rosée» dans les troisième. «Moi toujours arbre et toi toujours prairie» dans le quatrième. Ce champ lexical permet au poète de comparer la femme à la nature.
La femme est aussi comparé dans deux poème à des personnages féerique et fantastique. Le premier poème de Du Bellay la femme est comparée à une nymphe qui s'appelle Aurore. «O fleuve mien! une nymphe en riant.» (Une nymphe est divinité grecque qui est associé à des éléments de la nature.)
Le deuxième poème celui de Victor Hugo lui compare la femme à