Capitaux propres

comme pour les grosses réparations par exemple) ❖ Frais de recherche et de développement METHODOLOGIE : 1) Les actifs fictifs doivent être enlevés de l'actif. Pour respecter la règle d'équilibre du bilan, il faudra diminuer d'autant les capitaux propres au passif. 2) Il faut retenir les actifs pour leur valeur réelle, et non pas pour la valeur apparaissant dans le bilan. Pour mieux visualiser les choses, on peut réaliser un tableau des plus ou moins-values. Exemple : |ELEMENTS

PASSIF RESSOURCES STABLES Capitaux propres (DL) Provisions pour risques et charges (DR) Amortissements et dépréciations (1A) Dettes financières (DS à DV – EH) Montants 3 340 590 1 709 955 9 000 912 335 709 300 RATIOS DE STRUCTURE = Ratios qui mettent en rapport les éléments stables du bilan et dont l’évolution traduit les mutations de la structure de l’entreprise Il doit être supérieur à 1 car les ressources internes (capitaux propres) doivent être supérieures aux capitaux empruntés. Il met en évidence

fonds propres, ratio de liquidité, ratio de participation… et particulièrement, ratio de solvabilité. A la supervision des activités bancaires, il faut parler du Comité de Bâle. En 1988, le Comité de Bâle a instauré une réglementation prudentielle (Bâle I) afin d’assurer la pérennité de la banque face à ses principaux risques que sont le risque de crédit et le risque de marché. Il a traduit la mise en place du ratio Cooke qui impose aux banques de disposer d’un montant minimum de fonds propres proportionnel

4.2Ratio d’endettement à LT 7 4.3Capacité théorique de remboursement  7 Structure de l’actif 8 5.1Investissements 8 5.2Degré de couverture des immobilisations 8 Rentabilité 9 6.1La rentabilité économique (RCI) 9 6.2La rentabilité des fonds propres 11 6.3Effet de levier 11 Divers 12 7.1Calcul du cash-flow ou autofinancement 12 7.2Calcul du free cash-flow 12 7.3Le point mort 12 7.4L’élasticité du résultat 12 Commenter un tableau de financement Savoir comment l’entreprise se procure

c’est-à-dire non seulement la solvabilité mais aussi la flexibilité dans le choix de la structure de financement. 2) La rentabilité de l’entreprise par la réduction des intérêts et autres frais bancaires et pat l optimisation de l’emploi des capitaux propres. Ces 2 objectifs sont complémentaires puisque la sécurité dépend fortement de la rentabilité. La méthodologie de la gestion financière procède selon 2 étapes complémentaires. La première est l’analyse financière de l entreprise ou le diagnostic

société. La réponse des régulateurs, connue sous le nom de ‘Bâle 3’, est donc une réforme indispensable pour réduire la probabilité et la gravité des crises à venir. Son propos principal est d’obliger les banques à se financer avec davantage de capital. Apparition de l'accord de Bales http://www.culturebanque.com/bale-i-ii-iii-changement-modele-bancaire/ Bâle I Le comité de Bâle est lancé en 1988 après une période de dérèglementation financière qui a permis aux banques de constituer des conglomérats

l’entreprise accroit-elle ses fonds propres ? 2 De quelle façon l’entreprise constitue-elle son endettement ? 2 L’entreprise utilise-elle des titres hybrides ? .....................................................4 Description détaillée du financement actuel 5 * Quelles sont les caractéristiques de sa dette ? 6 Quel est le niveau d'endettement du groupe ? 7 Quelle est la capacité de remboursement de l’entreprise? 8 * L’équilibre entre dettes et fonds propres 8 Quelle est la valeur du

(chiffre d'affaires/ actif économique). Le taux de rentabilité comptable des capitaux propres est égal au rapport du résultat net aux capitaux propres. L'effet de levier de l'endettement est la différence entre la rentabilité des capitaux propres et la rentabilité économique. Il résulte de la différence entre la rentabilité économique et le coût de la dette et dépend de la proportion de dette par rapport aux capitaux propres. Mathématiquement, l'effet de levier se traduit par la tautologie comptable

leur département. Malgré sa présence en bourse, Lehman ne semble pas se laisser distraire par les batailles politiques internes comme le sont certaines autres banques. La banque préconise aussi l’actionnariat salarial ; en 2006, plus de 30% du capital de la banque sont détenus par son personnel. Fuld veut que ses employés agissent en actionnaires, alors que d’ordinaire, actionnaires et employés sont en conflit d’intérêt. Malgré tout cela, le 15 septembre 2008, la banque fait faillite. Le secrétaire

d’investissements La Société Anonyme J.P. Pitol est cotée en bourse. En moyenne et sur le long terme, la rentabilité du marché boursier, mesurée grâce à l’évolution de l’indice de référence, est de 11 %. Pitol se finance actuellement à 41% % par capitaux propres et, pour le reste, par endettement. Le taux de l’impôt sur les bénéfices est de 331/3 %. La dette, contractée par Pitol auprès d’un syndicat bancaire constitué de plusieurs grands établissements de crédit, engendre des frais financiers (intérêts)