Caquetoire

toutes les dix à quinze minutes. Cette gêne a sans aucun doute contribué à de nombreuses recherches de confort (support lombaire, inclinaison, rembourrage…). Et pourtant la chaise idéale ne semble toujours pas exister ! un exemple de chaire : caquetoire en noyer (milieu du XVIe) 2. Histoire du confort et des formes A/ Trônes et tabourets pliants en X, modèles les plus répandus jusqu’au Moyen Âge Les sièges les plus anciens ont été découverts dans les tombes égyptiennes. Ce sont des

confortable, bas et rembourré, dépourvu de bras et qui originellement permettait de se chauffer tout près du feu (d'où son étymologie). Tabouret Chaise sans dossier Chaise gondole Siège au dossier arrondi et enveloppant, à montants latéraux cintrés. Caquetoire ou caqueteuse Siège rudimentaire à dossier élevé et droit, assise rectangulaire ou trapézoïdale, utilisé généralement près du feu, c'est l'ancêtre de la chauffeuse. Chaise à bras chaise comportant deux accoudoirs comme les fauteuils. Chaise

mobilier français et du design. Fonction ; La fonction première de la chaise est de s’asseoir et de soutenir le poids du corps. Mais ce n’est pas sa seule fonction. En effet, le siège sert aussi à toutes sortes de pratiques culturelles comme la « caquetoire » du XVIe siècle utilisée pour faire la conversation, la « chauffeuse » pour se reposer au coin du feu, et d’autres encore. Concernant l’assise, les modes vestimentaires ont beaucoup influé sur la forme qui a tendu vers un élargissement en https://www

dans cette pièce que le roi se changeait, se préparait, faisait sa toilette et prenait son petit déjeuner. Tous ces moments, sont des moments publics. Souvent ce sont des hauts personnages de l’Etat qui l’observent. Cette pièce contenait souvent un caquetoire , une chaise réservée aux plus bavardes des Dames afin qu’elle puisse jouir du plaisir de discuter. La chambre d’apparat était ouverte seulement au public masculin. Elle était une des pièces les plus décorées du château, occupée au centre par un

forme d’armoires avec deux-corps superposés indépendants puis assemblés entre eux comme on peut le voir sur l’armoire de Thoisy-la-Berchère datant de 1780 par exemple. A cette époque, la chaise se caractérise par un dossier agrémenté d’un bras nommé caquetoire à et il apparait sous la forme d’un siège trapézoïdal. Ces éléments assez simples vont se complexifier au fil des siècles avec une assise non plus carré mais ouvrant les accotoirs de plus que ces derniers peuvent également s’incurver. On allège

eut un rire retentit à travers les bruissements du cloua sur place comme coup, saccadé qui bois. Cela les pétrifiés. morfondaient à le guetter, trempés jusqu'aux os, dans la boue et l'ondée, Cachaprès, largement carré au chaud, dansune caquetoire de cabaret, se livrait à des lampées ou abattait les cartes, narguant les pauvres diables qui l'attendaient D'autres fois, alors qu'ils se sous l'orme. Cependant breux le gibier l'origine, à clairsemées. Il erraient nom- maintenant

CAPON: poltron. De chapon, coq rendu lâche par sa mutilation. CAPONNER: agir en poltron, reculer devant tout défi. CAPRICORNE (s. m.): le scerambix musqué. B. CAPUCHER. Voyez CAPOGNER. B. CAPUCIN: c'est l'insecte appelé Oryctese nasicornis. B. CAQUETOIRE (s. f.): larynx, la luette, qui produit le caquet. CAQUEUX: couteau pour ouvrir, écaler les huîtres, les extraire de leur caque. B. CARABAS: mauvaise voiture, vieux carrosse. CARABIN: sarrasin (Polygonum fagopyrum). CARAPON: sorte de bonnet

des célestins qui portent un capuchon. Il dit sous son capuce. Capucinade : (ka-pu-si-na-d'), n. f. Terme familier. Plate tirade de morale ou de dévotion. Caquerolle : (ka-ke-ro-l'), n. f. Casserolle de cuivre à trois pieds et à manche. Caquetoire : (ka-ke-toi-r'), n. f. 1° Chaise basse à dos très élevé et sans bras. C'est ce que nous nommons maintenant causeuse. 2° Bâton placé au milieu des mancherons de la charrue. Caraba : (ka-ra-ba), n. m. Huile de la noix d'acajou. Carabinade