Caractère ancestral et caractère dérivé

idéal que l'histoire ne saurait expliquer, car il préexiste à l'histoire Nous nous inspirerons d'un parti pris tout différent. Les Occidentaux, naguère, contaient l'histoire de Chine à la mode chinoise (ou à peu près), sans même en signaler le caractère dogmatique. Ils s'efforcent aujourd'hui de démêler dans les traditions le vrai et le faux. Ils utilisent les travaux de la critique indigène. Ils oublient souvent d'en faire ressortir les postulats. Ils se montrent, en général, peu sensibles

est cantonnée au seul relevé des appartenances confessionnelles déclarées, ses conclusions sont immédiatement invalidées par l’observation de terrain qui consiste à suivre les itinéraires tracés par les fidèles. Chacun d’eux révèle en effet son caractère individualisé dans la manière originale de relier différents espaces religieux qui ne relèvent pas des mêmes religions instituées. L’idiosyncrasie de chaque itinéraire diminue cependant à mesure qu’il est confronté aux autres. Des itinéraires observés

culte. Les intérêts communs ne peuvent suffire à la fondation d’une Nation. Enfin si Renan, reconnaît que la géographie a une part importante dans la division des Nations, rien est absolu. Pourquoi tel fleuve, telle chaîne de montagne aurait le caractère de frontière naturelle ? Il est donc clair, qu’il y a d’autre raison que celle de la géographie dans le choix des frontières dite naturelles. 2. La Nation : Un plébiscite de tous les jours Pour Ernest Renan, la Nation est « un principe

(dit moderne) qui a été introduit au Maroc en 1913. Il dérive de l'Acte Torrens mis au point en Australie en 1858, ayant pour but de définir et de garantir le droit de propriété, les limites des immeubles ainsi que les servitudes s'y rapportant. L'immatriculation d'un immeuble le soustrait aux règles du droit musulman et le soumet aux dispositions du Dahir de 1915, dit Code foncier. Cette immatriculation présente toutefois, le caractère d'être facultative ce qui entrave sa généralisation.  En

l’activité de leurs conjoints. Les sociétés littorales concernent aussi bien le « rural maritime » que les cités portuaires et leur sociologie particulière, en raison de la prédominance de certaines professions liées à la mer, bien sûr, mais aussi, du caractère cosmopolite propre aux villes portuaires. Le monde des sociétés littorales renvoie également à une culture et à des mentalités spécifiques qui ont été mises en lumières dans les travaux pionniers d’Alain Cabantous. Il a forgé le concept d’identité

(dit moderne) qui a été introduit au Maroc en 1913. Il dérive de l'Acte Torrens mis au point en Australie en 1858, ayant pour but de définir et de garantir le droit de propriété, les limites des immeubles ainsi que les servitudes s'y rapportant. L'immatriculation d'un immeuble le soustrait aux règles du droit musulman et le soumet aux dispositions du Dahir de 1915, dit Code foncier. Cette immatriculation présente toutefois, le caractère d'être facultative ce qui entrave sa généralisation. En

en 1913. | |Il dérive de l'Acte Torrens mis au point en Australie en 1858, ayant pour but de définir et de garantir le droit de propriété, les limites des immeubles | |ainsi que les servitudes s'y rapportant. L'immatriculation d'un immeuble le soustrait aux règles du droit musulman et le soumet aux dispositions du Dahir| |de 1915, dit Code foncier. Cette immatriculation présente toutefois, le caractère d'être facultative ce qui entrave sa généralisation. 

source du droit a pour nom : la coutume. La coutume présente plusieurs caractéristiques : - critère objectif évoqué ce qui fait une coutume, pratique humaine mais c’est une pratique constante et qui doit s’inscrire dan le temps on parle de coutume ancestral. Ce sont donc les hommes qui répètent des actes, qui suivent des règles de manière constantes et ancienne ; Au moins 100 an pour que la coutume existe. – la pratique est empirique on parle d’expérience l' - critère subjectif : vouloir se soumettre

soins aux malades, les religieuses, c’est l’étape entre l’ancien régime (automédication) et la médecine du 19eme siècle, c'est-à-dire que l’on commence à faire confiance à autrui pour se soigner, cependant, elles sont très dénoncées par le caractère médical très libéral. Les rebouteux Ils s’attaquent aux maladies les plus graves, les yeux, les dents, les maladies vénériennes, Ils profitent souvent du flou et de l’agitation de la médecine officielle, Il existe donc un flou juridique

PREMIERE PARTIE LA CONSTRUCTION IDENTITAIRE 1. Le rapport à Autrui 1.1. Pourquoi Autrui ? Venu du latin alter, « autrui » renvoie tout un chacun à cet autre ou ces autres marqués immédiatement par leur caractère étranger, différent. Mais, comme le souligne J.P. Vernant, « Pour être soi, il faut se projeter vers ce qui est étranger, se prolonger dans et par lui [...] On se connaît, on se construit par le contact, l’échange, le commerce avec l’autre. Entre les rives du même et de l’autre, l’homme