Caractère ancestral et caractère dérivé

correspondent à des états dérivés (= innovations) de caractères; ces derniers étant répertoriés dans le tableau du document 2. Parmi tous les arbres possibles, est retenu celui qui présente le plus petit nombre d'innovations (passage d'un caractère de l'état ancestral à l'état dérivé) au niveau de ses branches ; c'est le principe de parcimonie. D'après La classification phylogénétique du vivant Lecointre / Le Guyader Document 2 : Matrice de comparaison de caractères pour les autres espèces étudiées

des caractères homologues. L’homologie est la ressemblance héritée d’un ancêtre commun. Les ailes de chauve souris et des oiseaux sont constitués pareillement, cependant placé différemment, mais ayant la même fonction. Ce sont des caractères analogues. Un caractère peut se transformer. Si un caractère n’a pas évolué et se retrouve dans plusieurs groupes d’être vivants, il est qualifié d’ancestral ou de primitif. S’il a évolué au cours du temps d’un groupe à l’autre, alors c’est un caractère dérivé

|Embryon entouré d’une poche amniotique |340 Ma (reptiles) | |Mammifère |Caractère primitif par rapport aux Sauropsidés = iris avec muscles lisses |220 Ma (insectivores) | | |Caractères dérivés propres : poils, mamelles, articulation de la mâchoire, | | | |oreille interne

tous les autres organismes vivants présentent de nombreux caractères selon lesquels certaines espèces peuvent se placer près de l'Homme. On peut déterminer ces liens de parenté entre les êtres vivants grâce à la phylogénie. Cette étude est représentée sous forme d'arbre phylogénétique et permet d'exprimer les liens de parenté entre les espèces et mettre en évidence les nouveaux caractères apparus au cours du temps appelés caractères dérivés. Par la suite on peut en déduire s'ils appartiennent à la

squelettes a permis d'esquisser un modèle des grandes étapes de l'histoire de la lignée humaine. Présentez les critères d'appartenance à la lignée humaine et justifiez l'appartenance des Australopithèques à cette lignée. Décrivez les principaux caractères des trois représentants du genre Homo cités ci-dessus en les situant dans le temps. Votre exposé comprendra une introduction, un développement structuré et une conclusion. EVALUATION DU DM N°2 Critères évalués Commentaires éventuels Partie

d'établir des liens de parenté entre les organismes Les seuls caractères (attributs observables de l'organisme) utilisables pour établir une phylogénie sont les caractères homologues, hérités d'un ancêtre commun. C'est le cas par exemple des membres antérieurs de tous les tétrapodes, qu'ils soient bras ou ailes, et qui présentent le même plan d'organisation.Les caractères homologues sont macroscopiques ou moléculaires.Les caractères macroscopiques considérés peuvent être de nature différente : morphologiques

comparaison de caractères homologues Etablissement des relations de parentés entre vertèbres actuels se fait par comparaison de caractères homologues. Considère que l’homologie est 1 ressemblance héritée d’1 ancêtre commun. Comparaison caractères homologues prend en compte l’état ancestral ou dérivé d’1 caractère. Au cours de l’évolution, caractères homologues subissent des modifs, grâce a un organisme de référence, on défini 1 état ancestral ou primitif et on défini un caractère dérivé qui résulte

paléo-dicotylédones : ce sont des angiospermes primitifs, des dicotylédones archaïques au port arboré ou herbacé. Ce sont des angiospermes à pollen uniaperturé ou dérivé, à fleurs trimères et/ou à disposition spiralée. Elles partagent de nombreuses plésiomorphies (= caractère qui n'a pas subi de modification au cours de l'évolution. Ce caractère a donc été conservé depuis le premier ancêtre du groupe le présentant.) avec les monocotylédones, et en particulier avec les plus archaïques. Parmi ces plésiomorphies

reposent sur les comparaisons de caractères homologues : elles peuvent être proposées à partir de caractéristiques morphologiques, anatomiques ou embryologiques. On peut attribuer un état ancestral ou dérivé à chaque caractère possédé par un être vivant, mais seul le partage d'états dérivés témoigne d'une étroite parenté. La recherche de liens et de relations de parenté entre individus a permis de montrer que la parenté est d'autant plus étroite que le nombre de caractères en commun est élevé. Ce sont

dernier ancêtre commun à l’homme et au chimpanzé. Cette lignée, souvent qualifiée d’homininés, n’est actuellement représentée que par une seule espèce ( Homo sapiens ). Les caractères dérivés propres à la lignée humaine peuvent être déduits de la comparaison des squelettes de l’homme et du chimpanzé. 1. Les caractères dérivés liés à une station bipède exclusive. Le trou occipital est au centre de la boîte crânienne. La tête est posée en équilibre au sommet de la colonne vertébrale La colonne vertébrale