Caractère ancestral et caractère dérivé

présente des caractères humains : col du fémur allongé, formant un angle ouvert et présentant une paroi dissymétrique et des caractères simiesques : grande canine, adaptation arboricole du membre antérieur. Il en est de même pour Toumaï : face plate et petite canine, trou occipital avancé (signe de bipédie), insertion des muscles du cou comme chez l'Homme; mais volume cérébral proche de celui du Chimpanzé. L'ancêtre commun à l'Homme et à Orrorin devait posséder les caractères communs aux deux

entre les vertébrés actuels s’effectue par comparaison de caractères homologues (embryonnaires, | |morphologiques, anatomiques et moléculaires). Les comparaisons macroscopiques prennent en compte l’état ancestral et l’état dérivé des | |caractères. | |Seul le partage d’états dérivés des caractères témoigne d’une étroite parenté. Ces relations de parenté contribuent

la forme d’un tableau les critères d’appartenance à la lignée humaine, justifiez l’appartenance du genre homo aux homininés et le caractère buissonnant de l’évolution humaine. Votre exposé comportera une introduction, un développement structuré et une conclusion. Aucun schéma n’est exigé. Pour justifier l’appartenance du genre homo aux homininés et le caractère buissonnant de l’évolution humaine, nous allons tout d’abord commencer par exposer sous la forme d’un tableau les critères d’appartenance

structures morphologiques et anatomiques fondamentales qui confèrent la forme générale aux êtres vivants de manière cohérente. C’est l’architecture fondamentale de la lignée évolutive. =Bauplan. Cohérence fonctionnelle. (Chimère : principaux caractères généraux d’une espèce mais qui n’est pas valable pr ts les êtres vivants de cette espèce) Rupture épistémologique, paradigme : c’est l’idée, la construction que l’on a du monde, de qqch. On a un changement de paradigme càd un changement d’idée

vivants actuels et fossiles en étudiant leurs caractères sous trois aspects différents (embryologique, anatomique et moléculaire) et en confrontant les observations actuelles aux données paléontologiques. On établi ainsi des arbres phylogénétique rendant compte de relations étroites de parenté entre ses organismes. Voir I2 – TD1. BILAN : Elles se réalisent par la comparaison de caractères entre différentes espèces de vertébrés. Un caractère est un attribut observable chez un organisme

peser la valeur évolutive : il faut ainsi séparer homologies et analogies. Par » analogues » on rapproche deux structures similaires. Les nageoires caudales des dauphins et requins sont analogues. Par homologues on entend des organes ou des caractères ou des molécules ayant des ressemblances liées à une origine commune et des différences liées à l’évolution divergente des deux structures. La nageoire pectorale du dauphin et la patte avant du chien sont homologues. Ils partagent aussi la

possèdent des caractères qu’aucun autre mammifère ne possède : pouce opposable (saisir), ongles plats, perception du relief et des couleurs, cerveau développé (cortex). 5)L’établissement d’une phylogénie : On peut établir une phylogénie (histoire évolutive) grâce à la comparaison de caractères morphologiques (arbre phylogénétique). Elle repose sur le partage de caractères dérivés. Les caractères évoluent grâce à la diversification génétique. Il y a donc un caractère ancestral et un état dérivé (innovation)

établir des ressemblances et des similitudes Caractères similaires entre les animaux : Homologie : dérivent d'une même structure hérité d'un même ancêtre commun Homoplasie : similitude qui n'est pas hérité d'un même ancêtre commun. CONVERGENCE EVOLUTIVE → Un caractère évolue au cours du temps État ancestral modifications État dérivé PLESIOMORPHE APOMORPHE Quand au caractère dérivé est partagé entre 2 ou plusieurs taxons : (pour elle, cela ne veut rien

mutation(s) d’un gène ancestral commun à V et R que nous appellerons δ (delta). Les faibles différences entre ces deux gènes (4%) sont dues au peu de mutations ponctuelles subies par ces deux gènes, la duplication/transposition est donc récente. Les gènes V et B et V et R ont respectivement 44% et 43% de similitudes. Ces similitudes sont moins fortes car il y a eu divergence entre le gène B et le gène ancestral commun à R et V (δ), et ont donc tous deux un gène ancestral commun plus ancien encore

LA LIGNEE HUMAINE I. Place de l'homme dans le règne animal L'homme est un mammifère L'homme présente des caractères dérivés avec tous les mammifères apparus à différentes périodes de l'histoire de la vie: cellules eucaryotes ( -1,2 Ga), squelette interne = vertébré ( -500Ma), membres chiridiens = tétrapode ( -390 Ma), embryon dans une cavité amniotique (-340 Ma) et allaitement, placenta et poils ( -220 Ma) L'homme est un primate Il présente en effet des pouces opposables