Caractères La Bruyère Guerre

Le monde au lendemain de la première guerre mondiale I-L’Europe à genoux. L’Europe, c’est, depuis un millénaire au moins, une même civilisation, synthèse des héritages de l’Antiquité gréco-romaine et du christianisme. Pourtant, elle n’a jamais été unie politiquement et les Européens n’ont pas cessé de se battre entre eux : la première guerre mondiale n’est même pas la première confrontation générale sur le Vieux Continent (les guerres de religion, les guerres révolutionnaires et napoléoniennes, en

révolte nobiliaire. A partir de 1662 : construction de Versailles. Louis XIV et la société Règne de Louis XIV : réformes politiques, financières, centralisation administrative, absolutisme. Développement du commerce et de l’industrie, mais guerres de conquêtes meurtrières et ruineuses. Louis XIV veut imposer un ordre religieux catholique unique, résister au pape, et pourchasser les jansénistes. Jansénisme : courant théologique fondé en 1640 par le moine Jansen, idée de prédestination, philosophie

Question de corpus Les quatre textes dénoncent la guerre : c’est la thèse commune. La Bruyère prononce une critique ironique et dynamique de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à «l’Antiquité », il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que « dans tous les siècles », « toujours », « de tout temps », « de siècle en siècle ». Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux « se dépouiller

La manière de gouverner est évoquée dans le passage sur les guerres Picrocholines : cet épisode est une mise en abîme, un récit dans le récit qui fait état du contexte de conflit entre Charles Quint (Roi d’Espagne) et François Ier (Roi de France). L’œuvre fait l’éloge de ce dernier à travers la figure de Grandgousier, souverain sachant s’entourer, faisant preuve de mesure et de réflexion, réfléchissant aux conséquences humaines des guerres,… Rabelais dresse ici la figure du « bon gouvernement ». En

être écartés. Molière s’est inspiré de la commedia dell’arte pour certaines de ses comédies. Le comique de mots, de geste et de répétition sont les plus fréquents. Cependant, il existe aussi le comique de caractère le plus souvent suscité par un quiproquo. Enfin, il existe le comique de caractère en créant des types théâtraux aux personnages comme l’avarice, la misanthropie ou l’hypocondrie. Par opposition, la tragédie est régie par la règle des trois unités soient l’unité de lieu, de temps et d’action

théâtre, rappelle l’époque baroque, trouble vertige, mise en abyme, gloire du théâtre, qui atteint par son pouvoir d’illusion une certaine forme de vérité. Pas rupture … car ce n’est pas encore l’époque classique. Corneille, à toujours était en guerre contre les doctes, en conflit. La querelle du Cid. Elément de scandale dans le cid, la question de l’invraisemblance, on donne à la scène quelques règles, Chapelain explique ce qu’est l’esthétique de la vraisemblance ; or chapelain, le sujet de

TEXTES A - Jean de LA FONTAINE : « Le Lion s'en allant à la guerre », Fables, Livre V, fable XIX, 1668. B - Jean de LA BRUYERE : « Du Souverain », Les Caractères, fragment XXIX, 1688. C - Jean ANOUILH, Antigone, 1944. Annexe : SERGUEÏ, Le Monde, « Dossiers et documents littéraires », 1993. Texte A - Jean de La Fontaine : « Le Lion s'en allant à la guerre ». Le Lion dans sa tête avait une entreprise1 : Il tint conseil de guerre, envoya ses Prévôts2,         Fit avertir les animaux :

http://perso.club-internet.fr/christian.mathis Séries ES & S Objet d'étude : Convaincre, persuader et délibérer. La Bruyère, "Du Souverain ou de la République", Les Caractères, 1688. Article "Paix", L'Encyclopédie, 1750 - 1772. Voltaire, "Guerre", Dictionnaire philosophique, 1764. Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935. I. Question (4 pts) Ces quatre textes dénoncent la guerre. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés à cette fin. II. Travail d'écriture, au choix :

XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés.

l’argumentation du XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. A la suite