Carafe

nommé avec le but de convaincre le lecteur d’être en train de voir un lieu horrible, dégradé, dominé par la misère. L’ameublement et les décorations se révèlent un fatras d’objets de tous les styles. On peut constater l’association absurde entre les carafes, les buffets et les rondes de moiré métallique (lignes quatorze et quinze).   Au point de vue du style et de la sonorité, l’auteur intervient implicitement dans le texte en utilisant une ponctuation structuré, figures de style, figures sonores et

la pudeur. Respecter le pli d’aisance - positionner les oreillers - finir le lit (couverture et dessus de lit) - contrôler l’installation du patient - remettre les barrières de sécurité si besoin - réinstaller la chambre (sonnette à proximité, carafe pleine, etc…) - aérer si besoin et si le patient est couvert - avant de sortir de la chambre, se laver les mains ou SHA - éteindre la présence - ranger le matériel - trier le linge sale COMPLICATIONS Risque de lésions cutanées, voire d’escarres

cette femme de ville qui lui inspirait une répulsion de maudite, de réprouvée, d'être impur fait pour la fainéantise et le péché. Elle se levait à tout moment pour aller chercher les plats, pour verser dans les verres la boisson jaune et aigre de la carafe ou le cidre doux mousseux et sucré des bouteilles dont le bouchon sautait comme celui de la limonade gazeuse. Madeleine ne mangeait guère, ne parlait guère, demeurait triste avec son sourire ordinaire figé sur les lèvres, mais un sourire morne, résigné

cet obscur gouffre sans fond qu’est la démence. Se sentant observé par un être invisible et surhumain qu’il nomme « Le Horla », le narrateur ne peut dormir et se rend lui-même compte de sa folie. De plus, chaque matin, ce dernier constate que la carafe d’eau et la bouteille de lait qu’il a laissées pleines la veille ont été bues. Désemparé, le narrateur fait un voyage après quoi il se sent mieux ; mais dès son retour, son état s’aggrave, et les conseils de ses médecins n’y font rien. Le narrateur

pleins de promesses. Au final, un HautMédoc de grande tradition. • Accords mets/vin : terrine maison, agneau, canard au lard, belles pièces de bœuf, gibiers, plats en sauces, fromages affinés. • Service : idéal se fera à 17 °C après 1 heure 30 en carafe. • Conservation : il peut être dégusté dès aujourd’hui, mais se conservera 5 à 7 ans à plat, en cave à l’abri de la lumière. Technique Rendement : 48 hectolitres/hectares Assemblage : 52 % Cabernet Sauvignon, 48 % Merlot Recommandations Médaille

les clients. Mais ce que j’ai le plus aimer, c’est que chaque jours ce n’est jamais a la même chose, il y a pas de routine. Taches approximatif de chaque jour : 9h : arrivée personnel 10h15-10h30 : remplir le bar 10h30-11h45:faire les carafes d'eau et de vin, remplir et mettre sur table les corbeilles de pain 12h-14h : service  13h45-14h30 : redresser et terminer de servir les derniers clients  15h : déjeuner du personnel  15h45 : Balayer puis passer la serpillère dans la

INTERROGATION DE LANGUE A. Réécrivez les phrases suivantes, en mettant les verbes au passé simple. _____/ 3,5 1. Ils n’ (intervenir) qu’à la dernière extrémité. 2. Nous (boire) une pleine carafe d’orangeade. 3. Enfin, vous (admettre) que peut-être vous vous étiez trompés. 4. J’ (embrasser) mon père, (soulever) ma valise et (monter) sur la passerelle. 5. Sa proposition (séduire) l’assemblée. B. Réécrivez les phrases suivantes, en mettant les verbes entre parenthèses au subjonctif passé

repas - 1,3 par jour : répères hommes 2 femmes 3, 1 jour d’abstinence, 4 maximum La service du vin • Ouverture - laisser respirer le vin : contact avec oxygène réveille les saveurs - déboucher une heure avant le service - vin blanche dans une carafe - vin vieux (vin de garde) et qu’il présente dépôt : décantage • Température : - vin blanc : 6-8, rouge 12 – 18 - (selon âge) plus il est jeune, plus il se sert frais - Frigo ou seau + glacons + sel • Verres : - placé au droit du plat, le verre

salle entièrement boisée, fut jadis peinte en une couleur indistincte aujourd’hui, qui forme un fond sur lequel la crasse a imprimé ses couches de manière à y dessiner des figures bizarres. Elle est plaquée de buffets gluants, sur lesquels sont des carafes échancrées, ternies, des ronds de moiré métallique, des piles d’assiettes en porcelaine épaisse, à bords bleu, fabriquées à Tournay[…]. Enfin, là règne la misère économe, concentrée, râpée.

il décide donc de partir en voyage. -Juillet : Il raconte dans son journal sa visite au mont St Michel. La bas , il a rencontré en moine de l'existence de choses invisibles. A son retour il croit être guéri mais un matin il se lève et trouve sa carafe d’eau vide, sans qu’il se souvienne avoir bu dans la nuit. Il se demande si il devient fou. Il tente plusieurs expériences et remarque que seuls le lait et l'eau disparaît. Il fuit a Paris et assiste a une séance de somnambulisme qui l’effraie.