Carapace

bleu), expriment la douleur, la terreur. Ces civils s’opposent aux soldats dont les visages sont cachés et représentés avec des lignes droites et cassantes. Ils sont casqués, et possèdent des armes très grandes avec des trajectoires variables. Les carapaces symbolisent l’aveuglement idéologique. Le peintre montre la déshumanisation des guerriers et bourreaux A droite, un personnage non masqué brandit un glaive pour donner le signal de l’exécution. En tournant le dos à la scène, il prouve qu’il n’assume

Au milieu des loups tu ne peux afficher tes faiblesses, tu marches la tête haute quand ton cœur est en détresse, le maton te guète, tu dois te cacher pour pleurer, t’accrocher à la raison quand la folie vient d’effleurer. (Kery James) Une grosse carapace, à l’intérieur en fait ça saigne, j’fais des erreurs j’me dis t’inquiète ça sert. (Aketo) Si tu cherches un putain d’couteau, prends en un dans mon dos p’tit frère. (Lino) L’important, c’est pas la chute, c’est l’atterrissage (La Haine) Tu peux

d’apprendre qu’elle allait partir loin de chez elle. Alors il ne voulait pas trop s’accrocher de peur de trop souffrir lors du départ (pour ne pas lui en rajouter une couche avec se qu’il vit déjà). Mais, cette fille, fut la seul à pourvoir briser sa carapace. Et ce fut trop fort pour lui, il ne pu se retenir bien longtemps, et, là ce fut le drame pour lui. Lui qui ne voulait pas s’accrocher à cette fille, en tomba raide dingue amoureux, et l’amour lui prouva qu’il avait encore beaucoup de carte à jouer :

violée et humiliée car elle voulait ressembler aux autres, se fondre dans la masse mais maintenant elle ne passe plus inaperçu, tout le monde la regarde et elle est mal à l’aise. Mais malgré toute ces moqueries, le noir lui permet de se forger une carapace du moins en apparence. Il lui permet aussi d’oublier pendant un instant jusqu’à ce que certaines personnes se moquent d’elle et là tout lui revient, ce fameux soir où comme elle dit « ils l’ont tuée de l’intérieur ». Mais pourtant elle ne veut plus

transparaitre. Avec le temps, j'en ai appris plus sur lui, c'est vrai que d'être toujours ensemble et d'avoir les mêmes amis, ça aide vraiment à se rapprocher. Il était tellement gentil, réfléchis et attachant. Je pensais avoir réussi à faire tomber sa carapace, je pensais le connaître mais c'était encore rien du tout par rapport à se que j'allais voir... C'est pendant ma période noire que je me suis concrètement rapproché de lui. J'étais mal, j'étais faible, je ne croyais plus en rien, j'avais perdu tout

Xe siècle. Son utilisation s'est poursuivie en Europe du Nord, au moins jusqu'au XIVe siècle et en Afrique jusqu'à nos jours. Selon la mythologie grecque, le jeune dieu Hermès, fils de Zeus et messager des dieux créa la lyre à partir d'une grande carapace de tortue qu'il perça pour y fixer des roseaux d'où partaient sept cordes en boyaux de brebis ; l'ensemble était recouvert d'une peau de bœuf et se jouait avec un plectre[]. Hermès céda ensuite sa lyre à Apollon[]. La lyre est l'attribut d'Hermès

(3) laisser cuire 20mn couvrir le faitout ajouter ensuite les langoustes et garder au chaud laisser mijoter environ 10 a 15 mN. Voir goutter et vérifier l’assaisonnement. On délie la sauce à la fin de la cuisson avec l’intérieur du liquide de la carapace que l’on aura mis en réserve dans un bol. Avec un morceau de beurre au dernier moment, ou l’on verse sur la langouste, on peut avec la sauce délier, également avec un peu de farine. GISELE BOYER

agissent souvent comme une véritable épidémie. Pour rendre sensible ce phénomène, Ionesco en propose une illustration concrète : les petits fonctionnaires d'une ville imaginaire se métamorphosent les uns après les autres en rhinocéros. Protégés par leur carapace et armés de leur corne, ils détruisent systématiquement tout ce qui ne leur ressemble pas. Seul un marginal alcoolique, Bérenger, fait figure de conscience isolée qui résiste à cette contamination. Aux yeux du dramaturge, il représente la " conscience

sont expliqués par l’auteur de manière philosophique. L’homme se protège d’une réalité trop brute, trop dure à assumer pour lui grâce à une illusion d’une autre réalité qu’il s’invente, comme une carapace pour se protéger de ses prédateurs qui ne sont d’autre que lui-même. Et en se créant cette carapace, qu’il lui permettrait selon-lui de s’éloigner de la personne qu’il est, il finit par la mettre en avant alors qu’il en cherchait l’effet inverse. On nous montre aussi que l’homme est unique et

impose comme limite d’exploration. » (p.14) A cette période les parents cessent d’être les valeurs de référence. Complexe du Homard : les adolescents se cachent tel le homard sous une pierre le temps de sécréter une nouvelle carapace. Mais les blessures faites avant la nouvelle carapace laisse des cicatrices. Pendant les crises les adolescents sont contre la loi car selon eux la loi ne leur permet pas « d’être et de vivre » (p.17) Attention : il faut continuer à les soutenir même s’ils semblent se moquer