Carcassès

ils y déversent les déchets de leurs usines chimiques. En effet on estime que chaque jour le Gange reçoit les restes de quelque 475 cadavres humains ainsi que de 1 800 tonnes de bois utilisées pour les crémations, auxquels s'ajoutent les 10 000 carcasses d'animaux qui y sont abandonnées, avec les déchets des usines, on y retrouve des taux extrêmement inquiétants d’arsenic, cadmium, chromium VI et mercure (qui provoque des maladies neuro-dégénératives) Chacun de ce métaux peut à lui tout seul entraîner

33, ce qui donne une impression de durée, ce qui explique que la description à l'intérieur du récit soit aussi longue v.3 à v.32 dans la précision de l'évocation, par l'emploi de nombreux mots synonyme de « charogne » comme « pourriture » v.9, « carcasse superbe » v.13, « squelette » v.35, « ordure » v.37, d'où l'insistance par la place à la rime et aussi par la diérèse pour « infection » v.38.Mais aussi dans le réalisme de l'évocation par l'insistance sur le processus de la décomposition : « bataillons/De

l'intérieur de la |pour préparer les infusions. |celui-ci se penche pour le ramasser tout en | |machine laisse passer un courant de défaut |Le circuit électrique interne de cet appareil est |s’appuyant sur la carcasse du moteur et | |Cela n'empêche pas la machine de fonctionner |détérioré et une partie du courant s'échappe dans |s’électrocute. | |Ce courant de défaut met accidentellement la masse|la partie métallique

? a-t-elle grandi, elle aussi ? pourquoi ? à quoi ressemble-t-elle ? à une gousse d’ail que l’on écrase dans un mortier ou à un balai que l’on remise derrière une porte ? et pourquoi ? va-t-elle pouvoir un jour chanter, danser, faire résonner ma carcasse comme des claquettes et battre ma peau comme celle d’un tambourin ? Elle est à l’abri depuis toujours, alors qu’elle voudrait avoir froid, je le sais. Oui, froid. Et faim et soif et joie et misère et vie de tout ce qui existe au-delà de cette porte

Réservez le sang avec le vinaigre. Lavez l’intérieur du lièvre avec un peu de vin rouge. Désossez le lièvre avec un couteau très fin en laissant le lièvre entier, en commençant par les pattes, la cage thoracique, les épaules, la colonne vertébrale et la carcasse. Pour ne pas percer la peau, laissez un peu de chair sur les os. Etalez le lièvre désossé sur le dos, à plat dur le plan de travail, et l’assaisonnez avec du sel, du poivre, de la muscade, quelques brins de thym et d’un peu de cognac. Roulez le lièvre

cheval qui ne peut ni se défendre, ni se sauver. « « trop faible pour casser son attache » Il est entièrement à la merci de Zidore. « Il vint cependant pour savourer savictoire. » Il est paresseux. « Il en avait assez d’aller si loin pour cette carcasse. » Il est bête. Il se croit très malin de faire souffrir cette bête : « enchanté de son inventio

Mesure d'isolement avec un méga-ohmètre. L1-Pe, L2-Pe, L3-Pe On doit trouver environ 300 000 Ohms J'ai trouver : 9. Vérifier le Pe avec un ohmètre . Mettre une pointe de touche sur la borne de terre et l'autre sur toutes les carcasses métalliques. On doit obtenir J'ai obtenu L'infini 10. Trouver l'intensité I grâce à la plaque signalétique (puissance, cosφ, rendement..) I = P/U√3cosφμ 11. Dimensionner le disjoncteur moteur suivant le résultat de I 12. Vérifier

Pourtant nous ne sommes pas loger tous à la même enseigne : derrière cette histoire, Eric Emmanuel Schmitt aborde la misérabilité, l'exploitation voire l'esclavage qui se dresse à tout dépard précipité de son pays sans moyen avec pour unique bagage sa carcasse et sa culture (qu'il faut parfois oublier...)... c'est encore une fois avec beaucoup d'humanité que l'auteur nous dresse un portrait d'homme tenant tête à son destin, relevant toujours le défi et continuer à vivre tout simplement... Ce livre m'a

l'ordre, permettant ainsi la paix, le bien être et l'épanouissement de mes sujets. Vous autres humains, vous vous croyez bien trop supérieur pour obtenir le droit de gouverner. Un seul de mes sujets suffirait à ne faire qu'une boucher de votre infâme carcasse. Comprenez donc simplement que la seule faveur que je vous autorise est celle de vivre, rien d'autre. »

sinistres strophes venant d’Une charogne, montrant l’infamie d’un cadavre : Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,Brûlante et suant les poisons,Ouvrait d'une façon nonchalante et cyniqueSon ventre plein d'exhalaisons. Et le ciel regardait la carcasse superbeComme une fleur s'épanouir.La puanteur était si forte, que sur l'herbeVous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,D'où sortaient de noirs bataillonsDe larves, qui coulaient comme un épais liquideLe long de ces