Carcassès

théâtre d'une exécution systématique par les Waffens SS, faisant officiellement 642 victimes. Situé à une vingtaine de kilomètres au nord ouest de Limoges, ce lieu saisissant des années 1940 a été conservé en état de ruine. Les rails du tramway, les carcasses de voitures résitent encore à la rouille. En début d'après-midi, les Waffen S.S. encerclent Oradour et rabattent vers le centre-bourg les personnes qui travaillent dans les champs. La population est rassemblée sur la place principale (le Champ

représenté derrière un orgue, mais il ne joue pas. Au dernier plan on aperçoit un ciel gris ou des cerfs-volants regarde la scène désastreuse. Il y règne une atmosphère poussiéreuse un mur en ruine et un arbre sans vie. On voit au loin derrière la carcasse de voiture un cavalier sur son cheval. LES COULEURES : les couleurs sont terne et accentuer cet effets de souffrance et de monde stérile. Interprétation Cette toile symbolise le chaos et la fin d’un monde : la fin du monde occidentaux mis

convie-t-il pas à comprendre que la beauté de la forme, la beauté du monde, peut-être faite de laideur ? N'est-ce pas d'ailleurs là tout le sens de son titre, "Les Fleurs du Mal" ? B. Une description repoussante .Champ lexical : mort : carcasse,une chienne, squelette, le morceau,ossements ordure, décomposition : charogne infame, pourriture , horrible infection * signes : vermine, larves, mouches * odeurs: exhalaison, puanteur, putride * aspect :suant, noirs, épais liquide

cheval qui ne peut ni se défendre, ni se sauver. « « trop faible pour casser son attache » Il est entièrement à la merci de Zidore. « Il vint cependant pour savourer sa victoire. » Il est paresseux. «  Il en avait assez d’aller si loin pour cette carcasse. » Il est bête. Il se croit très malin de faire souffrir cette bête : « enchanté de son invention ».

façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de le cuire a point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide

Comme compositeurs français du 18 eme siècle, le plus connus est François Couperin. Mobilier :Le style Louis XV : c’est un style principalement de sièges qui est en bois. Ce style utilise beaucoup la résistance du bois ce qui permet d’alléger les carcasse et de faire des pieds galber. Le style Louis XVI , c’est un style qui est contraire au style Louis XV, on cherche le plus possible a faire des formes géométriques, et a ce que tous soit linéaires.

bouleversements générés à Paris pour amasser une immense fortune. Le titre de l'œuvre provient du terme "curée" utilisé en vénerie, qui autorise les chiens à manger les entrailles de la proie abattue, faisant référence aux hommes cupides qui se jettent sur la carcasse de Paris afin de spéculer et de gagner plus d'argent. L'extrait étudié se situe entre les lignes 1et 78 de l'œuvre. Nous allons tout d abord montrer que cette incipit est un cliché renouvelé et en second temp qu'il ya une en scène de la «gentry»

qualité jusqu’à un âge avancé. La limousine se distingue par sa finesse de son grain de viande, son bon développement musculaire, son excellent rendement en viande maigre commercialisable avec un rendement de carcasse de 62 à 65%, plus de 75% de poids de muscles sur le poids de sa carcasse, une conformation des veaux de 75% classés en E donc sans excès de gras (conformation supérieur) et seulement 25 % est classés en U donc avec excès de gras (conformation inférieur). Grâce à ses qualités, la Limousine

d'arbre qui traînait à terre, et je le battis avec l'énergie obstinée des cuisiniers qui veulent attendrir un beefteack. Réaction Tout à coup, - ô miracle! ô jouissance du philosophe qui vérifie l'excellence de sa théorie! - je vis cette antique carcasse se retourner, se redresser avec une énergie que je n'aurais jamais soupçonnée dans une machine si singulièrement détraquée, et, avec un regard de haine qui me parut de bon augure, le malandrin décrépit se jeta sur moi, me pocha les deux yeux, me

notation olfactive. « les mouches bourdonnaient » (v.17) => ouïe. « ventre putride » (v.17), « larves coulaient » (v.19) => vision. Provoque le dégoût : v16 « évanouir » (conséquence directe). • Champ lexical de la mort, la décomposition : « carcasse », « charogne », « putride », « pourriture », « squelette »… Langage trivial, prosaïque. • Réalité de la faune : « mouches », « larves », « vermines » => réalité commune donc dégoût donc réalisme repoussant 2. La violence du