Cardère sauvage

de nomadisme qui sont tout d’abord les peuples de nomades chasseurs, pêcheurs ou cueilleurs. L’alternance des ressources et des saisons va dicter le déplacement des peuples, en quête perpétuelle de nourriture. C’est donc la migration de la faune sauvage qui va provoquer le déplacement des populations. Mais il existe aussi les peuples de nomades qui pratiquent l’élevage de troupeaux, l’élevage pastoral. C'est-à-dire que la domestication du bétail permet à des sociétés de s’organiser autour de leurs

du Supplément au voyage de Bougainville, Diderot donne la parole aux victimes de la colonisation, les tahitiens, grâce au procédé d’inversion des regards pour dénonce l'injustice de cette situation. En quoi ce discours fait-il l'éloge de la vie sauvage ? OU Comment Diderot s’y prend-il pour faire prendre conscience de la barbarie européenne, de la colonisation ? I) Réquisitoire contre le colonialisme II) Eloge de la société tahitienne DEVELOPPEMENT I) Réquisitoire contre le colonialisme Le

John Stuart Mill, soutient que que les bonnes qualités présentes chez l'Homme sont le produit de l'éducation et que selon lui toute bonne qualité n'est que le résultat de la discipline, en affirmant que l'Homme de la nature n'était qu'un animal sauvage dispensé de qualités morales. Dans une première partie (l. 1 à 3), Mill expose un constat immédiat, qui constitue son point de départ : l'Homme de la nature ne possède rien de valeur, à part les aptitudes qui le constitue et qui ont besoin d'une

première personne et cette identité fait que je me connais et qu'on puisse également me connaître. Certes, une exception est à relever. Un amnésique ou un enfant sauvage est-il capable de répondre à la question qui suis-je? Il semble que non car il ne saurait dévoiler son identité. L'amnésique ne s'en rappelle pas et l'enfant sauvage n'en a pas. Mais il n'y a cependant aucun doute qu'il soit bien une personne, quelqu’un, un être humain parmi d’autres, cependant privé de la conscience de son identité

la première personne et cette identité fait que je me connais et qu'on puisse  également me connaître.       Certes, une  exception est à relever. Un amnésique ou un enfant sauvage  est­il capable de répondre à la question qui suis­je? Il semble que non car il ne  saurait dévoiler son identité. L'amnésique ne s'en rappelle pas et l'enfant sauvage  n'en a pas. Mais il n'y a cependant aucun doute qu'il soit bien une personne,  quelqu’un, un être humain parmi d’autres, cependant privé de la conscience de  son identité

»), qui échappe à la normale – en littérature : personnage hors-normes & qui échappe à son créateur, qui parle à toute les époques, qui est repris par d'autres auteurs – Dom Juan : le mythe de la provocation, de la séduction (Tarzan = mythe du bon sauvage) ➢ Les origines de la notion 1630 ; Tirso de Molina (1580 – 1640) ; un moine qui a connu le nouveau monde et qui écrit des pièces de théâtre. Le théâtre est rejeté par l'Église en France, mais pas en Espagne (période baroque). Il réalise des auto-sacrementales

dans sa ville natale Saint-Malo où il ne navigua plus et vécu la fin de sa vie en bon bourgeois auprès de sa femme. Cartier mourra de la peste en 1557. Il semblerait que ce soit Cartier qui a développé le mythe du bon sauvage : ce dernier pense que celui qu’il appelle « le sauvage » est finalement pure, non-cultivé, et est finalement plus en harmonie avec la nature que barbare. Le « non-cultivé » sera aussi une cible de la conversion au christianisme. Laissez-moi vous raconter une histoire : un

Commentaire thématique 1 « son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, / À ne jamais entrer dans le pacte des villes / Que l'homme a fait avec les animaux serviles » Ces vers se rapportent au mythe du bon sauvage, qui célèbre la pureté de la nature et dénonce le pouvoir corrupteur de l’homme. Le chien représente ici l’être dénaturé par l’être humain et chassant ses semblables. Commentaire thématique 2 « Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, / Ainsi

littérature engagée. Les romans utopiques : création d’une nouvelle société idéale pour amener à s’interroger sur les défauts de la notre (l’Abbaye de Thélème chez Rabelais), ou dystopiques (1984 de George Orwell). Voir aussi l’utilisation du mythe du bon sauvage, dans les Lettres Persanes de Montesquieu par exemple. Vision réductrice du genre romanesque ? Après avoir été considéré pendant des siècles comme le genre bas, le genre populaire, il faut veiller à ne pas en faire de la littérature politisée, de

indiquant par-là que les idées valent par elles-mêmes, que le contexte soit réel ou fictif ! >cf. l’apologue si à la mode à l’époque. Pour le lecteur de l’époque, il est évident que Diderot s’inscrit dans la lignée des créateurs du mythe du bon sauvage, mais détournant la valeur de témoignage que prenaient les discours rapportés par un Montaigne dans des Cannibales et des Coches. Son porte-parole devient son propre porte-parole à la manière de ceux de Voltaire dans ses contes.