Caresse

la sculpture produit cet échange les sens qu'on appelle « la caresse de l'oeil » : ds la statuaire grecque il y a 1 sensation de caresse produite pr l'oeil et 1 sensation de proximité de l'espace qui ressemble à la proximité de la caresse mais on a conservé bcp de mosaïques. Gén. = mosa représentant scène de la vie rurale, urbaine etc.. mais rarement propos de structurer 1 culte (l'idole est le seul lieu où on peut investir les 3 dim. De l'espace et le secret même de la vie) e. artisanat

/interprétation-mais que faisait-il… ?-oui. Mais-amour sans seconde, des mots les plus gentils du monde, que jamais rien ne peut égaler-je ne sais quoi / choses-la douceur me chatouille-ô + ! -fâcheux, fatal, souffre, mal-examinateur-à part-Outre … ?-gentillesse / caresse-toutes / quelques-ô ! tant ! -prenait-et les mains et les bras-il n’était jamais las-Ne vous a-t-il… ? -quelque autre chose-la voyant interdite-ouf-Hé ! … ose + les vers suivants-vous vous fâcherez , vous serez en colère-je souffre en damné-il m’a

de tout l’amour que nous nous portons. Les caresses se rajoutèrent au baisé qui devint rapidement plus fougueux, preuve de notre impatience. Nous nous séparâmes après quelques minutes, essoufflés. Dans le baisé je l’avais allongé sur le sofa et il profita de ce moment où je l’admirais tellement sa beauté me subjuguait, pour m’ôter mon t-shirt, se redressant un peu pour que je fasse de même avec le siens. Je le ré-embrassais tout en continuant mes caresses, de plus en plus osées. Sa respiration était

de s’attirer, d’une part, la sympathie de leur entourage et, d’autre part, compromettre la réputation de certaines personnes. «L’amour, la haine, vous n’avez qu’à choisir, tout couche sous le même toit : et vous pouvez, doublant votre existence, caresser d’une main et frapper de l’autre.» (Les liaisons dangereuses, p.186) Le conseil que la Marquise de Merteuil donne au Vicomte de Valmont souligne son côté manipulateur. D’abord, la dame utilise un oxymore afin de rapprocher l’«amour» et la «haine»

maison à lui et Lennie afin de pouvoir vivre comme un « rentier ». Lennie Small, description faite a la page 29. C'est un géant naïf et benêt mais auquel on s’attache. Il est touchant par son idiotie. Il possède une force surhumaine cependant il aime caresser les choses douces (souris, lapins, chiens, cheveux). C'est lui aussi un journalier. Son rêve est de pouvoir s'occuper des lapins dans le ranch que lui et George veulent acheter. >L'action : -Les faits marquants sont :

populaire - exception faite de « France-Soir » et du « Parisien Libéré »- a disparu des kiosques de la capitale. Hachette a dû renoncer à son projet « Omega » et il n’y a guère que M. Hersant et un patron de presse britannique, M. Robert Maxwell, pour caresser le projet d’un quotidien grand public… en France. En revanche, les quotidiens français nationaux «haut de gamme» diffusent à des niveaux proches de ceux des autres pays européens. En témoignent les chiffres de diffusion du « Monde » (en progression)

cacher, de gommer. Elle prend de plus en plus d’ampleur et tu n'arrives plus très bien à l'effacer. Je me demande si tu m'en veux parfois. Si dans le noir, dans la nuit, au milieu de tes insomnies tu me fixes et penses à une manière d'en finir. Tu caresses ton oreiller et t'imagines sûrement m'étouffer avec. Mais tu ne peux pas, n'est-ce pas ? Tu ne serais rien sans moi. Je t'ai capturée, t'ai retournée et fait virevolter. Tu n'en pouvais plus et tu tournais, tournais accrochée à mes mensonges affreusement

mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments : « Vous êtes bien aimable ». Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, qu'elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre. Elle était jolie, élégante, avec son air gamin et ses yeux vifs. Georges pensait : « Quelle charmante maîtresse, tout de

mal  -Elle ne comprend pas pourquoi Arnolphe semble mécontent : « Qu’avez-vous… ? », « Est-ce que c’est mal… ? » (vers 549/550) -Son ignorance du bien et du mal la pousse à donner des détails sur l’intensité des caresses échangées. À la question d’Arnolphe sur les « quelques caresses » qui auraient pu être échangées, Agnès répond par l’accumulation : anaphore « et… et » (vers 569), utilisation des adverbes « tant «  et « jamais » (vers 569/570). *Agnès incarne parfaitement l’objection avancée

symbolique en parlant du cœur -Une dualité car le chat est beau mais surtout dangereux avec ses griffes -Un danger accentuer par les métaux agate et métal couleur chaude et froide -Le chat est beau mais faire attention il retiens avec ses griffes -Caresse importante car on y consacre une strophe entière -sensation tactile et physique -une sensation qui fait vibrer « électricité » -un rythme qui est toujours le même b) La femme : Baudelaire a créer un nouveau concept des correspondance dont