Caricature Dreyfus

de faire rire le spectateur? Tout en se distrayant, le spectateur peut être ammené à s'interroger sur le comportement de certains personnages. Dans "L'avare" de Molière par exemple, le personnage d'Harpagon, dont la caricature est poussée à l'extrème, peut faire réfléchir certaines personnes avares sur l'avarice tout en les distrayant. On peut ainsi dire que la comédie remplit aussi une fonction éducative. La comédie est aussi très efficace

l'intervention de Cléanthis. Les passages narratifs dans lesquels Cléanthis résume les principales circonstances sont brefs. Elle utilise le pronom indéfini "on" pour présenter Euphrosine. On peut supposer que, d'après l'intonation de Cléanthis, elle caricature sa maîtresse (L.126-127). => Donc: regard dévalorisant, mépris Distance entre elle et la maîtresse -Imitation d'un dialogue mondain (L.135-137) II- Le théâtre dans le théâtre. Cléanthis est sur le devant de la scène, elle renforce le théâtre

en pleine première Guerre Mondiale en référence aux régiments de tirailleurs sénégalais, ce slogan perçu aujourd'hui comme raciste et portant atteinte à la dignité humaine. Une façon intéressante de mettre en avant les cours d'anglais avec la caricature, c'est ce qu'à fait Télélangue, un site qui permet d'améliorer notre anglais, ou d'une autre façon le soigner. C’est pourquoi sur cette affiche publicitaire on y voit une infirmière qui soigne un policier anglais, et qui est marquer en rouge « Arretez

totalement inversée, nous sommes prêts du syllogisme. IV- Le comique de caractère : La comédie met en scène des personnages qui ont des défauts, peint leur caractère, leurs vices, leurs idées fixes. Pour faire rire, il faut comme dans une caricature, forcer le trait dont on veut se moquer ; l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défauts. Ainsi, M. Jourdain (Le Bourgeois Gentilhomme, Molière) est obnubilé par son désir de devenir noble, Harpagon (L'Avare, Molière) est soucieux du moindre

l'époque victorienne, dont les meilleurs exemples sont sans doute Bal à bord et The Gallery of HMS Calcutta. Il met un soin particulier à reproduire fidèlement les somptueux costumes de ses personnages, tandis qu'il réserve sa veine humoristique aux caricatures qu'il réalise pour le magazine londonien Vanity Fair. Portraitiste très demandé dans les années 1880, après son retour en France, James Tissot réalise la série Femme à Paris qui illustre les divers aspects de la vie d'une parisienne moderne ; cette

le parterre, c’est-à-dire le peuple. C’est donc bien un préjugé de classe qui guide sa critique et non son intelligence ou son goût. Un petit marquis avec rhingrave, canons, baudrier, souliers à talons rouges B) La caricature dans la caricature - Dorante se lance alors, dans sa réponse, dans un portrait ironique et caricatural d’un de ces « Messieurs du bel air » qui serait fâché d’avoir ri avec le parterre « fût-ce de la meilleure chose du monde ». Ce portrait à charge

plupart des sports spectacle. Ce sentiment de trahison est partagé par Claire Ane et Martine Jacot qui évoque que le dopage augmente surtout avec l’intérêt des gens et du coup les enjeux économiques. Ce problème du dopage est aussi dénoncer dans la caricature intitulée « la France dopée » réaliser par le caricaturiste Plantu qui a parut dans l’édition du Seuil en 1998 qui nous montre un coureur cycliste, brancher de partout avec des produits dopant et très affaibli physiquement qui demande « c’est quoi

toutes les organisations, associations, les ligues juives attaquent pour diffamation, pour antisémitisme, propagation nazie… La religion est aussi un autre sujet à prendre avec des pincettes : il suffit de se rappeler le scandale provoquée par la caricature de Mahomet. Cette histoire a provoqué un véritable tollé mondial car selon les religions abrahamiques rire du sacré est un sacrilège. Leurs auteurs Cabu et Jyllands Posten ont d' ailleurs reçu de nombreuses menaces de mort suite à ces dessins. Le

d’intégrer. D’où ce décalage entre le registre de langue et le personnage, registre héroï-comique : décalage fréquent chez Proust entre expression et contenu, portraits caricaturaux. -« Elle riait aux larmes » : oxymore, rire et larmes. Exagération, caricature, elle veut montrer qu’elle va jusqu’à pleurer de rire face aux « conversations » des mondains. Démesure pour se faire accepter d’eux. -« Sans fatigue ni risques pour elle », comme si elle était en convalescence pour avoir trop ri, hyperbolique

A travers ces actions, il est décrit comme fainéant.  Le champ lexical abondant du plaisir et de la volupté (« gigot », « but quatre grand coup de vin», « mangea deux perdrix »), mais également celui de la quantité nous démontre  clairement la caricature d’un libertin, qui ne se préoccupe que de sa propre personne. Toutes ces activités : la paresse, la gourmandise, l’égoïsme sont considérées comme péchés capitaux. Dorine joue subtilement de l’antithèse et du parallélisme, ainsi les maux  d’Elmire